Archives de catégorie : ACTUALITES

Loi santé : les médecins généralistes prévoient le boycott de la carte vitale

Après sept jours de grève, les médecins généralistes envisagent de durcir leur mouvement. France 3 a rencontré un médecin de Ville d’Avray (Hauts-de-Seine). Dès lundi 5 janvier, il boycottera la carte vitale.

À la place de la télétransmission, cette action marquera le retour à la feuille de soin. Le but : submerger la Sécurité sociale sous la paperasse. « On est responsable, on sait ce qui va se passer. Si on est obligé de taper fort, on est obligé de taper fort. C’est pour réveiller les consciences, les gens ne se rendent pas compte de ce qui va se passer « , explique Dr Albert Palombo. Il dénonce le tiers payant généralisé, promis par la ministre de la Santé. « Sous ce vernis du tout gratuit, c’est le système de santé qui est en train de changer », poursuit-il.

Pour l’heure, le gouvernement n’a toujours pas réagi aux menaces des médecins. « Le tiers payant généralisé, va tenir, entre guillemets, le médecin par les bourses », dénonce le docteur.

Les praticiens craignent d’être remboursés tardivement par les caisses d’assurance maladie, comme cela arrive, selon le Dr Palombo, dans les pharmacies. En cas de boycott de la carte vitale par les médecins, le délai de remboursement des patients pourrait être de deux mois et demi.

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Le cancer, la faute à pas de chance ?

Et si certains cancers étaient uniquement dus au hasard ? C’est ce qu’avancent deux chercheurs américains qui ont publié leur résultat dans la revue Science : la malchance serait le principal coupable dans deux tiers des cancers. « Ce qu’on dit c’est qu’il y a une part de malchance. Ce n’est pas de notre faute, ça arrive, tout simplement, » commente le professeur Christian Tomasetti, du centre du cancer de Baltimore (Maryland). Les médecins ont étudié 31 types de cancers, 22 d’entre eux seraient causés par un coup du sort. Pour ces cancers, le mode de vie et l’hérédité ne sont pas en cause. Toutefois, les cancers du sein et de la prostate, les plus fréquents, n’ont pas été pris en compte dans cette étude.

« Dans le cancer, il n’y a pas de hasard. Vous avez des gens qui sont exposés de façon différente, à différents types de toxiques », explique Annie Thébaud-Mony directrice de recherche à l’INSERM. Pour les fumeurs par exemple, le hasard n’existe pas. La cigarette multiplie par 70 les risques de développer un cancer. La cigarette, l’alcool, l’alimentation, l’environnement… en changeant les mauvaises habitudes, de nombreuses personnes peuvent être épargnées.

En 2012, 355 000 nouveaux cas de cancer se sont déclarés, la première cause de mortalité en France.

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Les obèses ne sont pas tous en mauvaise santé
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Poux : ne traitez pas les têtes des enfants avec la lotion pour chien

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L’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) vient de lancer une alerte concernant l’utilisation de produits vétérinaires pour traiter les poux des enfants. Ce comportement, signalé dans différentes régions françaises, est à proscrire, rappelle l’Anses, ce traitement étant potentiellement dangereux.

Par ces mots : «Un traitement antiparasitaire, insecticide ou acaricide destiné aux animaux de compagnie ne doit en aucun cas être administré à un être humain, a fortiori à un enfant.», l’Anses, après avoir déjà alerté les parents en 2011 sur l’usage dangereux des produits vétérinaires réitère ses recommandations.

Les produits antipoux des animaux de compagnie ne peuvent être utilisés pour les enfants car le cuir chevelu des enfants n’est pas le même que la peau des chiens et des chats. L’Autorisation de mise sur le marché des produits vétérinaires se fait en effet en fonction d’une évaluation bénéfice/risque pour l’espèce animale, et non pour les enfants. Si le risque des produits anti-poux pour les animaux de compagnie est identifié et évalué, c’est uniquement au niveau de la manipulation et de l’administration du médicament vétérinaire, en aucun cas pour son utilisation thérapeutique chez l’homme.

