Une femme d’une trentaine d’année a été arrêtée pour avoir fait de fausses ordonnances afin de se procurer un médicament contre les crises d’angoisse. Un médicament auquel elle est devenue addict.
Fausses ordonnances pour vraie addiction
Elle n’en est pas à son coup d’essai : une femme de 37 ans avait déjà été interpellée en 2014 pour avoir falsifié des ordonnances médicales, volées à son médecin. Elle a remis ça depuis janvier.
Pour obtenir ses médicaments, elle s’est rendue dans les pharmacies de plusieurs communes (17 au total) afin de se procurer le plus souvent possible ces médicaments. Il s’agissait du Xanax, contre les crises d’angoisse, dont elle dit consommer 20 à 25 comprimés au quotidien. C’ets au total 4 500 cachets que la jeune femme a consommé.
Qu’est-ce que la dépendance médicamenteuse ?
Il existe d’une part la dépendance physique, quand le corps s’est adapté au traitement et quand l’arrêt du traitement entraine des symptômes physiques (tremblement par exemple) ; d’autre part la dépendance psychique, plus psychologique elle repose sur la peur des conséquences sans prise de médicaments.
Comme la jeune femme victime de dépendance médicamenteuse, la plupart du temps les dépendances sont provoquées par les médicaments contre l’anxiété ou ceux contre la douleur.
Arrêter un médicament doit se faire en décision commune entre le médecin et le patient.
Rédigé par Stéphanie Robert
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Lorsque l’on est médecin, même en stage, l’on se doit toujours de respecter tous les patients, et notamment ceux dans un état des plus critiques. Une jeune mexicaine stagiaire en médecine a dû oublier les règles les plus élémentaires…
[ALIMENTATION] Il n’y a pas si longtemps une étude espagnole établissait un lien entre malbouffe et mauvaise santé mentale. Menée par de chercheurs des universités de Las Palmasde Gran Canaria et de Navarre, elle avait permis de révéler que les adeptes de ce que l’on appelle la « malbouffe » étaient deux fois plus exposés au risque de dépression que ceux ayant une alimentation plus équilibrée.
Mais la malbouffe avait aussi un impact sur notre mémoire ? C’est ce qui ressort d’une étude menée aux Etats-Unis par des chercheurs de l’université de Californie.
Selon cette énième étude sur le sujet, les acides gras trans, surtout présents dans les plats de restauration rapide (de type fast-food) – on en trouve aussi dans certains plats préparés, les biscuits ou les huiles végétales hydrogénées – contribueraient à des pertes de mémoire.
Avant d’en arriver à cette conclusion, les scientifiques ont demandé à des hommes de lire une centaine de mots inscrits sur des cartes, puis de tenter de les mémoriser. Une deuxième liste leur a ensuite été soumise. Leur mission ? Dire si des mots de la seconde liste leur avaient déjà présentés.
Et le résultat est sans appel : les hommes mangeant trop gras ont eu de moins bons résultats que ceux qui avaient une alimentation saine et équilibrée.
Les auteurs de l’étude ont expliqué que ces acides freinaient la production d’Oméga 3, des acides nécessaires au développement et au fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux.
Les oméga 3 font partie de la famille des acides gras polyinsaturés. Ils ne sont pas synthétisés par l’organisme et doivent être apportés par le régime alimentaire. Ils sont indispensables au fonctionnement de notre système nerveux. Les oméga-3 sont soit d’origine végétale, soit d’origine animale. On en trouve par exemple dans les poissons gras comme le saumon, le maquereau, le hareng ou les anchois, le soja, les noix, le colza
« Des études plus anciennes avaient montré l’influence des acides gras trans sur l’humeur et le comportement, mais celle-ci est la première qui fait un lien direct entre ces derniers et une perte de mémoire » ont déclaré les auteurs de l’étude.
Coca-Cola finance, à coup de millions de dollars, des scientifiques qui diffusent le message que l’obésité est plus due au manque d’exercice physique qu’au régime alimentaire et à la consommation de sucre, rapporte le New York Times.
La stratégie survient alors que les ventes de boissons gazeuses ne cessent de baisser et que plusieurs autorités de santé ont entrepris de mieux sensibiliser la population aux méfaits du sucre.
Coca-Cola a notamment financé le Global Energy Balance Network, un organisme sans but lucratif qui fait la promotion de l’idée que les gens soucieux de leur poids sont trop obsédés par leur alimentation et n’accordent pas assez d’importance à l’exercice.
Et ce, alors que les experts s’entendent de plus en plus pour dire que l’alimentation a un impact beaucoup plus important que l’exercice sur le poids.
Par exemple, rappelle Barry M. Popkin, professeur de nutrition à l’Université de Caroline du Nord, une canette de 12 onces (355 ml) de Coca-Cola contient 140 calories et environ 10 cuillères à thé de sucre. Il faut marcher près de 5 Km pour brûler ces calories.
