Les médicaments décongestionnants (vasoconstricteurs), tels qu’Actifed Rhume, Humex Rhume, Rhinadvil Rhume, utilisés pour soulager les symptômes du rhume Continuer la lecture de Décongestionnants : risques d’effets secondaires graves (conseils de l’ANSM)
Archives par mot-clé : conseils
COVID et rassemblements des fêtes : quatre conseils pour aérer votre maison
La spécialiste des bioaérosols Caroline Duchaine rappelle, dans un communiqué de l’Université Laval (Québec), quatre moyens simples de réduire les risques de transmission de la COVID-19 par les aérosols lors des rassemblements des fêtes dans les résidences privées.
-
Entrouvrir des fenêtres
«
Pour éviter l’accumulation de particules virales dans une pièce, il faut renouveler l’air constamment en créant une circulation d’air. Ouvrir les fenêtres quelques minutes chaque heure est mieux que rien, mais il est préférable que le renouvellement d’air soit continu, quitte à monter le chauffage pendant toute la durée du rassemblement.
» -
Faire fonctionner les hottes de cuisine et de salle de bain
«
En actionnant ces appareils, une partie de l’air intérieur est expulsée hors de la maison, ce qui augmente l’arrivée d’air frais par les fenêtres. Le renouvellement de l’air se fait plus efficacement.
» -
Régler l’échangeur d’air en position maximum
«
Habituellement, l’échangeur est réglé pour limiter l’arrivée d’air frais afin que les coûts de chauffage ne soient pas trop élevés. En temps de pandémie, on peut faire une exception pendant quelques heures. La consommation d’énergie va augmenter temporairement, mais il faut choisir ses combats.
» -
Appliquer ces mesures avant, pendant et après les rassemblements
«
N’attendez pas que vos invités soient arrivés pour commencer à ventiler les lieux. Il faut éviter l’accumulation de virus dans la pièce. Après le départ des invités, maintenez ces mesures le temps qu’il faudra, selon votre bon jugement, pour assurer la salubrité de l’air que vous allez respirer dans les heures qui suivront.
»
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : Université Laval.
Tous droits réservés.
Temps devant les écrans et problèmes de vision (conseils)
L’augmentation du temps passé devant des écrans (ordinateurs, tablettes, téléphones portables) pendant la pandémie risque d’altérer la vision, notamment chez les étudiants en raison de l’enseignement à distance, indique Langis Michaud, directeur de l’École d’optométrie de l’Université de Montréal, relayé par un communiqué de l’université.
Il rappelle l’existence du « syndrome de la vision sur ordinateur », incluant l’ensemble des problèmes de vision entraînés par l’usage d’un écran sur des périodes prolongées.
Une enquête, effectuée auprès de 10 000 personnes, a établi la prévalence du syndrome à près de 65 % de la population qui travaille sur écran, rapporte-t-il.
Il craint, à moyen terme, les effets de l’augmentation du temps d’écran chez les étudiants. « Il m’apparaît inconcevable d’imposer des cours de trois heures sur Zoom avec une pause de 15 minutes. Pour la santé oculaire, il serait nettement préférable de prendre de courtes pauses chaque demi-heure, le temps de laisser reposer nos yeux.
»
À la clinique d’optométrie de l’UdeM, on voit de plus en plus de cas de myopie précoce, résultant entre autres d’une surutilisation des écrans. « Nous voyons des enfants de 8 ou 9 ans souffrir de myopie avancée. Au début de ma carrière, c’était exceptionnel. Ces problèmes survenaient vers l’âge de 13 ou 14 ans.
»
« En raison de la scolarisation précoce et de l’exposition aux écrans, en raison aussi du fait que les enfants passent moins de temps à jouer à l’extérieur, les problèmes apparaissent plus tôt qu’il y a seulement 20 ans. C’est très préoccupant quand on sait que la forte myopie est un facteur de risque des affections causant la cécité
», indique-t-il.
Porté environ à 18 cm des yeux, l’écran du téléphone portable force à concentrer le regard sur un objet très rapproché, amplifiant des dérèglements d’alignement de la vision binoculaire. « À petite dose, le système visuel peut compenser, mais si une telle exposition se prolonge, petit problème deviendra grand
», résume l’expert.