De plus, les types de poux ne sont pas les mêmes. Alors, même si les produits vétérinaires sont en vente libre chez les pharmaciens, les animaleries ou les vétérinaires, il est recommandé d’utiliser les traitements destinés à nos têtes blondes… en prenant conseil auprès des professionnels de santé.

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KanaVape : les concepteurs de l’e-cigarette à cannabis contre-attaquent

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Le projet de mise sur le marché de la KanaVape, une e-cigarette pour vapoter du cannabis, pourrait bien être étouffée dans l’oeuf avant même son lancement officiel. Marisol Touraine a en effet exprimé sa désapprobation de voir ce produit commercialisé en France … Les concepteurs de cet e-joint contre-attaquent cependant en mettant en accusation « l’inaction » du gouvernement concernant la réduction des risques liés au cannabis.

Pour Marisol Touraine, qui a clairement affirmé sa désapprobation à la commercialisation de la KanaVape dès son lancement officiel mardi à Paris, ce produit constituerait une incitation à la consommation de cannabis. La ministre a ainsi indiqué vouloir saisir le juge pour faire interdire sa commercialisation.

Présenté comme un « vaporisateur de chanvre », la KanaVape qui pourrait être vendue 49 euros l’unité (et 24,50 euros la recharge de 200 bouffées) a été inventée par deux militants de l’usage thérapeutique du cannabis en association avec un entrepreneur tchèque. Selon la société KanaVape, cette « e-cigarette » présentée par certains médias comme un « e-joint » permettrait d’offrir une expérience qui soit naturelle, légale et innovante de la consommation de cannabis.

Deux composants rentrent dans la composition du liquide de la KanaVape : des extraits de chanvre industriel, une variété particulière de cannabis qui serait faiblement dosée en THC, le principe actif responsable de l’effet psychotrope, addictif ou encore euphorisant de cette drogue. La deuxième substance contenue dans cette « e-cigarette » est le cannabidiol (CBD) un principe actif du cannabis qui aurait certaines vertus sur le « stress, la relaxation et le sommeil ». Des expérimentations sont en cours pour déterminer l’innocuité du produit.

Une "e-cigarette" à cannabis bientôt sur le marché ?

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Fatigue, baisse de moral : comment retrouver l’envie d’avoir envie ?

Quand la fatigue s’accompagne d’apathie, elle relève plutôt d’une forme de déprime, plus ou moins larvée. Il suffit parfois de peu pour retrouver toute sa vitalité.

Il y quelques années, un livre du sociologue Alain Ehrenberg parlait de « La fatigue d’être soi ». Si traverser un conflit familial, un deuil,

ou une période de solitude explique aisément que l’on ne se sente pas au summum de ses capacités, lassitude et démotivation peuvent aussi s’installer insidieusement. Il suffit souvent d’en prendre conscience pour cesser de subir et réagir de façon plus constructive.

Se faire plaisir mais aussi s’ouvrir aux autres

Le plus efficace : agir dans deux directions à la fois, en prenant le temps de se faire plaisir et en cultivant ses relations. Augmenter la part des moments agréables dans sa vie génère de l’énergie. Aussi conseille-t-on de commencer par faire « un diagnostic énergétique » : que fait-on par plaisir, par nécessité, par obligation, par évitement ? Puis de supprimer ce qui relève du dernier cas, de réduire les devoirs et d’augmenter, ne serait-ce qu’un peu, ce qui nous réjouit.

Deuxième axe : quand on est fatiguée, on a tendance à se replier sur soi et à s’isoler socialement. Or il est démontré que la solitude est aussi dangereuse pour notre santé que le tabac, l’obésité et la sédentarité. Il ne s’agit pas de faire la fête tous les soirs, mais simplement d’ouvrir son carnet d’adresses et de se forcer un peu pour cesser d’hiberner.

Se pousser à faire un peu plus d’exercice

C’est le plus difficile, surtout quand on se traîne, mais bouger davantage est le meilleur moyen de remettre un peu de super dans le moteur. « L »exercice a un effet que n’apporte pas le simple repos, souligne le Dr Jean-Pierre Danjean, médecin généraliste: il fait sécréter des endorphines, ces hormones anti-fatigue naturelles qui augmentent l’envie et améliorent l’humeur sur le long terme. »

C’est pourquoi le sport est un remède à part entière pour lutter contre la dépression. Dans le cerveau, les neurones communiquent entre eux par (…) Lire la suite sur Topsanté

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Grippe et gastro continuent de progresser !

