Archives de catégorie : ACTUALITES

Pourquoi cédez-vous (ou pas) à la tentation ?

Savez-vous renoncer à un plaisir immédiat pour un bienfait futur ? Et pourquoi ? La question a intéressé les chercheurs de l’Inserm.

Comment expliquer le fait que certains peuvent résister à l’attrait des plaisirs immédiats et poursuivre des objectifs à long terme, souvent plus avantageux, alors que d’autres cèdent facilement, ruinant leurs chances d’aller plus loin ? C’est la question à laquelle viennent de tenter de répondre des chercheurs de l’INSERM dirigés par Mathias Pessiglione (INSERM U975, « Centre de recherche en neurosciences de la Pitié-Salpêtrière » à Paris). Selon les résultats de leurs travaux – publiés dans la revue Plos Biology –, l’activité de l’hippocampe, une structure du cerveau profond, pourrait expliquer en partie ce mystère.

Cela fait des décennies que les économistes s’intéressent au dilemme du choix entre des récompenses modestes, mais distribuées immédiatement, et d’autres un peu plus importantes, mais plus lointaines. Mais ils ne sont pas les seuls puisque le fait de comprendre ce qui motive les décisions des uns et des autres est fort utile, par exemple pour concevoir une police d’assurance ou des campagnes de lutte contre l’alcoolisme. Dans ce dernier cas, qu’est-ce qui incite les individus à boire trop aujourd’hui plutôt qu’à être raisonnable pour préserver leur santé demain ?

Tout dépend de l’hippocampe

Ce sujet a été étudié au moyen d’IRM cérébrales, au cours desquelles des volontaires devaient choisir un gain financier immédiat – par exemple 10 euros tout de suite – ou une somme légèrement augmentée, mais plus tard – 11 euros demain. Avec ce type de test, les scientifiques ont découvert qu’une région très précise du cortex préfrontal (la région dorso-latérale) est impliquée. Elle joue un rôle dans la maîtrise du comportement, ce qui est essentiel pour patienter afin d’obtenir un gain supérieur. Puis les chercheurs ont compliqué un peu les choses, (…)

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Dès 18 mois, les enfants savent reconnaitre les fausses expressions faciales d’autrui

Une étude expérimentale canadienne montre que les bébés de 18 mois restent perplexes devant une personne simulant une émotion qu’elle n’éprouve pas, s’intéressant davantage à une personne manifestant une émotion ‘légitime’.

L’empathie est une capacité nécessaire à la vie sociale et à la collaboration entre individus. Après avoir démontré, voici 2 ans, que les bébés n’aimaient pas les menteurs, Diane Poulin-Dubois, de l’université Concordia, à Montréal, assistée de Sabrina Chiarella, s’est penchée sur les modalités d’apparition de l’empathie chez les tout petits, et montre cette fois-ci que ces derniers n’aiment pas non plus les simulateurs.

Les chercheuses ont testé les réactions de 92 bébés âgés de 15 à 18 mois face aux mimiques d’une comédienne jouant des saynètes dans lesquelles elle exprimait : soit une émotion logique dans le contexte (grimacer de douleur après s’être ‘tapé’ sur les doigts avec un marteau), soit une émotion inappropriée (pleurnicher après avoir reçu un jouet). Chaque enfant était assis face à la comédienne, aux côtés d’un de ses propres parents.

L’expérience a montré que les moins de 18 mois – sans doute trop jeunes – ne marquaient pas de différence de réaction face aux 2 types de scène. Ceux de 18 mois, en revanche, trahissaient leur perplexité face à la situation illogique en scrutant davantage le visage de la comédienne – comme pour y chercher l’expression attendue mais non trouvée. Ils scrutaient également celui de leur parent – comme pour guetter sa réaction devant cette situation bizarre.

