Archives par mot-clé : Diabète

Diabète et obésité : des températures intérieures plus variables seraient bénéfiques

Une variabilité de la température intérieure en dehors de la zone standard de confort pourrait aider à contrer les maladies métaboliques comme le diabète et l’obésité, selon une étude publiée dans la revue Building Research & Information (BRI).

L’exposition à des environnements légèrement plus froids ou chauds que 21-22 °C augmente le métabolisme et la dépense d’énergie.

Pour les personnes atteintes de diabète de type 2, l’exposition à un froid léger augmente la dépense d’énergie et le métabolisme du glucose. Après 10 jours de froid léger intermittent, la sensibilité à l’insuline est augmentée de plus de 40 %. « Ces résultats pour le traitement du diabète sont comparables aux meilleures solutions pharmaceutiques disponibles », soulignent les auteurs.

Des études suggèrent aussi que les paramètres cardiovasculaires sont affectés positivement par des variations de température.

« En raison de ces bénéfices, les conditions de vie dans les maisons et les bureaux devraient être dynamiques et incorporer des variations de température afin de constituer des environnements humains sains », font valoir Wouter van Marken Lichtenbelt de l’Université Maastricht et ses collègues.

« De telles mesures devraient aller de pair avec les facteurs de mode de vie classiques tels que le régime alimentaire et l’exercice physique. »

Des processus d’adaptation de l’organisme permettraient d’être exposés à une plus grande variabilité sans inconfort. Des études devraient préciser l’étendue et les conditions de cette variabilité qui seraient jugées acceptables, proposent les chercheurs.

« Les bénéfices pour la santé d’une courte exposition à une plage de température plus variée vont redéfinir nos attentes en matière de confort thermique », estime Richard Lorch, éditeur en chef de la revue, qui souligne les bénéfices pour l’environnement et l’économie.

Une température fraîche favorise les graisses brunes et le contrôle du diabète

Psychomédia avec sources : Taylor and Francis Group, BRI.
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Des chercheurs parviennent à guérir le diabète de type 2

Des chercheurs parviennent à guérir le diabète de type 2

Le 23 mars 2017.

Soigner le diabète de type 2 en quelques semaines et durablement ? Des chercheurs canadiens semblent affirmer que cette rémission est possible, et dans une récente étude, ils montrent les premiers résultats, très encourageants, de leur technique.

Un traitement intensif pour guérir le diabète de type 2

Le diabète est l’une des maladies chroniques les plus fréquentes en France. Selon les chiffres de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), environ 4,6 % des Français en souffriraient et parmi eux, pas moins de 90 % seraient atteints d’un diabète dit de type 2.

La plupart du temps, cette maladie se diagnostique après 40 ans. Les patients sont majoritairement des hommes (20 % contre 14 % de femmes), et pour traiter leurs symptômes, ces derniers doivent s’astreindre à un régime alimentaire strict ainsi qu’à la prise d’insuline et d’antidiabétiques. Un traitement contraignant auquel des chercheurs de l’Institut de recherches cliniques de Montréal pourraient avoir trouvé une alternative efficace et durable.

40 % de rémission totale à l’issue d’un traitement intensif contre le diabète

Dans leur étude, publiée dans le Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, ces derniers affirment avoir réussi à « guérir » des patients atteints de diabète de type 2, en les soumettant à un traitement très intensif composé d’insuline et d’antidiabétiques, associé à une cure d’amaigrissement. 83 patients se sont prêtés à cette expérience et au terme de cette étude qui a duré 16 semaines, 33 d’entre eux, soit 40 %, se sont totalement remis de leur maladie.

Cette découverte représente un véritable espoir pour de nombreux patients. Elle a cependant ses limites et les auteurs de cette étude affirment que cette technique ne fonctionne que sur les patients dont le diabète a été diagnostiqué dans les cinq années écoulées. Et si ce traitement permet à tous les diabétiques en rémission de se passer de traitement classique, il exige cependant une discipline de fer et des règles de vie très strictes, car à la moindre prise de poids un peu trop élevée, la maladie peut revenir.

Sybille Latour

Pour en savoir plus : Les symptômes du diabète de type 2

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Régime sans gluten : attention au risque de diabète !

Régime sans gluten : attention au risque de diabète !

Le 13 mars 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs de l’université d’Harvard et présentée lors des sessions scientifiques annuelles de la Fédération américaine de cardiologie à Portland, aux États-Unis, retirer le gluten de son alimentation augmente les risques de développer un diabète de type 2.

Risque de développer un diabète de type 2

Retirer le gluten de son alimentation est devenu un vrai phénomène de mode, certains lui reprochant d’être à l’origine de tous leurs maux digestifs. Cependant, si on ne souffre d’aucune intolérance au gluten, il serait déconseillé de ne plus en manger. Selon une étude américaine, les régimes sans gluten augmenteraient en effet les risques de développer un diabète de type 2.