La tablette électronique pose des problèmes similaires mais moins aigus, car elle est utilisée à environ 25 cm des yeux. Dans ce dernier cas, l’éclairage semble plus problématique. Même principe pour l’ordinateur, qui est encore plus éloigné (33-40 cm).
Les yeux doivent « se reposer » régulièrement pour garder leur efficacité. Fixer une surface lumineuse de façon prolongée augmente les risques, surtout si la lumière ambiante est atténuée. « Il faut à tout prix éviter de regarder un écran dans le noir. »
« Dans les classes des écoles primaires, où la lumière du jour est souvent défaillante, voire absente, on a installé des milliers de tableaux blancs interactifs connectés à l’ordinateur. C’est peut-être une bonne approche pédagogique, mais il faut souvent baisser la lumière ambiante pour permettre de bien voir l’écran. Cela désavantage l’écolier, qui doit écrire des notes dans la quasi-pénombre
», souligne le communiqué.
Aux enfants, sa meilleure recommandation tient en quelques mots : « Allez jouer dehors ! »
« En plus de stimuler le corps de toutes les manières, l’activité extérieure donne aux yeux ce dont ils ont besoin, une vision à distance, panoramique, sans délaisser les observations rapprochées.
»
Au moment de la première vague de la pandémie, en février 2020, Langis Michaud a participé à un forum gouvernemental organisé par le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux du Québec, Lionel Carmant, sur les enjeux de la vision dans la population, de plus en plus confrontée à des risques liés au temps d’écran. « C’est indiscutablement un enjeu de santé publique et le gouvernement semblait sensible à la question, puisqu’une stratégie d’intervention était en rédaction au terme de cette rencontre. Nous attendons la suite
», commente le professeur Michaud.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec sources : Université de Montréal.
Tous droits réservés.
#MoisSansTabac : les conseils de Michel Cymes pour arrêter de fumer
Le mardi 29 octobre 2019.
#MoisSansTabac oblige, vous avez décidé d’arrêter de fumer ? Une sage décision mais qui sera sans doute difficile à tenir. Pour vous aider à stopper définitivement le tabac, Michel Cymes vous propose quelques conseils.
Arrêt du tabac : la Sécu rembourse les médicaments
Dans deux jours, commencera le #MoisSansTabac : pendant tout le mois de novembre, les fumeurs pourront recevoir des conseils afin d’arrêter le tabac. Une initiative qui a donné à Michel Cymes, le célèbre médecin qui anime des émissions télévisées sur le thème de la santé, une occasion de nous donner quelques recommandations pour enfin dire stop à la cigarette.
Si vous êtes décidé à arrêter de fumer, le premier réflexe est de vous rendre sur le site tabac-info-service. Vous y trouverez de nombreux conseils pour tenir bon, une foire aux questions et bénéficierez aussi d’un coaching. Ce site est une vraie mine d’informations, un véritable « allié » aux dires du présentateur télé.
Deuxième allié, la Sécurité Sociale. Cette dernière rembourse le traitement médical qui permet d’arrêter le tabac. Sachez qu’il existe plusieurs médicaments composés de deux molécules, la varénicline et le brupropion mais qu’ils ne sont disponibles qu’avec une ordonnance. Parlez-en avec votre médecin !
Utiliser des substituts nicotiniques
Autre conseil de Michel Cymes : apprendre à gérer le manque de nicotine. Michel Cymes en profite pour nous rappeler qu’elle n’est pas mauvaise pour le cœur et les poumons. « Elle n’est pas cancérigène non plus. A l’inverse de la fumée dans laquelle on trouve quelque 4.000 substances toxiques » rapporte RTL.
Pour parvenir à gérer les manque de nicotine, le présentateur TV conseille l’utilisation du patch. Pour les gros fumeur à qui cela ne suffirait pas, il conseille aussi les gommes, les pastilles et les spray nicotiniques. Concernant ce dernier, il propose une astuce pour éviter les nausées ou le hoquet : vaporisez le produit sur le doigt et badigeonner l’intérieur des joues. « La nicotine se mélangera petit à petit avec votre salive et vous l’avalerez par petites doses ».