Développer la compréhension des comportements d’autrui

Face aux signes d’une émotion logiquement corrélée à la situation, au contraire, ces enfants de 18 mois avaient davantage tendance à manifester leur compassion aux sentiments exprimés par la comédienne (en « l’aidant » ou en la « réconfortant »), explique l’étude parue dans la revue Infancy. (…)

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Colorants, conservateurs: tous les additifs à surveiller

Des boissons aux crèmes glacées en passant par des biscuits et des charcuteries, les additifs sont partout. Si certains sont parfaitement naturels et inoffensifs, d’autres laissent planer des doutes, voire sont carrément nocifs à haute dose. Reconnaissez-les pour mieux les éviter.

L’aspartame et les colorants caramels

L’aspartame (E 951)
Un édulcorant de synthèse, utilisé dans la plupart des produits allégés. « Il est hautement sujet à controverses notamment compte tenu de l’ancienneté des études toxicologiques ayant défini la DJA (dose journalière admissible) et des récentes études, notamment sur la femme enceinte, qui ont relancé le débat, souligne le docteur Chevallier. Les autorités de santé doivent donner leur avis à ce sujet avant l’été. »
On les trouve surtout dans : les sodas light, les produits allégés : yaourts, crèmes desserts, barres de régimes…
Pour les limiter ou les éviter : privilégiez les sucres naturels : miel, sirop d’érable et d’agave, sucre complet ou rapadura… Ou réapprenez peu à peu à boire vos boissons sans sucre !
Les colorants caramels (E 150 b, c et d)
Dans la famille des caramels, les E 150 b, c et d n’ont rien à voir avec le caramel qu’on cuit dans une casserole. « Il s’agit de recettes de synthèse. Ils peuvent entraîner des troubles digestifs entre autres, explique le docteur Chevallier. L’Etat de Californie a également imposé la réduction des concentrations en E 150 d dans les boissons, pourquoi ne pas s’aligner en Europe ? » L’EFSA vient de revoir leurs DJA (doses journalières admissibles) : 300 mg par kilo de poids et par jour, avec une limite fixée à 100 mg pour le colorant E 150c. Une quantité pas si difficile à atteindre pour les gros consommateurs de certains produits. L’EFSA a également recommandé aux industriels de maintenir leurs niveaux aussi bas que possible. Le colorant E 150 a est quant à lui bien obtenu à partir de sucre.
On les trouve surtout dans : sodas, confiseries, soupes, vinaigres, sauces sojas, certaines bières…
Pour les limiter ou les éviter : les traquer sur les étiquettes.

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Mal de dos : l’ostéopathie pour traiter le mal du siècle

À l’occasion de la journée mondiale de la colonne vertébrale qui s’est déroulée hier, mercredi 16 octobre 2013, l’Union Fédérale des Ostéopathes de France, rappelle que l’ostéopathie est la thérapie phare pour traiter et prévenir les maux du dos.

L’ostéopathie : une manière différente et spécifique de traiter le mal

Une personne sur deux dans le monde souffrirait de douleurs de dos au moins une fois dans l’année. Nos habitudes gestuelles, nos obligations professionnelles, les stress du quotidien, l’ergonomie de notre mobilier, une mauvaise alimentation, sont autant de causes qui entraînent des douleurs vertébrales.

L’ostéopathie est une manière différente de traiter ce mal, car elle considère, dans la majorité des cas, ce symptôme comme la conséquence d’une suite adaptive plus ou moins complexe. Par exemple, une douleur dorsale peut être liée à des maux d’estomac ou à un dysfonctionnement de la vésicule biliaire.

Pour traiter ce mal, l’ostéopathie utilise une gamme d’outils thérapeutiques spécifiques allant de la manipulation aux techniques viscérales et crâniennes.

