Archives de catégorie : ACTUALITES

Une cigarette par jour, c'est dangereux

Une cigarette quotidienne reste dangereuse

Première cause de mortalité évitable en France, la cigarette fait des ravages. Pas étonnant pour les « gros » fumeurs, mais qu’en est-t-il de ceux qui ne fume qu’une cigarette par jour ? Une étude dévoile que même dans ce cas le risque est accru par rapport aux non-fumeurs.

Même une seule cigarette par jour peut faire mourir le fumeur

Vous pensiez que fumer une seule cigarette quotidienne n’était « pas grave », pas dangereux pour la santé ? Une étude américaine réalisée par les chercheurs de l’Institut national américain du cancer (NCI) vient casser ce mythe : consommer une cigarette  quotidienne toute sa vie augmente le risque de décès prématuré de 64 %. Quant à ceux qui fument une à 10 cigarettes par jour, le risque augmente de 87 %.

Selon le directeur de cette recherche, « il n’y a pas de niveau [de consommation de cigarettes, NDR] sans risque ». D’ailleurs, le taux de mortalité des fumeurs est 3 fois plus élevé que celui des non-fumeurs.

Ceux qui arrêtent de fumer voient leur risque de décès diminuer

Concernant les petits fumeurs qui sont parvenus à arrêter de fumer peuvent voir leur risque de mortalité diminuer par rapport à ceux qui continuent. Le fait d’arrêter jeune compte aussi dans la diminution di risque de mortalité.

Pour la tranche d’âge des 18/34 ans, près de la moitié d’entre eux fument. Au cours des toris dernières années, 10 % sont parvenus à cesser totalement le tabac, tandis que 75 % des fumeurs ont essayé d’arrêter (sans y parvenir)  durant 8 jours.

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Des corrélations génétiques entre des traits de personnalité et des troubles psychiatriques

Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Nature Genetics, ont identifié six régions du génomesignificativement liées à des traits de personnalité et des troubles psychiatriques.

Chi-Hua Chen de l’Université de Californie à San Diego et une vingtaine de collaborateurs ont analysé les variations génétiques entre cinq traits de personnalité et six troubles psychiatriques, en utilisant les données de plusieurs sociétés et organisations spécialisées dans l’étude du génome (1).

Les données de ces organisations et sociétés incluaient entre 123 132 à 260 861 participants.

Bien que les traits de personnalité soient en partie héréditaires, expliquent les chercheurs, il a été difficile de caractériser les variantes génétiques associées à la personnalité jusqu’aux études récentes qui portent sur le génome entier.

Le modèle des cinq grands facteurs de personnalité, souvent désigné sous l’acronyme OCEAN, est couramment utilisé pour mesurer les différences individuelles de personnalité. Ces cinq grands traits, qui représentent des continuums avec des pôles opposés, sont les suivants :

  • l’extraversion (opposée à l’introversion) : loquacité, affirmation de soi et niveau d’activité élevé ;

  • le neuroticisme (opposé à la stabilité émotionnelle) : affect négatif comme l’anxiété et la dépression ;

  • l’amabilité (opposé à l’antagonisme) : coopération et compassion ;

  • la consciencieusité (opposé à négligence, irresponsabilité) : diligence et autodiscipline ;

  • l’ouverture à l’expérience (opposé à la fermeture) : curiosité intellectuelle et créativité.

(TEST : Quels sont vos cinq grands traits de personnalité ?)

Des méta-analyses précédentes d’études menées avec des jumeaux et des familles ont attribué environ 40 % de la variance de la personnalité à des facteurs génétiques.

La présente analyse a identifié des variations génétiques liées aux traits d’extraversion et de neuroticisme. Les traits de personnalité étaient largement séparés génétiquement des troubles psychiatriques, mais des corrélations génétiques élevées ont été constatées entre :

  • l’extraversion et le trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention (TDAH) ;

  • l’ouverture et la schizophrénie ainsi que le trouble bipolaire ;

  • le neuroticisme et des psychopathologies telles que la dépression et l’anxiété.

Cette étude est à un stade précoce et de nombreuses autres variantes génétiques associées à des traits de personnalité restent à découvrir, soulignent les chercheurs.

(1) 23andMe, une société privée de génomique et de biotechnologie, du Genetics of Personality Consortium, une collaboration basée en Europe de GWAS axée sur les questions de personnalité, de l’UK Biobank et deCODE Genetics, une société islandaise de génétique.

Psychomédia avec source : University of California San Diego, Nature Genetics.
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Le magnésium lié à de nombreux bénéfices (carence fréquente)

Une étude, publiée dans la revue BMC Medicine, a analysé le lien entre l’apport nutritionnel de magnésium et la santé chez plus d’un million de personnes dans neuf pays.