Perrine Deurot-Bien
À lire aussi : Une campagne pour encourager les Français à manger sainement
Erreurs médicales et autres préjudices lors des soins : conseils aux patients (OMS)
À l’occasion de la première Journée mondiale de la sécurité des patients, qui se tient le 17 septembre, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) lance une campagne de prévention.
« Dans les pays à revenu élevé, jusqu’à un patient sur 10 est victime d’effets préjudiciables pendant qu’il reçoit des soins à l’hôpital
», indique l’OMS.
La moitié d’entre eux sont considérés comme pouvant être évités.
Dans les pays de l’OCDE, les préjudices causés aux patients pourraient entraîner plus de 6 % des journées d’hospitalisation.
«
Les erreurs les plus importantes sont liées au diagnostic, aux prescriptions et à l’utilisation des médicaments. (…) Jusqu’à 25 %, des patients souffrent de complications provoquées par des soins chirurgicaux à risque et, chaque année, un million de personnes décèdent pendant un acte chirurgical ou immédiatement après.»
Aux États-Unis, par exemple, « environ 5 % des adultes sont confrontés à des erreurs de diagnostic, c’est-à-dire une incapacité à identifier la nature d’une maladie de manière précise et rapide. Environ la moitié de ces erreurs risquent de provoquer de graves préjudices
».
« Aux États-Unis, des travaux de recherche approfondis sur les autopsies menés ces dernières décennies ont montré que les erreurs de diagnostic intervenaient dans environ 10 % des décès.
»
« La promotion de la sécurité des patients doit passer par la participation de ces derniers et par la possibilité pour les agents de santé de signaler des erreurs, d’en tirer les enseignements et de travailler dans un climat de bienveillance
», a souligné le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur général de l’OMS. « Les agents de santé doivent être davantage responsables et bénéficier de la formation nécessaire pour réduire les erreurs.
»
«
La participation des patients est cruciale pour renforcer la sécurité des soins. On peut ainsi réduire de 15 % la charge des préjudices.»
L’OMS incite les patients et leurs aidants à :
-
participer activement à leurs propres soins ;
-
poser des questions : la sécurité des soins de santé commence par une bonne communication ;
-
s’assurer de donner des informations exactes sur leurs antécédents de santé
Le 17 septembre, plusieurs villes du monde afficheront leur soutien à ce thème en éclairant certains de leurs monuments en orange : le jet d’eau de Genève, les pyramides du Caire, la tour Menara de Kuala Lumpur, l’Opéra royal de Mascate et le pont Zakim de Boston en font partie.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : OMS.
Tous droits réservés
Vague de maladies graves liées au vapotage : 215 cas et un mort aux États-Unis (conseils des CDC)
En date du 27 août, 215 cas possibles avaient été signalés dans 25 États, et d’autres cas sont à l’étude. Une personne est décédée.
Les CDC et la Food and Drug Administration (FDA) enquêtent « sans relâche » sur ces cas.
Il faut plus d’information pour déterminer ce qui cause les maladies respiratoires. Dans de nombreux cas, les patients ont rapporté un début graduel des symptômes, dont des difficultés respiratoires, un essoufflement et/ou des douleurs thoraciques avant l’hospitalisation.
Dans certains cas, ils ont rapporté des troubles gastro-intestinaux légers à modérés, dont des vomissements et de la diarrhée, ou d’autres symptômes comme la fièvre ou la fatigue.
Plusieurs ont rapporté une utilisation récente de produits d’e-cigarettes contenant du tétrahydrocannabinol (THC) (composante du cannabis).
Même si les cas semblent similaires, il n’est pas clair s’ils ont une cause commune ou s’il s’agit de maladies différentes avec des présentations similaires.
Les CDC aident les États à déterminer si les maladies peuvent être liées à des dispositifs, des ingrédients ou des contaminants spécifiques.
À l’heure actuelle, il ne semble pas y avoir un seul produit en cause dans tous les cas, bien que l’utilisation de THC et de cannabinoïdes ait été signalée dans de nombreux cas.