© Crédit photo : UFOF

© Crédit photo : UFOF

L’ostéopathie : une thérapie adaptée

Le praticien, grâce au diagnostic ostéopathique spécifique (D.O.S.), peut déterminer les différentes origines de la douleur et traiter les structures impliquées dans l’apparition de cette souffrance, en tenant compte de la globalité de chaque individu. Par exemple, la contrainte mécanique exercée sur la zone lombaire est majorée ou provoquée par des facteurs locaux ou éloignés de la zone douloureuse. Ces facteurs de douleurs peuvent avoir diverses origines : traumatismes crâniens, séquelles de chutes, accidents de voiture, entorses…

Ainsi, il ne faudra pas s’étonner de consulter pour le bas du dos et d’être soulagé par la correction ostéopathique d’un pied ou d’un estomac.

L’ostéopathie : une thérapie pour tous les âges

Chez l’enfant, la douleur de dos générée par le port d’un cartable trop lourd, une chute, ou une scoliose, n’est jamais à négliger.

Chez la personne âgée, les douleurs ne sont pas une fatalité, même en cas d’arthrose ou d’ostéoporose. Des techniques douces et adaptées permettront de les soulager.

Plus d’informations : www.osteofrance.com/osteopathie/maldedos/

Ceci est un communiqué de l’Union Fédérale des Ostéopathes de France


News Santé

Douze ans requis contre l’ex-ostéopathe du « tout Paris »

PARIS (Reuters) – L’accusation a requis jeudi un minimum de 12 ans de réclusion à l’encontre de Pierre Pallardy, l’ex-ostéopathe du « tout Paris » jugé depuis le 1er octobre devant les assises de Paris pour viols ou agressions sexuelles sur seize anciennes patientes.

L’avocat général a en outre demandé qu’il soit interdit d’exercer définitivement et inscrit sur le fichier des délinquants sexuels.

L’auteur de best-sellers a nié jusqu’à présent les faits, affirmant que les poursuites relèvent « de la jalousie, de la vengeance et de l’affabulation » des plaignantes.

Depuis le début du procès, d’autres anciennes patientes se sont manifestées auprès de la justice et pourraient porter plainte, a-t-on appris de source judiciaire.

Les plaignantes ont toutes décrit à peu près le même scénario : alors qu’elles étaient seins nus, Pierre Pallardy leur pratiquait d’entrée un douloureux massage du ventre qui les laissait comme hypnotisées.

Il leur saisissait ensuite la poitrine à deux mains, « ce qui ne semble pas répondre au protocole de la profession d’ostéopathe », a relevé la présidente du tribunal, Jacqueline Audax. Il se serait ensuite livré à des attouchements ou à des pénétrations.

Après une jeunesse d’orphelin, l’accusé, qui encourt au maximum 20 ans de réclusion, était devenu kinésithérapeute, puis ostéopathe, dans les années 1970.

Auteur de best-sellers, comme « Plus jamais mal au dos », il avait rapidement fréquenté les plateaux télévisés et les émissions de radio.

Sa méthode consistait à mêler conseils pour une bonne hygiène de vie et massages vigoureux du ventre, capables selon lui de réguler l’équilibre psychique et de soigner insomnies, dépression et fatigue chronique.

Gérard Bon, édité par Sophie Louet


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Les ondes électromagnétiques n’auraient pas d’effets avérés sur la santé

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Un rapport sur l’exposition aux ondes électromagnétiques (EHS) publié par l’Agence nationale sanitaire (Anses) vient de montrer qu’il n’existerait pas d’effets sanitaires avérés lors de l’exposition à ces ondes, mais des effets biologiques sans effet avéré sur la santé sont toutefois possibles précise cet organisme. Les scientifiques qui se sont basés sur l’analyse de plus de 300 études pour parvenir à ces conclusions émettent toutefois certaines recommandations d’usages concernant l’utilisation de certains appareils émettant des ondes électromagnétiques.

Un certain nombre de personnes développent au contact des ondes électromagnétiques qui se dégagent des micro-ondes (hyperfréquences) mais aussi des appareils de type téléphonie mobile (téléphone portable, antennes-relais, Wifi, sans fil DECT, Bluetooth…) une hypersensibilité qui est très gênante dans la vie quotidienne. Les symptômes ressentis sont très variés et peuvent aller de picotements jusqu’à des sensations de brûlures en passant par divers troubles comme des vertiges, des maux de tête, des troubles de la mémoire, de la concentration ou encore du sommeil, et cette liste est loin d’être exhaustive.