INPES

En ce jour de Noël, ce n’est peut-être pas la fête pour tout le monde. Nos amis les virus ont effet décidé de se rappeler à notre bon souvenir. La gastro tout d’abord dont l’activité continue de progresser et qui pourrait atteindre le seul épidémique dès la semaine prochaine.Même topo pour la grippe dont l’activité reste faible certes mais en augmentation.

Dans le détail sachez qu’en ce qui concerne la gastro, le taux d’incidence des cas de diarrhée aiguë vus en consultation de médecine générale a été estimé la semaine dernière à 234 cas pour 100 000 habitants soit 150 000 nouveaux cas (France Métropolitaine).

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont ont été notés dans les régions  Limousin (491 cas pour 100 000 habitants), Champagne-Ardenne (447) et Nord-Pas-de-Calais (346).

Concernant les cas rapportés, l’âge médian des cas était de 27 ans (de 3 mois à 93 ans). Les hommes représentaient 44% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : le pourcentage d’hospitalisation a été estimé à 0,4%

Prévision : selon le modèle de prévision basé sur les données historiques, le niveau d’activité des diarrhées aiguës devrait continuer à augmenter, et devrait dépasser le seuil épidémique dans les prochaines semaines.
Un second modèle, reposant sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health), confirme une augmentation de l’activité des gastroentérites, trois des quatre classes médicamenteuses surveillées ayant atteint leur seuil d’alerte.

Pour info : Les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de diarrhées aiguës vus en consultation (défini par au moins 3 selles liquides ou molles par jour datant de moins de 14 jours motivant la consultation).

Gastro : pensez à vous laver les mains !

Comme chaque année l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES) rappelle aux Français toute l’importance qu’il y a à se laver les mains afin de limiter les risques de propagation.

Pour la gastro, comme pour les autres virus de l’hiver, il est indispensable de se laver les mains plusieurs fois par jour avec du savon ou une solution hydroalcoolique. C’est aujourd’hui l’un des moyens les plus efficaces pour limiter la diffusion des germes

Ce geste est d’autant plus indispensable  si l’on s’occupe de personnes vulnérables (enfants ou  personnes âgées). L’INPES a d’ailleurs rappelé que 67% des français ne se lavaient pas les mains avant de s’occuper d’un nourrisson, 40% avant de préparer à manger.

Les virus se transmettent en effet par le contact direct des mains d’une personne infectée à une autre (par exemple en serrant la main) ou par le contact d’objets (jouets, doudous, tétines, boutons d’ascenseur, couverts, etc.) contaminés par une personne malade.

Il est impératif de se laver les mains après s’être mouché, avoir toussé ou éternué ou encore après avoir rendu visite à une personne malade, après chaque sortie à l’extérieur et bien sûr avant de préparer les repas, de les servir ou de les prendre.

La grippe progresse aussi

Pour la grippe, on est encore loin de l’épidémie mais les chiffres sont bel et bien orientés à la hausse.

Ainsi la semaine dernière, le taux d’incidence des cas de syndromes grippaux vus en consultation de médecine générale a été estimé à 69 cas pour 100 000 habitants , soit 44 000 nouveaux cas par rapport à la semaine précédente. On reste très en dessous du seuil épidémique fixé à 172 cas pour 100 000 habitants.

Au niveau régional, les taux d’incidence les plus élevés ont été observés en :Nord-Pas-de-Calais (130 cas pour 100 000 habitants), Rhône-Alpes (123) et Poitou-Charentes (110).

Concernant les cas rapportés, la semaine dernière, l’âge médian était de 26 ans (8 mois à 91 ans), les hommes représentaient 50% des cas. Les tableaux cliniques rapportés par les médecins Sentinelles ne présentaient pas de signe particulier de gravité : aucune hospitalisation pour syndrome grippal n’a été rapportée.

Prévision : selon le modèle de prévision reposant sur les données historiques et sur les ventes de médicaments (partenariat IMS-Health) , le niveau d’activité des syndromes grippaux devrait augmenter modérément dans les prochaines semaines.