Fudi Wang de l’université Zhejiang et ses collègues ont combiné les résultats de 40 études épidémiologiques pour analyser l’effet de chaque augmentation de 100 mg d’apport alimentaire de magnésium quotidien.

Les personnes dont l’apport était le plus élevé avaient un risque de maladie coronarienne réduit de 10 %, d’accident vasculaire cérébral (AVC) réduit de 12 % et de diabète de type 2, de 26 % comparativement à celles ayant l’apport le moins élevé. Pour chaque ajout de 100 mg par jour le risque d’AVCl était réduit de 7 % et le diabète de type 2 de 19 %.

Le magnésium est vital pour la santé et les fonctions biologiques dont le métabolisme du glucose, la production de protéines et la synthèse d’acides nucléiques comme l’ADN, soulignent les chercheurs.

Des aliments riches en magnésium sont notamment certaines épices, les noix, les haricots, le cacao, les grains entiers et les légumes à feuilles vertes.

Cette méta-analyse implique des études observationnelles, ce qui signifie qu’elle ne prouve pas que le lien observé est de cause à effet et que le magnésium est directement responsable de la réduction du risque de maladies.

Mais, soulignent les chercheurs, l’ampleur de l’étude (1 million de personnes) et les résultats stables d’un pays à l’autre suggèrent fortement des bénéfices du magnésium pour la santé globale.

Selon leurs estimations, la carence en magnésium varierait de 2,5 % à 15 % de la population générale.

Psychomédia avec source : Biomed Central.
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Une campagne « #Stoppollution » lancée par la mairie de Paris

Alors que « Paris et l’Île-de-France sont confrontés au plus grave pic de pollution survenu depuis une décennie », la Ville lance une campagne de communication « #Stoppollution : La pollution automobile à Paris, il faut que ça arrête ».

Face à cette « crise sanitaire majeure, la circulation alternée des véhicules a été mise en place depuis le 6 décembre : cette mesure est prolongée pour le vendredi 9 décembre ainsi que la gratuité des transports en commun ». Autres mesures : gratuité du stationnement résidentiel et des services Vélib’ et Autolib’ pour les nouveaux usagers à la journée.

« La pollution de l’air tue et rend malade, a rappelé Bruno Housset, chef du service de pneumologie au Centre hospitalier intercommunal de Créteil. Les femmes enceintes ont ainsi plus de chances d’avoir des enfants asthmatiques du fait de cette pollution ».

La campagne est constituée d’une série de visuels exposant des données aussi impressionnantes les unes que les autres telles que :

« Nezha est sortie prendre l’air à Paris avec sa fille. C’est comme si elles étaient restées enfermées dans 20 mètres carrés avec 8 fumeurs. »

« Sara aime rentrer de l’université à pied. Sabs le savoir, elle a fumé aujourd’hui l’équivalent d’un paquet de cigarettes. »

« Le trafic routier est à l’origine de deux tiers des émissions de dioxyde d’azote et de 55 % des émissions de particules à Paris », indique le site de la mairie.

La maire de Paris, Anne Hidalgo, rappelle qu’« il n’y aura plus de véhicules diesel à Paris d’ici 2020 ».

Psychomédia avec sources : Mairie de Paris, Mairie de Paris.
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La chercheuse sur l’autisme Catherine Barthélémy reçoit le Prix d’Honneur de l’Inserm

Le Prix d’Honneur de l’Inserm 2016 récompense Catherine Barthélémy, professeure émérite de la faculté de médecine de Tours, et ancienne directrice de l’équipe « Autisme » au sein de l’Unité « Imagerie et Cerveau », pour couronner ses 40 ans de recherche sur l’autisme, notamment sur les mécanismes cérébraux.

La chercheuse prône des soins précoces pour changer le destin des enfants autistes, rapporte AFP. Car, pris précocement, « vers 18 mois, deux ans », un enfant autiste peut voir changer le cours de sa vie, pour peu qu’il bénéficie d’un traitement adapté. A Tours, on parle de « thérapie d’échange et de développement ».

« Il faut former les médecins pour qu’ils identifient le plus précocement possible les petits signes cliniques, neurologiques ou morphologiques chez les enfants », souligne-t-elle.

La chercheuse « se souvient de l’époque, pas si lointaine, dans les années 1980, où elle se faisait huer dans les congrès de spécialistes car elle osait dire que les enfants autistes n’étaient pas victimes du comportement de leur mère, qu’ils ne souffraient pas d’une maladie aux origines psychologiques, mais de troubles du développement de leur cerveau ».