Si les symptômes peuvent être peu visibles au départ, l’organisme hypersensible réagit aux ondes comme s’il développait une allergie. Plus le corps est ainsi exposé, plus il a de difficulté à se défendre, au point de ne plus pouvoir faire face. Selon Sophie Pelletier, responsable du Collectif des électrosensibles de France, les réactions peuvent être telles que de graves problèmes cardiaques ou des troubles de la mémoire peuvent être déclenchés.

L’Organisation mondiale de la santé reconnait l’EHS comme une pathologie à part entière qui concernerait de 5 à 8 % de la population active. Si l’Angleterre ou la Suède la classe au rang de maladie et de handicap respectivement, la France n’a toujours pas officiellement tranchée la question des personnes électro-sensibles. C’est la raison pour laquelle une expertise spécifique devrait démarrer dès la fin de l’année, selon l’Anses.

Un appel à projets de recherches a ainsi été lancé pour 2014 afin d’évaluer et d’identifier le problème et de faire des recommandations. En attendant un éclairage supplémentaire sur la question, le rapport de l’Anses qui vient de paraître sur les effets des ondes magnétiques appuyé sur l’analyse de près de 300 études pose déjà certaines bases de réflexions autour du sujet.

Il a ainsi été établi qu’il n y avait pas d’effets sanitaires liés aux ondes magnétiques mais que des conséquences biologiques étaient possibles, sans aller jusqu’à la pathologie. C’est la raison pour laquelle l’Agence sanitaire a déconseillé fortement l’utilisation d’un téléphone portable en mode de conversation pour les enfants. En raison d’une boîte crânienne moins épaisse, le cerveau des enfants serait plus exposé. Elle suggère même d’interdire le téléphone portable aux enfants de moins de 6 ans.

Le gouvernement a de son côté réagit à ce rapport de l’Anses en évoquant le fait de tirer toutes les leçons pour voir la nature des messages à faire passer (recommandations, précautions d’usage…).
Rappelant certaines règles concernant l’utilisation des appareils émettant des ondes électromagnétiques comme par exemple ne pas user de façon excessive du téléphone portable, la ministre de la Santé Marisol Touraine a réagit sur l’antenne de France Info en envisageant comme une piste possible l’ interdiction du portable aux enfants de moins de 6 ans.

Téléphone et ondes électromagnétiques

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Pourquoi envoyer des sms au volant est plus dangereux que conduire en état d’ivresse !

©Fotolia

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« Pourquoi envoyer des sms au volant est plus dangereux que conduire en état d’ivresse ! » par le docteur Erard de Hemricourt.

Envoyer des sms (textos) en conduisant, ce n’est pas bien. Ce n’est pas bien et c’est même extrêmement dangereux comme de nombreuses études nous l’ont montré. En fait, il est plus dangereux d’envoyer des sms en conduisant un véhicule que de conduire en état d’ébriété. Le risque d’accident mortel peut être multiplié par 23.

Et pourtant, même si les gens et surtout les jeunes le savent, cela ne les empêche pas de continuer cette pratique interdite (dans de nombreux pays). C’est ce que vient de nous montrer une étude américaine récemment publiée aux États-Unis (Garold Lantz et al. An exploratory study of psychological tendencies related to texting while driving. Int. J. Sustainable Strategic Management, 2013, 4, 39-49).

Selon cette étude, près de 80 % des jeunes au collège continuent à envoyer des textos tout en conduisant leur véhicule alors qu’ils savent pertinemment qu’il s’agit d’une pratique dangereuse pouvant occasionner un accident mortel. Cette inclination à envoyer des textos est positivement corrélée à une certaine impulsivité de la part des utilisateurs à ‘texter’, selon les analyses récoltées.