Pour info, les médecins Sentinelles surveillent le nombre de cas de syndromes grippaux vus en consultation (définis par une fièvre supérieure à 39°C, d’apparition brutale, accompagnée de myalgies et de signes respiratoires).


News Santé

Binge Drinking : bientôt un médicament pour réduire les effets de l’abus d’alcool

L’acide éthane-ß-sultame permettrait de limiter les dégâts sur le cerveau d’un excès d’un alcool, selon les résultats d’une nouvelle étude publiée dans la revue médicale Journal of Alcoholism and Drug Dependence. Ces conclusions ont été observées sur des rats et doivent être validées sur les humains.

Les fêtards invétérés en ont souvent rêvé les lendemains de fêtes : un médicament révolutionnaire qui réduirait les effets négatifs de l’alcool sur le cerveau. Des chercheurs ont trouvé un composé qui a ces capacités sur les rongeurs ayant trop bus.

Une équipe de chercheurs internationale a testé l’acide éthane-ß-sultame sur des rats mis en situation de binge-drinking. L’équivalent d’une consommation de 8 unités et plus d’alcool pour un homme et de 6 unités ou plus pour une femme. Les scientifiques ont évalué les effets de ce composé sur les rats alcoolisés. Ils ont testé les niveaux de dégénérescence cellulaire et d’inflammation de leur cerveau et leur mémoire spatiale avec un test de labyrinthe.

Les résultats de l’étude révèlent que la consommation excessive d’alcool provoque des inflammations cérébrales et la perte de cellules dans l’hippocampe. Et surtout que la consommation de l’acide éthane-ß-sultame permettrait de réduire ces inflammations et rendrait les rats alcoolisés moins embrumés. En effet, grâce à ce composé, ils ont été aussi habiles et rapides que les rats sains à se sortir du labyrinthe.

« L’acide éthane-ß-sultame réduit la neuro-inflammation, supprime la perte neuronale et améliore la mémoire visuo-spatiale» explique le Professeur Mike Page.

Les résultats de cette étude sont concluants sur les rongeurs mais doivent être mis à l’épreuve avec des humains.

«Le risque d’un tel traitement est de masquer les autres effets négatifs du binge-drinking. Mais si l’on accepte le fait que l’abus d’alcool risque de subsister, il pourrait être judicieux pour la société de tenter de le traiter d’une manière ou d’une autre» a-t-il affirmé. «D’autant plus que les possibilités de la molécule vont au-delà de l’alcool. Puisque le composé traverse la barrière hémato-encéphalique, il pourrait conduire à de nouveaux traitements de lutte contre les maladies neurodégénératives par exemple, dont la (…) Lire la suite sur Topsanté

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Un médicament pour réduire les effets neurologiques du ‘‘binge-drinking »
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Digestion : 4 tisanes pour vous aider à passer sereinement les fêtes

Plus que jamais, pendant les fêtes, profitez des bienfaits des plantes en composant des tisanes qui vous permettront de bien digérer. Profitez des agapes sans craindre les lendemains de fête.

Préparez-vous une tisane foie sensible

Vous perdez l’appétit, vous vous sentez nauséeuse : et si vous aidiez votre foie à retrouver l’équilibre après toutes ces agapes ? Préparez une tisane aubier de tilleul du Rousssillon ou une tisane au romarin.

Votre tisane foie sensible : placez 3 ou bâtons d’aubier de tilleul du Roussillon et 1 litre d’eau dans une casserole. portez à ébullition puis laissez à feu doux pendant 20 minutes. Retirez les bâtons, placez en thermos. Ajoutez un jus de citron. A boire toute la journée pendant une cure de 15 à 20 jours.

En savoir plus : Mes meilleures tisanes aromatiques de Danièle Festy, Leducs Editions

Brûlures d’estomac : une tisane de guimauve et réglisse

Pour réduire l’inflammation des brûlures d’estomac dues à des gastrites, des excès alimentaires ou des ulcères, buvez une tasse trois fois par jour entre les repas de cette tisane guimauve, réglisse.