Les niveaux d’activité physique dans les pays occidentaux sont restés stables au cours des trois dernières décennies, alors que les taux d’obésité ont explosé, soutenaient par exemple Aseem Malhotra directeur scientifique de l’organisme Action on Sugar et ses collègues dans le British Journal of Sports Medicine en avril dernier.
Une récente analyse des études portant sur les boissons, publiée dans la revue Plos One et citée par l’article du New York Times, montre que celles qui sont financées par Coca-Cola, PepsiCo, l’American Beverage Association et l’industrie du sucre sont 5 fois plus susceptibles de ne pas trouver de lien entre les boissons sucrées et la prise de poids que celles dont les auteurs ne rapportent pas de conflits d’intérêts.
Le financement offert par Coca-Cola à d’éminents chercheurs rappelle les tactiques utilisées par l’industrie du tabac qui enrôlait des experts pour devenir des « marchands de doute » sur les dangers du tabagisme pour la santé, note Barry Popkin.
Mentionnons que les mêmes stratégies de création d’apparences de doute scientifique sont également utilisées en ce qui concerne le climat.
Psychomédia avec sources : New York Times, British Journal of Sports Medicine. Tous droits réservés
Le 19 mars 2015, un sternum complet en céramique d’alumine poreuse CERAMIL a été implanté sur une patiente atteinte d’un cancer. Cette première mondiale réalisée par le docteur François Bertin s’est déroulée avec succès au CHU de Limoges. Le CHU et I.CERAM, spécialiste des implants en céramique, se félicitent de cette prouesse chirurgicale qui utilise une technologie 100% biocompatible et réhabitable. Cette innovation porte à 102 le nombre de 1ères mondiales signées par les CHU de France.
Sternum en céramique d’alumine poreuse implanté pour la 1ère fois le 19 mars 2015 au CHU de Limoges par le Dr François Bertin
Une avancée thérapeutique majeure Cette opération marque un tournant dans la chirurgie des infections et des métastases osseuses en supprimant quasiment les risques d’infection pour le patient par une intégration osseuse durable de l’implant et une réduction significative du temps d’opération.
Les traitements « traditionnels » utilisés à ce jour dans le cas d’un sternum infecté ou métastasé sont complexes, limités (sternum en titane ou pièce en ciment osseux avec fixations métalliques) et surtout multiplient le risque infectieux pour le patient. Outre la pureté liée aux caractéristiques de l’alumine (Al2O3), le sternum CERAMIL est totalement inerte et offre une biocompatibilité totale associée à une résistance mécanique parfaitement maitrisée. Sa porosité, identique à celle de l’os humain, favorise la circulation des cellules, l’implant devenant partie intégrante de l’os en l’espace de 6 mois. Cette intégration osseuse durable améliore significativement le confort et la qualité de vie du patient qui retrouve pour la 1ère fois une souplesse du thorax après l’opération.
Avec 3 mois de recul clinique, l’opération est une véritable réussite. «Le bilan de l’opération est très positif et la patiente se rétablit progressivement. Le sternum en céramique I.CERAM a pleinement répondu à mes attentes lors de l’opération. D’un point de vue chirurgical, cela constitue une évolution importante permettant un gain de temps opératoire significatif. Par ailleurs la biocompatibilité conjuguée à la résistance du matériau permettent de revenir à l’essence même de la chirurgie en réalisant une opération plus naturelle, limitant les risques infectieux et les rejets.» souligne le docteur François Bertin, qui a participé à la conception du dispositif et posé l’implant.
Cette réussite atteste aussi de l’expertise d’I.CERAM, acquise depuis plus de 10 ans, en matière de céramique poreuse et de sa capacité à fabriquer des implants de grandes tailles dans ce matériau (de plusieurs dizaines de m3).
Accélération du développement de « l’implant osseux actif» d’I.CERAM Cette opération constitue une étape majeure dans le déploiement du projet « implant osseux actif » d’I.CERAM, véritable révolution dans le traitement des infections osseuses. « Nous sommes fiers de la réussite de cette opération sur laquelle les équipes d’I.CERAM et du CHU de Limoges travaillent depuis plus de 18 mois. Notre sternum en alumine poreuse apporte une solution unique dans le traitement des sternums infectés qui ne connaissent à ce jour aucun traitement satisfaisant. Nous allons accélérer nos travaux de R&D afin de pouvoir proposer d’ici 1 an et demi, un sternum chargé en molécules actives pour intervenir dans des indications d’infections osseuses. » déclare André Kérisit, président d’I.CERAM.
Cette innovation s’inscrit dans une étude pilote conduite en amont d’une étude clinique qui sera multicentrique. Avec près de 2% à 4% des prothèses qui s’infectent par an dans le monde, I.CERAM s’ouvre les portes d’un important marché : celui de l’infection osseuse.