Et qui sont les plus impulsifs ? Les jeunes hommes qui, bien qu’ils reconnaissent en effet abuser du téléphone au volant, se considèrent toutefois à l’abri d’une mésaventure puisque meilleurs que les autres à envoyer des sms tout en conduisant.

« Il semble, dans la tête de ces garçons, exister un certain consensus qui confirme que l’utilisation des outils électroniques est bien dangereuse pour tout le monde … sauf pour soi-même» selon les Dr Garold Lantz et Sandra Loeb de l’école de commerce McGowan.

De nombreuses études ont clairement anéanti le mythe du multitasking (capacité à réaliser correctement plusieurs choses à la fois) puisque seuls 2,5 % des gens ont ou auraient les capacités de pouvoir s’occuper correctement de 2 ou trois choses à la fois.

Il est donc largement temps, selon les auteurs de l’étude, de casser cette impulsivité latente à envoyer des sms au volant et de faire comprendre, aux jeunes surtout, le réel danger d’un tel comportement au volant.

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé – Tous droits réservés-
« Ne restez plus jamais seul face à votre cancer » avec Esperity, premier site multilingue destiné aux patients touchés par le cancer


News Santé

Allaitement difficile ? L’ostéopathie peut être la solution

À l’occasion de la Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel organisée par la WABA (l’Alliance Mondiale de l’Allaitement Maternel), du 12 au 20 octobre 2013, l’Union Fédérale des Ostéopathes de France, rappelle que l’ostéopathie permet d’œuvrer au bon déroulement de l’allaitement.

 © crédit photo : UFOF

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Des difficultés à prendre le sein : peut être un simple dysfonctionnement ostéopathique

L’allaitement est souvent perçu comme un moment de communion entre la mère et son enfant. Mais lorsque ceux ci sont difficiles, ils arrivent que les mamans se culpabilisent.

Or, dans la plupart des cas, cette difficulté qu’a le bébé à prendre le sein provient d’un dysfonctionnement ostéopathique sur certaines zones du crâne.

La malposition ou le blocage de la mandibule, une douleur du coup qui gêne l’ouverture de la bouche, ou bien encore le mauvais placement de la langue sur le palet peuvent être à l’origine de ces difficultés.

Des facteurs d’origine physique peuvent gêner la succion

Lors de l’accouchement, l’enfant peut s’appuyer fortement sur son menton, voire le dévier, provoquant une asymétrie visible.

Une traction trop forte de la tête du bébé sous son menton, pour le dégager lors de la naissance, ou lors de la pose de forceps ou de ventouse.

La circulaire du cordon : un ou plusieurs tours autour du cou peuvent provoquer une gêne à la déglutition. Il arrive que le bébé puisse s’étrangler et faire des pauses respiratoires lorsqu’il boit.

En cas de réanimation et/ou d’intubation, le laryngoscope appliqué sur la langue peut faire dévier celle-ci sur le côté de la bouche et provoquer un bavage lors de l’allaitement.

Un menton qui « tremblote » n’est pas le signe que le bébé a froid, mais celui pour l’ostéopathe que la mandibule n’est pas sur ses bons axes de mobilité par rapport aux temporaux.

Quand consulter ?

En cas de trouble de succion, difficulté d’allaitement, de mise au sein, l’idéal est de traiter le bébé le plus tôt possible, à la maternité. Les résultats sont quasi immédiats après la séance.

Si la maternité n’offre pas les services d’un ostéopathe, les parents pourront consulter dès le retour à la maison.

Même sans ces symptômes, il est toujours profitable de consulter un ostéopathe dans le premier trimestre de vie après le traumatisme de la naissance.

Comment se passe une séance d’ostéopathie chez le bébé ?

Les maîtres mots de cette pratique sont la confiance, la douceur et la détente. Avec un procédé parfaitement indolore, l’ostéopathe teste doucement toutes les contraintes tissulaires et les malpositions osseuses du bébé. Rien n’est imposé au bébé, c’est l’enfant lui-même qui va venir prendre appui sur les mains du praticien pour se libérer. C’est pourquoi la communication de confiance doit être parfaite entre le bébé et le praticien. Bien souvent, parfaitement détendu en fin de séance, l’enfant s’endort.