Votre tisane anti brûlures d’estomac: versez 2 cuillères à café du mélange (1/2 de guimauve, 1/2 de réglisse) dans 25 cl d’eau froide. Portez à ébullition, laissez bouillir 5 minutes et laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1 cuillère à café de miel et 2 gouttes d’huile essentielle de basilic.

>> A lire aussi : Nos meilleures astuces pour soulager les brûlures d’estomac

Bonne digestion : une tisane de menthe et mélisse

Si votre ventre fait des siennes et que vous avez des problèmes de digestion, préparez vous une tisane menthe et mélisse.

Votre tisane spécial digestion: versez 2cuillères à café de 1/2 de menthe, et 1/2 de mélisse dans une tasse d’eau bouillante. Laissez infuser 10 minutes. Ajouter 1/4 de cuillère à café de miel, et une goutte d’huile essentielle de citron. Buvez une tasse après chaque repas un peu lourd.

>> A lire aussi : On digère mieux en commençant son repas par un fruit?

Aérophagie : une tisane d’anis vert

Comme l’explique Danièle Festy, pharmacienne, les personnes souffrant d’aérophagie sont souvent (…) Lire la suite sur Topsanté

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Ebola : le nord de la Sierra Leone confiné pour une durée de 5 jours

La Sierra Leone a ordonné le confinement immédiat de toute la région Nord, pour une durée de cinq jours, mercredi 24 décembre. La mesure a pour but d’enrayer la propagation de l’épidémie d’Ebola dans ce pays, où plusieurs zones sont déjà soumises à des restrictions de déplacements.

« Le confinement de cinq jours concerne l’ensemble de la région Nord. Il vise à nous permettre d’avoir une [évaluation] précise de la situation » dans le pays, a déclaré le vice-ministre de l’Information et de la Communication, Theo Nicol. La décision a été confirmée par un ministre provincial, Alie Kamara.

Le gouvernement a en outre interdit les rassemblements pour les réveillons de Noël et du nouvel an, samedi 13 décembre. Il espère ainsi empêcher de nouvelles transmissions du virus, responsable de la mort de près de 1900 personnes dans le pays.

Le bilan de la fièvre hémorragique s’élève à 7588 morts en Guinée, en Sierra Leone et au Liberia, selon les dernières estimations de l’Organisation mondiale de la santé, dévoilées mardi 23 décembre. Au total, 19 497 cas ont été recensés dans les trois pays les plus touchés par l’épidémie, depuis le mois de mars.

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Obésité-surpoids : une pilule peut-elle remplacer le sport?

Photo : Peter van der Sluijs ( C.C 3.0 )

Une simple pilule peut-elle réellement remplacer l’activité physique dans la lutte contre l’obésité ? La question se pose après la publication d’une étude américaine menée par des chercheurs du Harvard Stem Cell Institute (HSCI).

Menée en laboratoire, elle a permis de révéler que deux molécules avaient la faculté de transformer la graisse blanche considérée comme « néfaste » en graisse brune  considérée comme «bénéfique » car, au lieu de stocker les lipides comme la graisse blanche, elle brûle les calories.

« L’intérêt pour le domaine des graisses brunes a beaucoup augmenté ces dernières années parce que leur capacité à brûler de l’énergie en fait une possible cible thérapeutique contre l’obésité et le diabète » déclarait il y a quelques mois à peine le Docteur Paul Lee de l’Institut de recherche médicale Garvan de Sydney (Australie).

Pour en revenir à cette étude, les chercheurs auraient réussi à mettre au point un traitement capable d’éliminer chez l’animal 30% du surplus de graisse. De là à en conclure qu’une simple pilule soit capable de remplacer le sport dans la lutte contre l’obésité, c’est aller un peu vite en besogne…

Rappelons que cette étude, qui doit être confirmée par d’autres résultats, n’a pas été menée sur l’homme mais en laboratoire. D’autre part de nombreuses étapes seront nécessaires afin qu’un traitement puisse éventuellement voir le jour et surtout être sans danger pour l’être humain.

Dans tous les cas,  une pilule ne remplacera jamais les bénéfices de l’activité physique qui, comme vous le savez, ne se limitent à la perte de poids.Rappelons que le sport, c’est bon pour la santé en règle générale.

