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Remboursement de la psychothérapie en Belgique : des honoraires insuffisants dénonce l’Union professionnelle des psychologues cliniciens francophones

(UPPCF) juge insuffisants les honoraires proposés aux psychologues dans le cadre du programme de remboursement gouvernemental de la psychothérapie, rapporte RTBF.be.

La proposition de la ministre fédérale de la Santé, Maggie De Block, « prévoit le remboursement de 4 à 8 séances au maximum à condition que le patient appartienne à un groupe cible spécifique et qu’il soit adressé par un médecin généraliste ou un psychiatre. »

« L’honoraire du psychologue s’élèvera à 45 euros et le patient ne paiera que 11 euros. »

« Il nous est demandé de réduire le montant des honoraires alors que le tarif actuel n’est déjà pas viable », explique Catherine Choque, présidente de l’UPPCF.

« Pour pouvoir joindre les deux bouts, on devrait certainement demander minimum 75 € la consultation », a précisé Catherine Choque. « Moi, à Bruxelles, je demande 50 € la consultation individuelle de 45 minutes. On doit payer notre propre supervision, nos propres formations, il y a plus de la moitié qui part aux contributions, aux cotisations sociales, etc. ».

Pour plus d’informations sur la profession de psychologue et sur les programmes de psychothérapie publics, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : RTBF.be.
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Alcool : la consommation des Français diminue tous les ans

Alcool : la consommation des Français diminue tous les ans

Le 27 décembre 2018.

Selon le dernier Baromètre de la consommation des boissons alcoolisées, la consommation d’alcool des Français serait en baisse continue depuis 10 ans, avec une nette accélération depuis 2017. Explications.

Les Français boivent de moins en moins d’alcool

Les Français boivent de moins en moins d’alcool. C’est la conclusion du Baromètre 2018 de la consommation des boissons alcoolisées établi par l’association Avec Modération !, qui « confirme la tendance de fond de diminution des volumes de boissons alcoolisées achetés par les ménages français, en recul de plus d’1 litre en 1 an (et plus de 5 litres en 10 ans) ».

Pour arriver à cette conclusion, l’association a notamment examiné le budget consacré par les Français à l’achat d’alcool en dehors des cafés et restaurants. Ainsi, le budget annuel moyen consacré aux achats de boissons alcoolisées s’élève à environ 325 € en 2017, soit près de 5 € de moins qu’en 2016.

Plus d’un Français sur dix consomme de l’alcool tous les jours

Autre information révélée par le Baromètre 2018 : selon une étude de l’IFOP menée depuis 2010, plus d’1 Français sur 10 (11 %) consomme de l’alcool tous les jours. Par ailleurs, « la majorité des Français âgé de 18 ans et plus consomment des boissons alcoolisées moins d’une fois par semaine (et 19 % jamais) ».

Dans le détail, on note des différences de consommation entre les hommes et les femmes et selon l’âge : les hommes et les personnes âgées de 60 à 70 ans sont trois fois plus nombreux que les femmes et six fois plus que les jeunes âgés de 18 à 25 ans à boire de l’alcool chaque jour. L’abstinence d’alcool, en hausse, concerne 1 femme sur 4 (25 %) et plus d’1 jeune sur 5 (21 %), mais seulement 1 homme sur 10 (12 %).

Aurélie Giraud

À lire aussi : L’alcool, une substance calorique et toxique  

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Les macarons forcent la couleur, souvent illégalement (France)

Les belles couleurs vives des macarons, « cette pâtisserie désormais emblématique de la France », ont souvent une « contrepartie problématique », alerte UFC-Que Choisir qui relaie les résultats d’une enquête de la Direction générale de la Consommation et de la Répression des fraudes (DGCCRF)

« Ces effets sont obtenus grâce à des additifs alimentaires parfois interdits ou utilisés au-delà des doses autorisées. »

« Ces effets sont obtenus grâce à des additifs alimentaires parfois interdits ou utilisés au-delà des doses autorisées. »

Malgré une réglementation stricte, « certains professionnels n’hésitent pas à jouer la surenchère dans la palette en ayant recours à un surdosage », alerte la DGCCRF, qui s’est penchée sur le sujet.