Les CDC recommandent aux personnes préoccupées par ces risques pour la santé d’envisager de s’abstenir d’utiliser des cigarettes électroniques pendant la durée de l’enquête.
Ils recommandent aussi :
-
à toute personne qui utilise des produits de cigarette électronique, de ne pas acheter ces produits dans la rue (p. ex. des produits de cigarette électronique contenant du THC ou d’autres cannabinoïdes) et de ne pas modifier les produits de cigarette électronique ou ajouter à ces produits des substances qui ne sont pas prévues par le fabricant ;
-
les produits de cigarette électronique ne devraient pas être utilisés par les jeunes, les jeunes adultes, les femmes enceintes et les adultes qui ne consomment pas actuellement de produits du tabac ;
-
les personnes qui utilisent des produits de cigarette électronique devraient surveiller leurs symptômes (p. ex. toux, essoufflement, douleurs thoraciques) et consulter rapidement un médecin si elles ont des inquiétudes concernant leur santé ;
-
les adultes qui tentent d’arrêter de fumer devraient utiliser des traitements fondés sur des données probantes, dont des conseils et des médicaments approuvés par la FDA.
Pour plus d’informations sur le vapotage et la santé, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : CDC.
Tous droits réservés
Comment caresser un chat, selon les conseils d’une chercheure
Beaucoup de chats aiment être touchés, mais pas tous – et plusieurs le tolèrent au mieux, explique Lauren Finka, associée de recherche postdoctorale à la Nottingham Trent University sur le site The Conversation.
Le chat domestique porte un bagage génétique peu éloigné du chat sauvage qui est solitaire, rappelle-t-elle.
« Tandis que certains chats peuvent réagir agressivement à une attention physique non désirée, d’autres peuvent simplement la tolérer
» , ce qui leur fait vivre un stress.
« La clé du succès, explique l’auteure, est de se concentrer sur le fait d’offrir au chat autant de choix et de contrôle que possible pendant les interactions. Par exemple, le choix d’indiquer s’ils veulent être caressés ou non, et de contrôler où nous les touchons, et combien de temps.
»
« La recherche montre que les interactions avec les chats dureront probablement plus longtemps lorsque le chat, plutôt que l’humain, les initie.
»
«
En général, la plupart des chats aimables aimeront être touchés dans les régions où se trouvent leurs glandes faciales, y compris à la base de leurs oreilles, sous leur menton et autour de leurs joues. Ces endroits sont habituellement préférés au ventre, au dos et à la base de la queue.»
Il est « très important de porter une attention particulière au comportement et à la posture du chat pendant les interactions, pour s’assurer qu’il est à l’aise.
»
Les signes de plaisir chez le chat
-
La queue est maintenue droite et amorce le contact.
-
Ronronne et pétrit avec ses pattes de devant.
-
Agite doucement la queue d’un côté à l’autre tout en la tenant en l’air.
-
Une posture et un visage détendus, les oreilles dressées et pointées vers l’avant.
-
Vous donne un petit coup de pouce si vous faites une pause pendant que vous les caressez.
Les signes d’aversion ou de tension
-
Déplace, bouge ou tourne la tête loin de vous.
-
Reste passif (pas de ronronnement ni de frottement).
-
Clignote exagérément, secoue la tête ou le corps ou se lèche le nez.
-
Rafales rapides et courtes de toilettage.
-
Peau qui ondule ou se contracte, habituellement le long du dos.
-
Frappe ou bat de la queue.
-
Oreilles aplaties sur les côtés ou tournant vers l’arrière.
-
Un virage brusque de leur tête pour vous faire face.
-
Mord, glisse ou frappe votre main avec sa patte.
Sur The Conversation : Comment caresser un chat, selon la science.
Pour plus d’informations sur la psychologie et la santé des chats, voyez les liens plus bas.
Psychomédia
Tous droits réservés.
Route des vacances : l’alimentation influence fortement la vigilance et la somnolence au volant (conseils)
A la veille d’un nouveau week-end de départs en vacances, l’association française d’assureurs Attitude Prévention dévoile les résultats d’une étude portant sur le lien entre l’alimentation et la vigilance.