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont suivi 200 000 personnes pendant 30 ans. Ces participants n’avaient pas de recommandations médicales leur interdisant le gluten. Ils ont ainsi pu constater que les personnes qui consommaient régulièrement du gluten (de 5 à 7 grammes par jour), présentaient moins de risques de développer un diabète de type 2. Mais comment l’expliquer ?

L’index glycémique des produits sans gluten serait très élevé

Selon ces travaux, il semblerait que les personnes qui se privent d’aliments contenant du gluten comme le pain, les pâtes ou les céréales consomment moins de fibres complètes. Or, ces fibres permettent de faire chuter le risque de diabète. Il semblerait aussi que l’index glycémique des produits sans gluten transformés serait très élevé par rapport aux produits qui en contiennent.

D’autres études ont par ailleurs montré que l’on trouvait davantage d’additifs de types émulsifiants et épaississants dans les produits transformés sans gluten. Aux États-Unis, cette passion pour les aliments sans gluten est une véritable préoccupation pour les autorités sanitaires, puisque près de 75 % des Américains tentent d’éliminer le gluten de leur alimentation. En France, seuls 5 % des consommateurs suivent un régime végétarien, vegan ou sans gluten.

Marine Rondot

Pour en savoir plus : Faut-il abandonner le gluten ? Le décryptage

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Diabète et obésité : les effets néfastes des édulcorants

Diabète et obésité : les effets néfastes des édulcorants

Le 20 février 2017.

Selon une étude menée par une équipe de chercheurs des National Institutes of Health des États-Unis, les édulcorants, présents dans les produits garantis « sans sucre ajouté », auraient un impact négatif pour la santé.

Les édulcorants créent des intolérances au glucose

De nombreuses études ont déjà prouvé que les produits sans sucre ajouté et les sodas light ou zéro calorie ne sont pas aussi efficaces qu’il n’y paraît pour lutter contre l’obésité. Mais une étude réalisée par des chercheurs des National Institutes of Health américains révèlent qu’ils seraient même dangereux pour la santé, notamment pour les enfants. Après avoir bu un soda light, les concentrations de sucralose dans le sang sont deux fois plus élevées chez les enfants que chez les adultes.

Or, l’aspartame, le sucralose et la saccharine peuvent créer des intolérances aux glucoses. L’organisme doit donc faire plus d’efforts pour contrôler les taux de sucre dans le sang. Mais ce n’est pas tout, ces édulcorants pourraient modifier la flore intestinale. Ce qui est terrible avec ces additifs, c’est qu’ils donnent l’impression de ne pas consommer de sucre, ce qui nous pousse à en prendre davantage et donc de multiplier les risques.

Les édulcorants viennent perturber le microbiote intestinal 

« Les édulcorants de synthèse stimulent l’appétit et perturbent le microbiote intestinal », explique Michel Desmurget, neurobiologiste et directeur de recherche Inserm, auteur de L’Antirégime, maigrir pour de bon (Belin), dans les colonnes du Figaro. « Je crois que les données récentes sur les édulcorants de synthèse sont relativement claires ». Ces édulcorants nous rendraient accros au sucre, alors même que nous n’en mangeons pas.

Les édulcorants auraient par ailleurs tendance à nous faire grossir. De nombreuses études ont en effet montré que lorsqu’on mange un produit sans sucre ajouté, le cerveau enregistre le goût sucré et constate l’absence d’apport calorique qui devrait y être associé. En conséquence, il viendrait rééquilibrer la balance en augmentant l’apport calorique. En bref, les édulcorants sont mauvais pour la santé et en plus ils ne font pas maigrir

Marine Rondot

À lire aussi : Sucre et édulcorants : ce qu’il faut savoir

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Diabète : testez en ligne vos prédispositions à la maladie

Le 18 novembre 2016.

Lundi 14 novembre, à l’occasion de la Journée Mondiale du Diabète, la Fédération Internationale du Diabète (FID) a lancé un test en ligne qui permet d’identifier ses prédispositions à la maladie.

Une plateforme d’information

Êtes-vous prédisposé à devenir diabétique ? Pour le savoir, il vous suffit de vous rendre sur le site Test2prevent (comprendre : tester pour prévenir), mis en ligne par la FID. Sur cette plateforme, vous pourrez identifier vos prédispositions en répondant à neuf questions sur votre âge, vos antécédents familiaux, votre tour de taille, votre activité physique, ou encore votre alimentation.