UFC-Que Choisir rapporte :

« Suite à un contrôle mené en 2017 en Nouvelle-Aquitaine sur près de 30 échantillons, “44 % des produits présentaient des non-conformités et 22 % des prélèvements se sont même révélés impropres à la consommation en raison de forts dépassements de la quantité autorisée de colorant”.

En 2018, cette enquête a été élargie au niveau national, et “plusieurs dépassements de limites réglementaires ont déjà été constatés”.

Ainsi, un certain “macaron coquelicot” détenait une très forte concentration en colorant E124 (un colorant azoïque interdit d’usage pour les macarons). “La consommation d’un seul de ces macarons pour un adulte, et d’un demi-macaron pour un enfant, suffisait pour atteindre un dépassement de la dose journalière autorisée (DJA) du colorant en question. Ils ont été déclarés impropres à la consommation.”

De même, un macaron tricolore “Coupe du monde de football” contenait deux colorants synthétiques, de l’E124 (interdit) et de l’E133 (colorant bleu autorisé mais retrouvé dans des concentrations élevées qui ont conduit à déclarer ce macaron impropre à la consommation).

Ce constat corrobore celui qui ressort de nos récents tests sur des macarons framboise et pistache. Trop de biscuits dépassaient les limites maximales autorisées ou contenaient des colorants déconseillés par notre évaluation sur les additifs alimentaires. Deux d’entre eux employaient carrément des colorants interdits en pâtisserie fine. »

« Les enfants peuvent développer une tendance à l’hyperactivité à la suite d’une exposition répétée aux colorants azoïques (1) », rappelle UFC-Que Choisir. « La réglementation impose la mention “peut avoir des effets indésirables sur l’activité et l’attention chez les enfants” en complément de la liste des ingrédients », rappelle la DGCCRF.

(1) Les colorants E102 (tartrazine), E104 (jaune de quinoléine), E110 (jaune soleil FCF et orangé S), E122 (azorubine, carmoisine), E124 (rouge cochenille A, rouge ponceau 4R), E129 (rouge allura AC)…

87 additifs alimentaires sur 329 sont à éviter : base de données en ligne d’UFC-Que Choisir

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : UFC-Que Choisir, DGCCRF.
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Plutôt thé ou café ? Nos goûts seraient déterminés par la génétique

Plutôt thé ou café ? Nos goûts seraient déterminés par la génétique

Le 26 décembre,

Selon une étude australienne, notre préférence pour le thé ou pour le café serait déterminée en partie par la génétique. C’est la perception de l’amertume qui nous ferait préférer l’un à l’autre.

La génétique entre en compte dans la perception de l’amertume 

Une étude australienne parue dans la revue Nature, révèle que nos goûts seraient en partie déterminés par la génétique. Pour arriver à ce constat, l’étude s’est basée sur les données génétiques de 438.000 Britanniques.

Daniel Liang-Dar Hwang, de l’université de Brisbane révèle que « l’étude a utilisé un échantillon très large » pour montrer que « la perception de l’amertume influence la consommation de thé et de café ». De manière paradoxale, l’étude montre que les personnes les plus sensibles au goût amer du café sont celles qui en boivent le plus. Pour la professeure en médecine préventive Marilyn Cornelis, cela « suggère que les consommateurs de café développent un goût ou une capacité à détecter la caféine ».

Les goûts évoluent en fonction des comportements

Selon Daniel Liang-Dar Hwang les goûts sont influencés par nos comportements : « Même si naturellement les humains n’aiment pas l’amertume, nous pouvons apprendre à apprécier des aliments amers ». 