Fort de cette 1ère mondiale, I.CERAM valide et réaffirme sa volonté de devenir un acteur de 1er plan dans le domaine des implants en biocéramiques à destination de la chirurgie de tous types d’infections osseuses.
Toutes les informations sur www.iceram.fr et www.chu-limoges.fr
Article de CHU Réseau, toute l’actualité des CHU – Tous droits de reproduction réservés
Les femmes regardent des films pornos et souvent plus longtemps que les hommes, selon les résultats d’une sondage international réalisé par les sites de pornographie en ligne Pornhub et Redtube.
Les femmes sont des hommes comme les autres. Elles aussi, les coquines matent des films pornographiques. Mais savez-vous ce qu’elles aiment et recherchent ?
Grâce à un sondage réalisé par les sites de pornographie en ligne Pornhub et Redtube, on apprend qu’un visiteur sur 4 est une femme et que ces amatrices de pornographies sont plus gourmandes que les hommes. En effet, leurs visites durent en moyenne 48 secondes de plus que celles des hommes, soit 10 minutes et 10 secondes contre 9 minutes 22. En France, précisément, les femmes se promènent sur ces sites 10 minutes et 4 secondes, contre 9 minutes et 21 secondes pour les consommateurs masculins.
Nous savons maintenant que la France garde un public majoritairement masculin avec 76% d’hommes pour 24% de femmes qui se connectent à des sites pornographiques. Au Philippines et au Brésil, 35% de femmes regardent ces sites pour 65% d’hommes. Les niveaux les plus faibles ont été observés en Allemagne et au Japon avec 17% de femmes pour 83% d’hommes.
Les goûts des femmes
Une récente étude française réalisée par l’Ifop nous en apprenait plus sur les goûts des femmes en pornographie. Elle nous révélait que les femmes sont sensibles au réalisme des scènes de sexe (35%), à la qualité du scénario (37%) et l’aspect naturel du physique des acteurs (40%). Ce pourquoi 78% d’entre elles déplorent que dans la majorité des films soient montrées des pratiques très éloignées de la réalité (78%) ou uniquement des fantasmes trop masculins (71%).
Trois femmes sur quatre (72%) jugent en revanche les films porno « très dégradants pour l’image de la femme », pour 50% des hommes. Et, 57% d’entre elles les trouvent trop violents (contre 41% des hommes).
Mais contrairement aux hommes, seules 18% d’entre elles regardent un film X régulièrement ou de temps en temps, contre 63% des hommes. Parmi elles, plus d’un tiers (36%) n’ont pas encore eu de rapport sexuel et 17% ont moins de 25 ans.
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C’est l’épidémie la plus grave jamais enregistrée à New York. Depuis le mois de juillet, dix personnes sont mortes à cause de la légionellose. En début de semaine, le maire Bill de Blasio paraissait optimiste et les autorités médicales également. « Nous pensons que nous avons vu le pire de cette épidémie et que nos efforts d’assainissement ont eu un impact », déclarait ainsi Mary Bassett, la responsable du département de la Santé de New York.
Un virus qui atteint les poumons
Mais 10 personnes sont déjà mortes. Depuis le 10 juillet, plus de 100 personnes l’ont contractée et 94 ont été hospitalisées. Cette bactérie a été trouvée dans les tours de climatisation de cinq immeubles du sud du Bronx. Depuis, les tours ont été désinfectées. « Le virus atteint les poumons. Ensuite, en fonction des défenses immunitaires et l’état de santé de la personne, il se développe plus ou moins. Si on n’est pas soigné dans les premiers jours, ce sera le début d’une pneumonie », explique un médecin.
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30 000. C’est le nombre d’animaux qui se perdent chaque année. L’été est d’ailleurs une période propice à la perte d’animaux puisque la moitié se perd durant cette période. Comment gérer un animal trouvé seul ?
Animal perdu : quelles démarches ?
Avant toute décision, il faut s’assurer que l’animal est réellement perdu. Pour cela, il faut vérifier si le maître de l’animal n’est pas à proximité. L’animal porte-t-il une médaille ou un collier indiquant éventuellement les coordonnées du maitre ?
Autre moyen de trouver l’identité d’un animal trouvé, c’est de regarder s’il est tatoué ou s’il possède une puce (obligatoire depuis 2012).
Si l’animal est tatoué, il faut contacter le fichier national d’identification des carnivores domestiques soit directement en ligne sur www.i-cad.fr soit par téléphone au 0 810 778 778 (numéro Azur).
S’il porte une puce, il convient de l’amener auprès d’un vétérinaire qui pourra lire les informations de la puce.
Après identification et déclaration auprès de la société centrale canine ou du fichier national félin, le propriétaire de l’animal recevra un courrier pour l’informer sur la situation de son animal.