Malheureusement de moins en moins d’individus en font. Que ce soit chez les enfants, les adolescents ou les adultes, on assiste à une réduction progressive et alarmante du niveau d’activité physique depuis plusieurs années

L’occasion de revenir sur un article publié par le Docteur Erard de Hemricourt en 2010 sur l’importance de l’activité physique dans la lutte contre le cancer.

Les données scientifiques les plus récentes confirment massivement les divers avantages que procure l’activité sportive à savoir une réduction globale de la mortalité, une incidence moindre des pathologies cardiovasculaires et du risque de thrombose cérébrale, une diminution du risque d’hypertension artérielle, une amélioration du profil lipidique, une survenue moindre de diabète de type II et du syndrome métabolique, une meilleure prise en charge de l’excès de poids et de l’obésité, un impact positif sur l’humeur et la qualité du sommeil, …

Il existe par contre un autre élément encore plus important que les personnes en bonne santé et les malades ignorent : il s’agit de l’impact profond que peut avoir la pratique sportive sur certains types de cancer.

Récemment, à l’occasion d’un congrès annuel de la Société européenne contre le Cancer, une étude a confirmé l’importance de l’activité physique régulière dans la prévention et la prise en charge de certaines pathologies cancéreuses. D’après cette étude, parmi tous les nouveaux cas de cancers diagnostiqués sur le territoire européen en 2008, 124.000 ont été causés par un excès de poids. Les chercheurs anglais qui sont arrivés à cette conclusion estiment que l’obésité ou la surcharge pondérale pourrait devenir la première cause de cancers chez les femmes au cours de la prochaine décennie ! Toujours selon ces mêmes chercheurs, le pourcentage des cancers féminins liés à l’obésité varie beaucoup selon les pays. Il est de 2,1% pour le Danemark et atteint 8,2% pour les femmes tchèques.

De même, selon une étude réalisée il y a quelques années au prestigieux centre de cancérologie M.D. Anderson au Texas, par rapport à une population normale, des jeunes de 14 à 19 ans en surpoids présentaient un risque accru de plus de 60% de développer un cancer du pancréas au cours de leur vie. Non seulement, toujours d’après cette étude, l’excès de poids augmente le risque de développer ce cancer, mais il influence également l’âge d’apparition de la maladie (survenue plus précoce en cas d’obésité) ainsi que la survie globale au moment du diagnostic (sachant que la survie à 5 ans pour le cancer du pancréas reste très mauvaise et en général inférieure à 5%).

Selon le Dr Christine Friedenreich qui a, en 2008, compilé les données de 180 études épidémiologiques, toutes les analyses de suivi confirment que l’activité physique joue un rôle indéniable dans la réduction du risque du cancer du côlon chez l’homme et la femme et du cancer du sein chez la femme en post-ménopause. Le rôle de l’activité physique est considéré comme ‘probable’ concernant le cancer de la prostate et ‘possible’ pour le cancer du poumon.

Selon une vaste étude européenne, l’étude EPIC pour ne pas la nommer, la pratique d’une activité physique importante et régulière entraîne une réduction de 20% du risque de développer un cancer du côlon et de près de 30% concernant le cancer du sein chez la femme post-ménopausée. Par contre, l’obésité après la ménopause entraîne un sur-risque de 30 à 50% de développer un cancer du sein.

L’activité physique régulière n’influence pas uniquement la survenue des cancers en diminuant la surcharge pondérale. Plusieurs autres mécanismes peuvent expliquer cette relation. Certains articles scientifiques ont montré qu’une activité physique régulière s’accompagne d’une réduction du taux d’hormones sexuelles biologiquement actives dans le sang. Il faut également savoir que l’obésité abdominale est très souvent à l’origine d’un excès de production d’œstradiol dans l’organisme en raison de l’activité importante d’une enzyme, l’aromatase, présente en grande quantité dans les cellules graisseuses (adipocytes). Cet état d’hyperœstradiolémie explique par exemple la gynécomastie souvent rencontrée chez les hommes obèses. En agissant sur la masse graisseuse, et plus particulièrement sur le tour de taille, l’activité physique va réduire indirectement la fabrication d’œstradiol dans le corps humain. Les sportifs de longue haleine sont donc moins exposés au cours de leur vie à l’influence des hormones sexuelles ce qui, particulièrement chez les femmes, peut diminuer assez fortement le risque de développer certains types de cancer hormono-dépendant (sein, endomètre, ovaire). De plus, l’activité physique régulière va modifier le profil insulinique et réduire la production de l’IgF1, substance souvent augmentée dans certains cancers comme celui du côlon, de la prostate, du sein ou des poumons.