« Les buveurs de café étant généralement moins sensibles que les buveurs de thé à l’amertume, ils ont également plus de chances d’apprécier l’amertume d’autres aliments, comme les légumes verts ». poursuit-il. Les auteurs reconnaissent cependant les limites de l’étude qui n’est « pas généralisable à d’autres pays et cultures ».

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Agueusie, tout savoir sur la perte de goût

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La pneumonie : première cause de décès chez les enfants

La pneumonie : première cause de décès chez les enfants

Le 20 décembre 2018.

Une étude récente vient mettre en lumière un sujet dramatique : le nombre d’enfants qui meurent chaque année à cause d’une pneumonie. Et pourtant, c’est une maladie qui pourrait être facilement soignée.

Les pays pauvres, premiers touchés par la pneumonie des enfants

Les chiffres font froid dans le dos : en 2015, dans le monde, près d’un million d’enfants de moins de cinq ans sont morts à cause d’une pneumonie. Virale ou bactérienne, cette maladie tue chaque année, plus que la malaria, le Sida ou la malnutrition. Les premières victimes se trouvent dans les pays pauvres et plus spécialement en Inde, au Pakistan, au Nigéria, en RDC.

L’étude menée par l’ONG Save the Chrildren et les chercheurs de l’université de Johns-Hopkins (USA) avertit la communauté internationale et tente de la faire réagir pour sauver ces enfants d’une maladie que l’on sait soigner : si rien ne change, la pneumonie tuera près de 11 millions d’enfants de moins de cinq ans d’ici 2030.

Comment éviter une pneumonie ?

Dans les pays occidentaux, la pneumonie est relativement bien soignée. Les traitements antibiotiques qu’elle nécessite sont disponibles, l’hygiène des enfants et de leur entourage est meilleure que dans de nombreux pays en développement qui n’ont pas accès à l’eau potable. Autre geste pour l’éviter : l’allaitement maternel exclusif jusqu’à six mois, qui permet une bonne nutrition et renforce les défenses immunitaires du bébé.

Les vaccins contre le pneumocoque et contre le Hæmophilus (Hib) devraient également être davantage répandus pour éradiquer cette maladie : aujourd’hui, si l’on en croit les chiffres avancés par l’Alliance mondiale du vaccin Gavi, 170 millions d’enfants au monde ne sont pas vaccinés contre la pneumonie.

Maylis Choné

À lire aussi : 10 maladies classiques qui touchent les enfants

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Une vingtaine d’associations françaises appellent à la suspension de l’additif E171 comme promis

L’UFC-Que choisir, France Nature Environnement, la Ligue contre le cancer, Greenpeace, 60 millions de consommateurs, le Réseau environnement santé, Générations futures et plus d’une dizaine d’autres associations françaises appellent le gouvernement à suspendre l’additif E171 comme promis.

L’additif, qui contient des nanoparticules, est surtout utilisé pour sa fonction de colorant blanc et pour modifier d’autres couleurs.

Il est très utilisé dans les desserts, crèmes glacées et confiseries ainsi que dans les plats préparés, mais aussi dans les cosmétiques et les médicaments.

La tribune explique :

« En mai, le gouvernement s’était dit “déterminé à suspendre le E171 avant la fin de l’année”. A l’automne, les parlementaires ont conforté cet engagement en votant la suspension du dioxyde de titane dans l’alimentation par l’article 53 de la loi alimentation ; c’est l’une des rares mesures vivement défendues par les associations lors des Etats généraux de l’alimentation qui ait été maintenue dans la version finale de la loi publiée le 1er novembre.