« Aujourd’hui, elle décrit un trouble du comportement affectant la relation à l’autre et dont les conditions d’apparition, au-delà de la prédisposition neurologique, sont « multifactorielles ». »

Elle cite l’exposition de la mère au médicament antiépileptique Dépakine au cours de la grossesse comme l’un des facteurs pouvant favoriser le « déclenchement » de l’autisme chez l’enfant.

« Au moins 1 % de la population française, tous âges confondus, présente des troubles autistiques », dit-elle. Dans ses formes les plus légères, il peut s’agir peut-être de personnes « perçues seulement comme égoïstes, maniaques, indifférentes aux autres… Mais ce n’est pas une option pour elles : elles n’ont pas le choix », explique-t-elle.

« On a des cas d’enfants atteints d’autisme sévère et qui aujourd’hui ont passé le bac », souligne-t-elle. « Bien sûr, ce n’est pas le cas de tous, mais on améliore de toute façon leur qualité de vie en leur permettant d’accéder à la confiance, à l’échange, à la complicité et à la relation avec l’autre ».

Dernière actualité sur l’autisme en France : Une centaine de députés proposent une résolution anti-psychanalyse, packing et maltraitance (déc. 2016).

Psychomédia avec sources : Inserm, Le Parisien (AFP).
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Complémentaire santé responsable : plus de restant à charge pour les Français

Complémentaire santé responsable : plus de restant à charge pour les Français

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Si l’idée de départ consistait à mieux rembourser les assurés français tout en limitant les dépassements d’honoraires, il semble qu’à l’heure du premier bilan des réformes du marché des complémentaires santé, ce ne soit pas concrètement ce qu’il s’est produit.

Baisse des remboursements des mutuelles

Le courtier en assurances collectives Mercer France vient faire un premier bilan des réformes autour de la complémentaire santé, basé sur 6 millions d’actes facturés par des médecins gérés par ses soins auprès d’1,3 million d’assurés. Pour ce premier bilan chiffré, le courtier fait un bilan mitigé des contrats de mutuelle responsable et de la généralisation de la complémentaire santé.

Ce manque de succès est notamment lié au contrat d’accès aux soins (CAS), qui avait pour but de limiter les dépassements d’honoraires des médecins qui adhéraient à ce contrat. Comment ? En limitant la prise en charge des dépassements par ces contrats responsables. Au total, seuls 27 % des médecins du secteur 2 ont signé le CAS. Le problème c’est que seuls 15 % des patients qui ont consulté un spécialiste non adhérant au CAS en 2015 ont aujourd’hui changé de médecin pour un moins cher. Des changements qui ont provoqué des hausses de tarifs des consultations des praticiens non CAS.

Par conséquent, les assurés sont victimes de davantage de restant à charge.

Le courtier soulève également la question de l’impact des contrats responsables sur la prise en charge de la part des complémentaires santé. Les remboursements baissent ainsi surtout pour les consultations de médecines généralistes (-5 %), de spécialistes (-10 %), pire encore pour les honoraires en hospitalisation (-53 %).

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Les douleurs fantômes soulagées au moyen de la réalité virtuelle augmentée (vidéo)

La réalité augmentée pourrait aider à soulager les douleurs fantômes chez les personnes amputées, montre une étude publiée dans The Lancet. Aucun traitement efficace n’existe à ce jour pour cette condition qui touche une grande proportion des personnes subissant des amputations.

Les chercheurs ont fait l’hypothèse que « le réengagement des circuits centraux (cerveau et moelle épinière) et périphériques impliqués dans l’exécution motrice pouvait réduire la douleur de membre fantôme via la plasticité concurrentielle et l’inversion de la réorganisation corticale. »

Max Ortiz Catalan de l’université technologique Chalmers (Suède) et ses collègues ont développé une thérapie fondée sur la réalité virtuelle qu’ils ont évaluée avec 14 personnes amputées d’un bras depuis 2 à 36 ans et souffrant de douleurs fantômes depuis l’opération.

Des capteurs fixés au niveau de leur moignon enregistraient l’activité musculaire du bras absent. Ces signaux étaient décodés par l’ordinateur qui projetait à l’écran le membre amputé.

Lors de 12 sessions, les volontaires devaient bouger leur bras virtuel à l’écran, conduire une voiture de course avec leur bras absent et reproduire les gestes présentés à l’écran par un bras virtuel.

L’intensité des douleurs ainsi que leur fréquence ont diminué de moitié.Après six mois, les bénéfices étaient maintenus et la moitié des participants avait réduit de moitié leurs médicaments antalgiques.

Ces résultats suggèrent qu’il serait utile de « bouger » le membre fantôme, concluent les chercheurs qui souhaitent maintenant mener une étude de plus grande envergure contre placebo.