« En France, la somnolence au volant est la première cause de mortalité sur autoroute, impliquée dans 1/3 des accidents mortels
», souligne l’association.
L’étude, dirigée par le Dr Frédéric Saldmann, cardiologue et nutritionniste, et le Pr Fabrice Bonnet, médecin endocrinologue, a été menée au moyen d’un simulateur. Elle a évalué les risques d’hypovigilance avant et après un repas normal ou hypercalorique ou un jeûne séquentiel (10 heures).
La baisse de la vigilance était évaluée par l’observation du mouvement des yeux et les postures grâce à un boitier infrarouge.
Deux repas « hypercaloriques » étaient testés. L’un de ceux-ci était constitué de chips, d’une tranche de saucisson sec, d’un hamburger fromage/jambon, suivis d’une part de fromage et d’un moelleux au chocolat pour un total de 1500 calories environ.
Un fort impact de la nutrition sur la vigilance a été observé. Le repas « hypercalorique » altérait les capacités de freinage dans 100 % des cas, augmentait la distance de freinage et diminuait significativement la vigilance chez 60 % des conducteurs. Le niveau maximal d’extrême somnolence a même été atteint chez 17,5 % d’entre eux.
Ces chiffres ont été atteints alors que l’expérience s’est déroulée sur des parcours de seulement 40 minutes, un temps bien inférieur à la durée moyenne des trajets de départs en vacances.
Dans le groupe de conducteurs ayant consommé un repas classique de 500 calories, seuls 17,5 % des conducteurs ont atteint un état allant vers la « somnolence modérée ». Lors de la séquence de freinage, même si une majorité (75 %) a vu ses capacités de freinage légèrement s’altérer, ceci n’avait que peu d’impact sur la distance supplémentaire nécessaire à l’arrêt total du véhicule.
Concernant le groupe des conducteurs à jeun (depuis la veille au soir du trajet), aucun n’a dépassé le niveau dit « légèrement somnolent ».
Ainsi, l’étude démontre clairement l’impact très important de l’alimentation, en dehors de toute prise d’alcool ou de restriction de sommeil, sur la vigilance du conducteur.
« Les repas trop copieux sont à proscrire car ils ont tendance à aggraver la somnolence
», conclut l’association.
« La somnolence entraîne des périodes de microsommeil de 1 à 4 secondes : 4 secondes, c’est 150 mètres parcourus si on roule à 130 km/h
», indique l’association. (Somnolence au volant : entre Paris et Nice, plusieurs minutes de microsommeil)
Conseils à mettre en pratique avant de prendre la route des vacances et pendant le trajet :
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec sources : Attitude Prévention.
Tous droits réservés
Conseils pour choisir des fournitures scolaires moins toxiques (Ademe)
Certains produits de la liste d’achat de fournitures scolaires peuvent contenir des composants allergisants, irritants et des substances plus ou moins toxiques.
Voici les recommandations de l’Agence française de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie (Ademe) pour faire les bons choix dans les rayons.
L’agence fait le point sur les produits chimiques repérés dans les colles, les stylos, les papiers… et propose des alternatives pour réduire les risques.
Les expositions aux substances toxiques peuvent se faire :
-
par contact cutané : pétrissage des pâtes à modeler, peinture aux doigts, encre et colle sur les mains… ;
-
par ingestion : mordiller les crayons, mâchouiller les capuchons en plastique, des résidus de produit peuvent aussi persister sous et autour des
ongles des doigts… ; -
par inhalation : substances volatiles plus ou moins toxiques, émises lors des activités de collage, de peinture, de correction… mais aussi au cours du séchage des dessins, des collages, des peintures ;
-
par voie oculaire : se frotter les yeux avec les mains recouvertes d’encre et de peinture peut être source d’irritations ; les éclaboussures ou émanations de certains produits risquent également de provoquer des inflammations ou des lésions.