Mais depuis… rien ne se passe. Pire, l’entrée en vigueur de cette mesure est gelée par Bercy. En vertu du code de la consommation, le ministère chargé de la consommation est le seul compétent pour prendre l’arrêté ministériel permettant de rendre cette mesure effective (les autres ministères concernés – alimentation, santé, environnement le cas échéant – sont juridiquement impuissants). Or Bercy refuse de rédiger cet arrêté, au motif qu’il n’y aurait pas de danger suffisamment “grave ou immédiat” pour activer la clause de sauvegarde au niveau européen. »

Omniprésent colorant E171 : plusieurs effets nocifs potentiels sont à l’étude (Anses, 2017)

Pour plus d’informations sur l’additif E171 et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : Le Monde, Le Monde (tribune).
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Comment le manque de sommeil des ados favorise leurs idées noires

Comment le manque de sommeil des ados favorise leurs idées noires

Le 24 décembre 2018.

Le manque de sommeil des adolescents aurait de lourdes conséquences sur leur santé. Une étude américaine vient, une nouvelle fois, de le prouver.

Le manque de sommeil favoriserait les idées noires des adolescents

Et si les idées noires, caractéristiques de certaines crises d’adolescence, étaient la simple conséquence d’un manque de sommeil ? C’est ce que des chercheurs américains, enseignants à Harvard, ont tenté de démontrer dans une récente étude publiée dans la revue Jama Pediatrics en octobre dernier. Selon ces derniers, dormir moins de six heures par nuit, à l’âge de l’adolescence, favoriserait la mélancolie et les pensées suicidaires.

Pour parvenir à cette conclusion, ces chercheurs ont soumis, pendant neuf ans, 68.000 adolescents à un questionnaire pour déterminer leur nombre d’heures de sommeil par nuit ainsi que leur comportement et leur niveau d’anxiété. Ce questionnaire leur a permis de recouper différentes données, et de déterminer que de nombreux adolescents se privaient de sommeil. Ils seraient 70% à dormir moins de huit heures par nuit.

Diabète, obésité sont également des conséquences d’une privation de sommeil

Or, en-deçà de six heures par nuit, la privation de sommeil aurait de graves effets sur le cerveau puisque, selon les chercheurs, elle provoquerait « une réduction de l’activité du cortex préfrontal, cette zone du cerveau qui est impliquée dans les fonctions exécutives et les raisonnements logiques », explique Matthew Weaver, principal auteur de cette étude.

Le manque de sommeil serait, selon cette étude, également lié à une augmentation du risque de consommer de l’alcool, de se droguer, ainsi que d’avoir une activité sexuelle dangereuse mais pas seulement. Selon Santé Publique France, qui a maintes fois émis des recommandations sur le sommeil des adolescents, la privation de sommeil favoriserait également l’apparition de diabète, d’obésité et de maladies cardiovasculaires.

Gaëlle Latour

À lire aussi Les secrets santé du sommeil

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8 nutriments associés à la santé cérébrale et aux performances cognitives

Le régime méditerranéen est associé à une meilleure santé physique et mentale.

Des chercheurs ont examiné 32 nutriments apportés ce régime pour déterminer ceux qui sont spécifiquement liés à de meilleures performances cognitives. Leurs résultats seront publiés en mars 2019 dans la revue NeuroImage.

Aron Barbey, professeur de psychologie à l’Université de l’Illinois Urbana-Champaign, et ses collègues ont mené cette étude avec 116 personnes âgées de 65 à 75 ans.

Plutôt que de questionner les participants sur leur alimentation, ils ont mesuré leurs niveaux sanguins de différents marqueurs de nutriments. Les performances cognitives étaient évaluées au moyen de tests cognitifs. La connectivité cérébrale était évaluée au moyen de l’imagerie par résonance magnétique (IRM).

Un lien a été constaté entre les concentrations plus élevées de plusieurs biomarqueurs sanguins de nutriments et une meilleure performance lors de tests cognitifs spécifiques. Ces nutriments, qui semblaient agir en synergie, incluaient :

  1. les oméga-3, abondants dans les poissons, les noix et les choux de Bruxelles ;

  2. les oméga-6, présents dans les graines de lin, les graines de citrouille, les pignons de pin et les pistaches ;

  3. les caroténoïdes, qui donnent aux patates douces et aux carottes leur couleur orange ;

  4. le lycopène, un pigment rouge vif dans les tomates, la pastèque et quelques autres fruits et légumes ;

  5. la riboflavine (vitamine B2) ;

  6. le folate (vitamine B9) ;

  7. la vitamine B12 ;

  8. la vitamine D.