En moins d’une minute, vous pourrez savoir si vous êtes un sujet à risque ou pas. Si vous êtes effectivement prédisposé à développer un diabète, on vous demandera de consulter un médecin ou une infirmière, afin de réaliser un test de glycémie. Selon la FID, 700 000 personnes ignorent qu’elles sont malades en France.

Se faire dépister le plus tôt possible

L’objectif serait de dépister un million de personnes tout au long du mois de novembre et plus encore dans les mois à venir. Plus le diagnostic se fait tard, plus la maladie est lourde à porter. Selon l’Agence Santé Publique France, même lorsqu’un patient est pris en charge, il est exposé à une surmortalité accrue : + 51 % chez les femmes et + 34 % chez les hommes.

La Fédération Internationale du Diabète compte plus de 200 associations membres dans plus de 160 pays. Ses activités visent à sensibiliser au diabète et à ses complications, à améliorer la qualité et l’accès à l’éducation au diabète et à rehausser les normes de traitement et de soins partout dans le monde.

Vous aimerez aussi : Les complications du diabète

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Traiter le diabète en modulant l’absorption intestinale du glucose

Une nouvelle étude montre qu’on peut prévenir ou traiter le diabète de type 2 en modulant l’absorption intestinale du glucose par des mesures diététiques ou pharmacologiques.Ces travaux sont publiés dans la revue scientifique Cell Metabolism.

Les chercheurs du laboratoire « Recherche Translationnelle sur le Diabète », unité mixte de recherche 1190 (Université Lille 2 / Inserm / CHRU de Lille) dirigée par le Professeur François Pattou, ont découvert le mécanisme physiologique par lequel la chirurgie de l’obésité dite « bypass » gastrique améliore le diabète de type 2.

Le bypass gastrique est une chirurgie bariatrique qui permet de réduire le volume de l’estomac et à modifier le circuit alimentaire. Après l’opération, le sucre ingéré par le patient passe dans son organisme uniquement lorsqu’il entre en contact avec la bile, dans la partie basse de l’intestin. Mais le fait d’ajouter du sel aux aliments aura comme conséquence de restaurer l’absorption du sucre dans la partie haute de l’intestin.

Il est donc possible de prévenir ou de traiter le diabète en modulant l’absorption intestinale du glucose par des mesures diététiques (diminution de l’ingestion simultanée du sucre et du sel) ou pharmacologiques (à l’aide des molécules qui inhibent sélectivement le transporteur sodium-glucose intestinal). Lire l’étude détaillée ici

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Remplacer les boissons diète par de l’eau aide à perdre du poids et contrôler le diabète

Remplacer les boissons diète par de l’eau aide à perdre du poids et contrôler le diabète, selon une étude publiée dans la revue Diabetes, Obesity and Metabolism.

Des études précédentes ont suggéré que les sucres artificiels augmentaient le risque de diabète.

L’étude a été menée avec 81 femmes atteintes de diabète de type 2, étant en surpoids ou obèse, qui consommaient habituellement des boissons diète et suivaient un programme de perte de poids.

Celles qui ont substitué les boissons diète par de l’eau pendant 24 semaines ont perdu plus de poids (6,40 vs 5,25 kg) et baisser leur indice de masse corporelle (-2,49 vs -2,06 kg/m2) comparativement à celles qui ont continué à boire des boissons diète.

Elles ont également présenté une plus grande amélioration de la glycémie à jeun et de la sensibilité à l’insuline.

Notons que le remplacement des boissons gazeuses diète par de l’eau peut être facilité avec les eaux pétillantes. (Les eaux pétillantes ont-elles des inconvénients pour la santé ?, Des alternatives aux boissons sucrées et aux sodas light).

Psychomédia avec source : Wiley.
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Diabète : marcher aux bons moments est plus efficace pour contrôler la glycémie

Il est généralement recommandé aux personnes atteintes de diabète de type 2 de marcher au moins 30 minutes par jour sans spécifier un moment particulier de la journée.

Andrew Reynolds de l’Université Otago (Nouvelle-Zélande) et ses collègues ont mené une étude avec 41 personnes atteintes de diabète de type 2, en deux blocs de deux semaines séparés par un mois. Dans un bloc, elles devaient marcher 30 minutes par jour selon les recommandations habituelles et dans l’autre, elles devaient marcher 10 minutes après chaque repas.

Elles portaient un accéléromètre et un appareil mesurant la glycémie toutes les cinq minutes.

La marche après les repas entraînait une baisse des niveaux sanguins de glucose accrue de 12 % en moyenne comparativement à la marche à un autre moment de la journée.

La plus grande partie de cet effet provenait de la réduction accrue de 22 % entraînée par la marche d’après le repas du soir. Ce repas incluait la plus grande quantité de glucides et était suivi par la plus grande durée de temps sédentaire.