On l’a vu, il est important de pratiquer une activité physique régulière. Mais combien de temps par semaine doit-on y consacrer ? Les études indiquent que la relation durée/efficacité de l’exercice physique est assez linéaire pour autant qu’on se situe entre 3 et 7h par semaine. Le type d’activité physique n’a quant à lui pas vraiment d’importance : jogging, marche, course, vélo, … Toute activité physique est bonne à prendre.

Il en est également de même pour les patients déjà malades du cancer. En effet, parmi les nombreuses études de suivi clinique réalisées depuis une dizaine d’années, le Dr Friedenreich a récemment confirmé qu’une activité soutenue avant et après le diagnostic de cancer mammaire avait une influence positive sur l’évolution de la maladie et la survie globale. Cette relation est surtout observée chez les patientes en surcharge pondérale et en présence de tumeur hormono-sensible (Carmen Nicole West-Wright – 2009). De même, on estime qu’une activité physique modérée à raison de trois heures par semaine est associée à une réduction de 39 à 59% du risque de mourir des suites du cancer du côlon chez l’homme et la femme (Meyerhardt – 2006).

Malgré cela, le constat est amer ! Non seulement les patients atteints de cancer ne pratiquent pas d’activité physique significative ou en font même moins depuis le diagnostic de leur cancer, mais encore, leurs médecins traitants ou leurs cancérologues ne sont pas toujours les premiers à les encourager à modifier leurs habitudes alimentaires et à les pousser à complètement abandonner leur mode de vie sédentaire. C’est triste car il suffit seulement d’une bonne paire de chaussures et d’un peu de volonté ! par le Docteur Erard de Hemricourt.

Surpoids et obésité : les 15-25 ans de plus en plus touchés

Le saviez-vous  ? L’obésité touche de plus en plus souvent les ados et les jeunes adultes. Si de nombreuses études ont déjà été publiées sur le sujet, peu sont intéressées aux 15-25 ans. Et pourtant cette population est bien plus concernée qu’il n’y paraît.

Une récente enquête Ipsos-Logica Business Consulting menée pour le compte de Doing Good Doing Well a récemment dévoilé qu’un  jeune  français sur trois rencontrait aujourd’hui des problèmes de surpoids et/ou d’obésité.

Ce sont les mauvaises habitudes de vie qui expliquent en grande partie cette « triste » réalité,  des habitudes de vie identifiées depuis longtemps  comme des facteurs d’obésité .

Parmi ces mauvaises habitudes il y a le fait de manger devant un écran (ordinateur, console, télé…), de ne pas manger à heure fixe, de sauter des repas ou de grignoter.

Dans le détail 61% des jeunes français disent manger au moins une fois sur deux leur repas devant un écran, 54% ne pas manger au moins un repas sur deux à heure fixe ou bien encore 77% à prendre seul au moins un repas sur deux.

Parmi les autres comportements pouvant favoriser le surpoids ou l’obésité, on note  le peu de temps consacré aux repas, le fait de boire des sodas pendant les repas  et ne pas consommer suffisamment de fruits et de légumes, mais aussi la sédentarité.

De mauvaises habitudes qui surviennent à un moment critique de transition, celui du passage à la vie adulte.

Aujourd’hui on le sait la surcharge pondérale (surpoids et obésité) est associée à une augmentation du risque de plusieurs cancers primaires et  augmente le risque de plusieurs  autres maladies (diabète, maladies cardio-vasculaires et respiratoires…)

Pour Hélène Roques , Directrice de Doing Good Doing Well « Il faut changer radicalement de dimension en matière de lutte contre l’obésité, le surpoids et l’obésité qui atteignent les jeunes nuisent à la santé et au développement personnel de façon souvent irréversible ».


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