L’analyse a également révélé qu’une combinaison d’oméga-3, d’oméga-6 et de carotène était liée à une meilleure efficacité fonctionnelle de réseaux cérébraux.

Par exemple, des niveaux plus élevés d’oméga-3 était liés à l’efficacité d’un réseau frontopariétal et à l’intelligence générale. Le réseau frontopariétal permet de focaliser l’attention et de réguler les comportements axés sur les objectifs.

Pour plus d’informations sur l’alimentation et la santé, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Illinois at U-C, NeuroImage.
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Le talc serait dangereux pour la santé

Le talc serait dangereux pour la santé

Le 17 décembre 2018

Une nouvelle fois, le talc est pointé du doigt par les scientifiques. Une récente étude canadienne confirme sa dangerosité pour la santé, notamment pour les poumons et le vagin.

Le talc pourrait être à l’origine de problèmes pulmonaires et de cancers de l’ovaire

Dans le cadre du Plan de gestion des produits chimiques (PGPC) instauré par le gouvernement canadien pour réduire les risques que présentent les produits chimiques pour la santé des Canadiens et l’environnement, le Gouvernement canadien a publié un document d’information sur « l’ébauche d’évaluation préalable » du talc.

Selon l’enquête menée par l’agence Santé en collaboration avec le ministère fédéral de l’Environnement, «l’inhalation de poudres libres de talc et l’utilisation de certains produits contenant du talc sur les parties génitales des femmes peuvent nuire à la santé humaine ». En revanche, il n’est pas démontré pour le moment que le talc est nocif pour l’environnement.

Bientôt une interdiction de vente de certains produits à base de talc

Dans le détail, sont dans le collimateur du gouvernement canadien « les poudres libres comme des poudres pour bébé, pour le corps, pour le visage et pour les pieds », ainsi que les « produits contenant du talc comme de la poudre pour le corps, de la poudre pour bébé, des crèmes pour les irritations et l’érythème fessier, des antisudorifiques et des déodorants génitaux, des lingettes pour le corps et des bombes pour le bain ».

En conséquence, « si les conclusions provisoires sont confirmées dans l’évaluation préalable finale, Santé Canada prendra les mesures qui s’imposent pour gérer les risques » peut-on lire dans la note d’information du gouvernement. Ainsi, la vente libre de certains cosmétiques, produits de santé naturels et médicaments à base de talc pourrait être restreinte voire même interdite au Canada. 

Aurélie Giraud

À lire aussi : 185 produits cosmétiques composés de substances dangereuses révélés !  

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Un régime détox après les abus des fêtes ? (vidéo, Inserm)

L’inserm (1) a publié, le 21 décembre, une vidéo intitulée « Un régime détox ? Vraiment ? ».

« Notre organisme produit ses propres déchets, surtout lors des périodes de fêtes où il carbure à plein régime. Et puis, il y a les substances étrangères qui viennent de notre environnement : pesticides, métaux lourds et autres composés plastiques », peut-on lire dans la présentation.

« Si l’on en croit les médias et les magazines, une bonne cure détox devrait nous aider à nettoyer tout ça. Mais au fait, peut-on compter sur les bains de pieds ioniques pour nous décrasser ? Et les cures d’artichaut, de millepertuis… ça fonctionne ? Canal détox coupe court aux fausses infos… sur la détox ! »

Cette vidéo est l’une du Canal Detox de l’Inserm sur YouTube, qui vise à « couper court aux fausses informations ».

(1) Institut national français de la santé et de la recherche médicale.

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