Ceci est un communiqué de l’Union Fédérale des Ostéopathes de France


News Santé

Les manifestants contre l’écotaxe provoquent des bouchons en Bretagne

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Les acteurs économiques et agricoles de Bretagne manifestent depuis ce samedi midi en organisant des « opérations escargots » pour protester contre la mise en place de l’écotaxe sur le transport routier. Cette mesure issue du Grenelle de l’environnement qui doit rentrer en vigueur le 1er janvier prochain imposerait à 600 000 poids-lourds en France de payer entre 8 et 14 centimes d’euros par kilomètre parcouru selon la date de circulation du véhicule.

Pour protester contre cette mesure, le « collectif pour l’emploi en Bretagne » a lancé, avec d’autres, un appel à manifester contre cette écotaxe.

Alors que deux « portiques écotaxe » ont été sabotés en été dans le Finistère, le gouvernement ont pris des mesures pour protéger le dernier portique qui existait. Afin de dénoncer cette écotaxe, les manifestants ont passer outre les consignes pour aboutir jusqu’au portique en empruntant une portion de voie express interdite à la circulation. Des « opérations escargots ont aussi été organisées sur la RN 12 à l’ouest de Saint-Brieuc ou encore sur la RN164 entre Josselin et Locminé occasionnant des bouchons de plusieurs kilomètres.

A Gravelle, le dernier péage de l’autoroute en venant de Paris avant d’arriver en Bretagne, une cinquantaine de manifestants ont mené une opération « péage gratuit ».

L’écotaxe, qui est contestée par un certain nombre de professionnels de la route, fait partie des mesures décidées par le gouvernement qui sont favorables à une application du principe pollueur Cette taxe verte fait partie des mesures de l’Etat, favorable à une application du principe pollueur-payeur.

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Attirante ou répulsive ? Une zone du cerveau serait dédiée à l’appréciation des odeurs

Publiant leurs travaux dans le Journal of Neurosciences, des chercheurs américains ont mis en évidence, chez la mouche drosophile, une région cérébrale dictant le comportement – attirance ou répulsion – de l’insecte face aux différentes odeurs de nourriture. 

Comprendre les mécanismes qui dictent notre attirance pour tel ou tel type de nourriture est une aire de recherche dont l’enjeu est lié à l’augmentation du phénomène d’obésité. Des spécialistes en neurosciences au Cold Spring Harbor laboratory (CSHL, dans l’état de New York) ont découvert, dans le cerveau de la mouche drosophile, un ensemble de cellules qui répondent spécifiquement aux odeurs de nourriture.

Lorsqu’une de ces mouches est mise en présence d’une odeur donnée, l’intensité de l’activation de ces neurones, observée par les chercheurs, reflète « incroyablement bien » l’attirance plus ou moins marquée de l’insecte pour cette odeur (vers laquelle il se dirigera donc plus ou moins vite), ont constaté les scientifiques. Cette réponse neuronale est d’autant plus marquée que l’insecte est affamé.

De plus, les chercheurs ont réussi à désactiver ces neurones – les mouches devenant alors indifférentes à leurs odeurs favorites – ou à les activer artificiellement – conduisant alors les mouches à s’approcher d’odeurs qu’elles fuyaient auparavant. « L’idée générale est qu’il y a des zones du cerveau qui pourraient être spécifiquement impliquées lorsqu’on se dit : cette odeur est vraiment attractive, allons-y ! », a expliqué Jennifer Beshel, auteur principal de l’étude.

Des questions en suspens

« Les neurones d’autres régions du cerveau ne peuvent que dire ce qu’une chose est : de la pomme, du poisson…, sans lui attribuer une valeur particulière. [Mais] nous savons tous que nous nous comportons différemment face aux différents aliments – nous avons des préférences. Et nous savons aussi tous que nous nous (…)

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