Chien ou chat perdu : qui doit gérer l’animal ?
Sans nouvelle du propriétaire, qui doit garder l’animal perdu ? La police municipale, la gendarmerie ou la permanence de mairie sont en en charge des animaux errants. Les vétérinaires ne garderont pas les chiens ou chats perdus. Les services de recueil contacteront enfin la fourrière.
La personne qui a trouvé l’animal peut faire une déclaration de garde auprès de la fourrière. En revanche, l’animal devra être restitué à son maître en cas de manifestation de ce dernier.
Rédigé par Stéphanie Robert
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La plupart des gens peuvent manger toute sorte d’aliments sans aucun risque, sans aucune gêne. Pour une minorité en revanche, certains aliments sont bannis de l’assiette, sous peine d’entraîner des symptômes désagréables voire dangereux. Sont-ils allergiques ou intolérants ? Quelle est la différence entre les deux ? On fait le point.
L’allergie alimentaire concerne 3 à 4% des adultes et 6 à 8 % des enfants. En revanche, les données sur l’intolérance alimentaire sont plus floues. On estime ainsi qu’environ 20% de la population est touchée par une intolérance. Mais comment différencie-t-on une allergie d’une intolérance ?
L’allergie, une réaction du système immunitaire
L’allergie à un aliment est due à une réaction démesurée du système immunitaire face à un allergène. Ce dernier provoque une réaction en chaîne dans le système de défense de l’organisme, qui va alors produire des anticorps, des protéines du système immunitaire. Ces anticorps vont ensuite aboutir à la libération d’autres substances inflammatoires, telles que l’histamine. Ce sont ces molécules qui vont donner lieu aux symptômes d’une allergie : picotements, gonflements, rougeurs cutanées, nausées, vomissements,… Ces symptômes peuvent varier d’un individu à l’autre et dépendent de la zone où l’histamine est libérée. Ainsi une allergie respiratoire n’occasionne pas les mêmes symptômes qu’une allergie cutanée ou alimentaire.
Si l’allergie est généralement sans gravité, il arrive qu’un choc anaphylactique se produise. Cette réaction allergique exacerbée constitue une urgence vitale.
L’intolérance, lorsqu’une enzyme manque à l’appel
L’intolérance alimentaire, en revanche, ne fait pas intervenir le système immunitaire. Il s’agit d’une réaction du métabolisme, due à une enzyme inexistante, inactive ou insuffisante. A cause de cette anomalie, le corps est incapable de digérer certains aliments. L’exemple le plus probant est celui de l’intolérance au lactose. Celle-ci est due à une carence en lactase, l’enzyme responsable de la digestion du lactose, un sucre contenu dans le lait. Les individus intolérants au lactose ne sont donc pas en mesure de digérer le lait convenablement. S’ils boivent du lait, des symptômes tels que des maux de (…) Lire la suite sur Topsanté
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La vasectomie est une méthode de stérilisation masculine. Cette opération simple permet de conserver ses capacités sexuelles mais présente le désavantage d’être irréversible, c’est pourquoi elle nécessite un temps de réflexion. Mais de quoi s’agit-il exactement et quels sont les risques ? Petit tour d’horizon.
Définition : qu’est-ce que la vasectomie ?
La vasectomie est une méthode de stérilisation irréversible de l’homme. Elle est efficace à 99,9% et permet à l’homme d’assumer une responsabilité en matière de contraception. La vasectomie consiste à couper les canaux déférents, qui transportent le sperme. Il faut noter que le sperme qui contient les spermatozoïdes ne représente en moyenne que 2 à 3% de l’éjacula.
Encore très récente (2001) et peu répandue en France, la vasectomie existe depuis pourtant plus de deux siècles. Aux États-Unis, elle est considérée comme une méthode de contraception à part entière depuis les années 1960, et 16% des Américains y auraient aujourd’hui recours. L’opération est aussi banalisée dans les pays du nord.
Puisqu’il n’y a ni ablation, ni destruction des testicules, l’activité hormonale et le comportement sexuel ne sont en aucun cas modifiés. L’érection et l’éjaculation restent possibles, cette dernière ne contenant juste plus de spermatozoïdes.
Opération : la vasectomie, comment ça se passe ?
Il existe deux grandes techniques pour réaliser une vasectomie :
– La plus fréquente consiste à sectionner les canaux déférents sur quelques centimètres. Pour ce faire, deux petites incisions sont réalisées dans le scrotum ou les bourses, qui ont été préalablement anesthésiées localement. Les ouvertures sont ensuite refermées à l’aide de petites sutures.
– La seconde méthode est appelée « vasectomie sans bistouri » et se fait également sous anesthésie locale. Elle consiste à pratiquer une petite ouverture à l’aide d’une pince aux (…)
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