Psychomédia avec sources : Chalmers University of Technology, CUT, The Lancet.
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Les seniors dépensent plus en mutuelles que les autres Français

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Le baromètre 2016 des primes d’assurance santé publié par le comparateur LeLynx met en évidence de fortes disparités régionales mais également d’un profil d’assuré à un autre. Sans grande surprise, ce sont ainsi les seniors qui dépensent el plus en matière de complémentaire santé.

Plus de 1 000 euros par an pour le seniors

Les seniors font donc partie de la tranche de population qui dépense le plus en matière de complémentaire santé. En moyenne, 1 242 euros par an pour les retraités. Ce montant n’est pas vraiment une surprise, puisque les seniors sont les Français qui nécessitent le plus de besoins de santé, et qui ont tendance à se couvrir le mieux. Mais les niveaux de garantie restent tout de même mal choisis par ces assurés, qui vont souvent vers des remboursements moins élevés.

Cette tranche de la population nécessite des garanties qui couvrent les prothèses dentaires, la chirurgie de la myopie ou encore les séances de rééducation suite à une hospitalisation. Mais ces dépenses sont souvent aussi les plus couteuses.

En plus, les seniors doivent souvent opter pour des sur-complémentaires afin de compléter les garanties de base, souvent à destination des soins les plus couteux sur le long terme explique la DG du comparateur. Mais la surmutuelle alourdit le budget santé des seniors, d’où la nécessité de bien choisir ses garanties.

Pour contrer ces coûts trop élevés, les contrats santé senior labellisés devaient être mis en place mais il se peut qu’ils ne voient pas le jour dès 2017.

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La Mutualité française chiffre les plans santé des candidats aux Présidentielles

La Mutualité française chiffre les plans santé des candidats aux Présidentielles

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Alors que les Français estiment que la santé est l’un des postes budgétaires les plus importants pour eux, renonçant parfois aux soins par manque de moyen, la Mutualité française a réalisé quelques calculs pour chiffrer les programmes santé des candidats déclarés à la Présidentielle.

Programmes de santé : combien vont-ils couter aux Français ?

La Mutualité rappelle que pour les Français, la santé est au cœur des sujets qu’ils souhaiteraient entendre débattre à l’occasion des élections Présidentielles. A cette occasion, l’institution n‘a pas manqué de réaliser une analyse chiffrée des programmes de santé proposés par les candidats.

L’objectif de ces analyses est de « nourrir les débats et éclairer les véritables choix de société qu’impliquent certaines propositions », précise Thierry Beaudet.

Justement de ces analyses, il en ressort que certaines parties des programmes de santé risquent de laisser un goût amer et une facture salée aux Français.

Programme de santé de François Fillon : la facture va augmenter

François Fillon propose que l’Assurance maladie se concentre sur le remboursement des affections graves ou de longue durée (ALD), afin de réaliser 20 milliards d’euros d’économies…une somme que devront prendre à leurs charge les Français, ou de leur complémentaire santé. En tout, 300 euros annuels supplémentaires à assumer pour les Français, selon les calculs de la Mutualité française, ou 1 200 euros pour un couple avec 2 enfants.

Jean Luc Mélenchon propose une baisse pour les ménages

De son côté, Mr Mélenchon propose à l’inverse 42,4 milliards d’économies pour les ménages ou leur mutuelles santé. Comment ? En mettant 100 % à contribution l’Assurance Maladie. Chaque français économiserait ainsi 638 euros par an, soit 2 553 euros pour un couple avec deux enfants selon la Mutualité française.

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Une psychologue utilisant l’ésotérisme devant le conseil de discipline de l’OPQ (Québec)

Une psychologue québécoise de Repentigny faisant appel à l’ésotérisme dans sa pratique est notamment accusée d’« approche thérapeutique non conforme aux principes scientifiques » et de « comportement inadéquat ».

Accusée de quatre chefs d’infraction par l’Ordre des psychologues du Québec (OPQ), Janie Audrey Ialongo, qui a plus de 40 ans d’ancienneté, a plaidé non coupable, rapporte le Journal de Montréal.

L’enquête a débuté après la plainte d’une patiente qui la consultait en 2012, en raison du décès de son fils, rapporte le journal. Mme Ialongo aurait dit à la patiente que son fils décédé était avec eux dans la pièce durant la thérapie, qu’il lui parlait à l’intérieur d’elle. Elle aurait utilisé une poupée pour un jeu de rôles, et « faire sortir l’enfant intérieur réprimé ».

À la fin de la séance, Mme Ialongo aurait dit à la patiente que son fils partait avec elle et lui a suggéré des lectures ésotériques.

Le Conseil de discipline rendra sa décision sur culpabilité d’ici trois mois.
Mme Ialongo ne pratique plus depuis mars dernier, indique le journal.

Psychomédia avec source : Le Journal de Montréal.
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