L’agence recommande d’acheter les produits les plus simples et les moins odorants, éviter les marqueurs très émissifs, gommes et feutres parfumés…
Elle recommande de privilégier :
-
les colles à base d’amidon et en bâton plutôt que liquide (marquage CE) ;
-
les peintures aquarelles plutôt qu’acryliques (marquage CE) ;
-
les correcteurs en ruban plutôt que liquides ;
-
les feutres, stylos et rollers non parfumés (label NF Environnement) ;
-
les crayons en bois naturel et non verni (label NF Environnement) ;
-
les cahiers, feuilles de papier avec l’Écolabel européen ou le label Ange Bleu ;
-
les gommes sans phtalate, ni latex, ni parfum (label NF Environnement) ;
-
les marqueurs effaçables plutôt que permanents (label NF Environnement) ;
-
les pâtes à modeler nons parfumées (marquage CE).
Certains composants nocifs à repérer dans la composition sont :
-
Les conservateurs fortement allergisants
De nombreuses substances peuvent être ajoutées dans les fournitures scolaires afin d’améliorer leur conservation. Parmi celles-ci :
-
les isothiazolinones, notamment la CMIT (chlorométhylisothiazolinone) et la MIT (méthylisothiazolinone), seules ou mélangées : depuis l’émergence de la méfiance vis-à-vis des parabens, ces substances allergisantes cutanées sont présentes dans de nombreux produits domestiques et professionnels, ce
qui explique l’explosion des eczémas de contact aux isothiazolinones ; -
le bronopol et le formaldéhyde : ils augmentent les réactions allergiques.
-
-
Les composés toxiques pour le système nerveux
Des substances peuvent déclencher vertiges et somnolence :
-
les cétones, par exemple l’acétone (ou propanone)… ;
-
des alcools, par exemple l’éthanol, le propanol… ;
-
des hydrocarbures : hexanes, heptanes, toluène, xylène…
-
Pour limiter les risques lors de l’utilisation, l’agence rappelle de :
-
lire les étiquettes et respecter les recommandations d’usage du produit ;
-
de bien reboucher les différents contenants après utilisation ;
-
de ne pas manger et boire en utilisant les fournitures scolaires ;
-
de se laver les mains après avoir terminé l’activité de peinture, de dessin ou de collage ;
-
de ne pas mettre les pinceaux et autres matériels à la bouche ;
-
de veiller à bien aérer les pièces lors de l’utilisation de certains produits émissifs dans l’air comme la colle, la peinture, les feutres, les vernis…
Plus de détails sur le site de l’Ademe.
Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.
Psychomédia avec source : Ademe.
Tous droits réservés
Rafraichir son habitation : quelques conseils du ministère de la Santé (France)
Dans un article portant sur les différents types de ventilateurs mobiles contre la chaleur, le magazine 60 Millions de consommateurs de l’Institut national français de la consommation relève quelques conseils du ministère de la Santé pour rafraichir son habitation.
« Un ventilateur produit un mouvement d’air qui rafraîchit, sans pour autant faire baisser la température
», souligne le magazine.
« En cas de canicule, voici quelques recommandations publiées par le ministère de la Santé pour éviter que la température ne monte trop dans votre logement
» :
-
Installez des brise-soleil, une pergola végétalisée ou des stores bannes pour limiter le rayonnement sur les murs.
-
Fermez portes extérieures, fenêtres et volets pendant toute l’exposition au soleil.
-
Ouvrez les fenêtres situées à l’ombre uniquement si cela permet de créer un courant d’air.
-
Refroidissez les pièces grâce à l’évaporation d’eau :
- pendez un linge humide (de préférence une serviette de bain) devant une fenêtre ouverte, dans un courant d’air ; remouillez le linge dès qu’il est sec ;
- placez un pain de glace ou un sac de glaçons dans un courant d’air (devant un ventilateur) ;
- versez régulièrement un seau d’eau, si possible le soir après le coucher du soleil, sur la terrasse, le balcon ou les appuis de fenêtre.
-
Ouvrez les portes, fenêtres et volets quand le soleil est couché ET que la température extérieure a baissé.
« Pour plus d’informations, consultez les dépliants et outils d’information sur les fortes chaleurs publiés par Santé publique France.
»
Pour des informations sur les différents types de ventilateurs sur le site de 60 Millions de consommateurs : Un ventilateur pour éviter le coup de chaud.
Pour plus d’informations sur les fortes chaleurs et la santé, voyez les liens plus bas.
Psychomédia
Tous droits réservés