« L’activité physique après le repas peut éviter la nécessité d’augmenter la dose totale d’insuline ou d’injections supplémentaires à l’heure des repas, soulignent les chercheurs. Une augmentation de la dose d’insuline peut être associée à un gain de poids (l’hormone contribuant à stocker les graisses) chez les personnes atteintes de diabète de type 2, dont beaucoup sont déjà en surpoids ou obèses. »

Ces résultats suggèrent que les recommandations devraient être mises à jour pour spécifier l’activité après les repas, particulièrement quand les repas contiennent une quantité substantielle de glucides, concluent les chercheurs.

Cette étude est publiée dans la revue Diabetologia. Une autre étude, publiée dans la même édition, montre qu’augmenter la quantité d’activité apporte aussi un plus grand bénéfice pour le contrôle de la glycémie.

Psychomédia avec source : University of Otago.
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Diabète : un fléau qui coûte de plus en plus cher

Santé : les coûts du diabète en forte hausse

Le diabète tient une place importante dans les dépenses de santé en France comme dans le monde entier. Dans l’hexagone, les coûts de cette maladie ne vont cesser d’augmenter à la vue du nombre croissant de diabétiques.

D’où vient le diabète ?

Le diabète ou « l’épidémie silencieuse du siècle » est un véritable fléau en France et les individus souffrant de cette maladie sont de plus en plus nombreux. C’est un trouble lié au stockage des sucres provenant de l’alimentation. En découle une hyperglycémie due à un taux de glucose important.

De nombreux faits expliquent ce problème en forte croissance : le surpoids/l’obésité, le manque d’activité et le vieillissement de la population. Pour contrer les risques, il est important d’avoir une vie saine. Actuellement, on compte 3,5 millions de diabétiques en France et ce chiffre est en augmentation de 2,9% sur un an.

Les coûts de cette maladie explosent en France

L’étude de nouveaux traitements et ces patients en augmentation augmentent fortement les dépenses pour cette maladie. Entre 2015 et 2020, l’Assurance maladie devrait donc voir la facture augmenter de 562 millions rien que pour combattre le diabète.

L’urgence est donc de mise pour baisser les coûts générés et à fortiori le nombre de patients. Par an, le diabète coûte 19 milliards d’euros à la France. Il faut dire qu’il est possible de vivre longtemps avec cette maladie mais qu’en parallèle la santé du malade se voit largement dégradée et génère des frais. Les traitements récents sont en effet très coûteux avec une fourchette moyenne de 55 à 160 euros par mois.

via lesechos.fr

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L’aloe vera pour prévenir le diabète de type 2 ?

Le 30 juin 2016.

Selon une étude publiée dans le Journal of Alternative and Complementary Medicine, l’aloe vera permettrait de diminuer les taux de sucre dans le sang. Un moyen pour les diabétiques d’améliorer leur tolérance au glucose ?

Stimuler la sécrétion d’insuline

De nombreuses études ont déjà été faites sur le sujet, mais cette dernière vient confirmer le résultat des précédentes. L’aloe vera, cette plante grasse venue d’Afrique, aurait de nombreuses vertus, dont celle de contribuer à l’abaissement des pics glycémiques. Selon cette étude américaine, la consommation d’aloe vera sous forme orale ferait baisser significativement le taux de glucose dans le sang (46,6 mg/dl).

Sa consommation permettrait en effet de stimuler la sécrétion d’insuline. Chez une personne non diabétique, l’insuline est sécrétée en petite quantité en continu. Les diabétiques, en revanche, ont besoin de s’injecter cette insuline pour réguler leur taux de glucose dans le sang. Consommer de l’aloe vera leur éviterait donc une piqûre.

Comment consommer de l’aloe vera ?

L’aloe vera peut se consommer de différentes manières. Le mieux est de consommer du jus frais de cette plante. Pour cela, il vous suffit d’extraire la pulpe de l’aloe vera et d’en consommer une cuillère à café par jour. Pour améliorer les effets, vous pourrez aller jusqu’à 3 cuillères quotidiennes, tout en sachant qu’on ne doit pas dépasser les 50 ml par jour. Pour conserver la plante, gardez-la au frigo, afin qu’elle reste bien fraîche.

On peut aussi en consommer sous forme de gélules. Dans ce cas-là, on recommande de ne pas dépasser les 200 à 300 mg par jour. Mais attention, l’automédication est un risque pour les personnes diabétiques. Avant tout changement alimentaire, prenez conseil avec votre médecin, car un suivi médical sera obligatoire.

Par voie orale, la plante est par ailleurs déconseillée chez l’enfant de moins de 6 ans et pour la femme enceinte.

À lire aussi : L’aloe vera, un allié des peaux grasses

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