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COVID et rassemblements des fêtes : quatre conseils pour aérer votre maison

La spécialiste des bioaérosols Caroline Duchaine rappelle, dans un communiqué de l’Université Laval (Québec), quatre moyens simples de réduire les risques de transmission de la COVID-19 par les aérosols lors des rassemblements des fêtes dans les résidences privées.

  1. Entrouvrir des fenêtres

    « Pour éviter l’accumulation de particules virales dans une pièce, il faut renouveler l’air constamment en créant une circulation d’air. Ouvrir les fenêtres quelques minutes chaque heure est mieux que rien, mais il est préférable que le renouvellement d’air soit continu, quitte à monter le chauffage pendant toute la durée du rassemblement. »

  2. Faire fonctionner les hottes de cuisine et de salle de bain

    « En actionnant ces appareils, une partie de l’air intérieur est expulsée hors de la maison, ce qui augmente l’arrivée d’air frais par les fenêtres. Le renouvellement de l’air se fait plus efficacement. »

  3. Régler l’échangeur d’air en position maximum

    « Habituellement, l’échangeur est réglé pour limiter l’arrivée d’air frais afin que les coûts de chauffage ne soient pas trop élevés. En temps de pandémie, on peut faire une exception pendant quelques heures. La consommation d’énergie va augmenter temporairement, mais il faut choisir ses combats. »

  4. Appliquer ces mesures avant, pendant et après les rassemblements

    « N’attendez pas que vos invités soient arrivés pour commencer à ventiler les lieux. Il faut éviter l’accumulation de virus dans la pièce. Après le départ des invités, maintenez ces mesures le temps qu’il faudra, selon votre bon jugement, pour assurer la salubrité de l’air que vous allez respirer dans les heures qui suivront. »

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Université Laval.
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L’exercice pour le traitement de l’anxiété ?

L’exercice physique, qu’il soit modéré ou intense, atténue les symptômes d’anxiété, même lorsque le trouble est chronique, montre une étude suédoise publiée dans le numéro de janvier 2022 du Journal of Affective Disorders.

Maria Aberg de l’Université de Göteborg et ses collègues ont mené cette étude avec 286 personnes souffrant d’un syndrome d’anxiété, recrutées dans les services de soins primaires.

La moitié d’entre elles souffraient d’anxiété depuis au moins dix ans. Leur âge moyen était de 39 ans, et 70 % étaient des femmes.

Elles ont été affectées, par tirage au sort, à des séances d’exercices en groupe, modérés ou intenses, pendant 12 semaines ou à un groupe témoin qui recevait des conseils sur l’activité physique.

Les deux groupes de traitement ont suivi des séances d’entraînement de 60 minutes trois fois par semaine sous la direction d’un kinésithérapeute. Les séances comprenaient un entraînement cardio (aérobie) et un entraînement musculaire.

Les participants qui s’entraînaient à un niveau modéré devaient atteindre environ 60 % de leur fréquence cardiaque maximale alors que ceux qui s’entraînaient plus intensivement devaient d’atteindre 75 %.

Les symptômes d’anxiété ont été réduits chez ceux qui s’entrainaient par rapport au groupe témoin, même lorsque l’anxiété était chronique. La plupart sont passés d’un niveau d’anxiété modérée ou élevée à un niveau faible.

Plus l’exercice était intense, plus les symptômes s’amélioraient, rapporte Malin Henriksson, coauteur. Ceux faisant de l’exercice à de faible intensité, avaient des chances d’amélioration des symptômes multipliés par 3,62 et ceux faisant de l’exercice plus intense, par 4,88.

Les traitements standards actuels de l’anxiété sont la thérapie cognitivo-comportementale (TCC) et les médicaments psychotropes. Mais ces médicaments ont souvent des effets secondaires et les patients souffrant de troubles anxieux ne répondent souvent pas au traitement médical, souligne le communiqué des chercheurs. (Qu’est-ce que le Xanax [alprazolam] ?)

« Le modèle impliquant 12 semaines d’entraînement physique, quelle que soit son intensité, représente un traitement efficace qui devrait plus souvent être mis à disposition dans le cadre des soins de santé primaires pour les personnes souffrant de problèmes d’anxiété », conclut Maria Aberg.

Des études précédentes ont aussi montré que l’exercice physique entraîne une amélioration des symptômes de dépression. (L’exercice aérobique efficace pour le traitement de la dépression)

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Psychomédia avec sources : University of Gothenburg, Journal of Affective Disorders.
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Quel futur pour la COVID-19 ?

Comment évoluera l’épidémie de la COVID-19 ? Quelle va être notre vie au cours des prochaines années ?

Le Pr Frédéric Adnet, directeur médical du SAMU de la Seine-Saint-Denis et responsable du service des Urgences du CHU Avicenne à Bobigny, présente un bon résumé de la situation et de ce qui est attendu pour les prochaines années.

« Non, nous n’arrêterons pas le virus. Oui, grâce à la vaccination, nous allons le domestiquer en transformant la COVID-19 en une maladie infectieuse acceptable pour la société, qui ne submergera plus nos hôpitaux et nos réanimations », explique-t-il.

Mais « les espoirs dans les traitements antiviraux directs ainsi que la possibilité de modifier rapidement la formule moléculaire du vaccin ont tout pour nous rendre optimistes ».

Lire l’article Condamnés à vivre avec la COVID-19 ? du Pr Frédéric Adnet (sur le site Grands reporters de Jean-Paul Mari).

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Étude : Laisser les bébés manger des œufs pour éviter une allergie à l’œuf plus tard

Selon une nouvelle étude, le fait de nourrir les nourrissons avec des œufs pourrait réduire leur risque d’allergie aux œufs plus tard.

Pour cette étude, des chercheurs de l’Université de Buffalo, dans l’État de New York, ont analysé les données du gouvernement américain provenant de plus de 2 200 parents qui ont été interrogés sur les habitudes alimentaires et les allergies alimentaires de leurs enfants de la naissance à l’âge de 6 ans.

« Nous avons constaté que les enfants qui n’avaient pas consommé d’œuf à 12 mois étaient plus susceptibles de souffrir d’une allergie à l’œuf à 6 ans », a déclaré l’auteur principal, le Dr Giulia Martone, qui doit présenter les résultats dimanche lors d’une réunion de l’American College of Allergy, Asthma and Immunology (ACAAI), à la Nouvelle-Orléans.

Les recherches présentées lors de réunions doivent être considérées comme préliminaires jusqu’à leur publication dans une revue à comité de lecture.

Parmi les plus de 2 200 parents interrogés, 0,6 % ont signalé une allergie aux œufs chez leurs enfants âgés d’un an, selon l’étude. Parmi les plus de 1 400 parents qui ont fourni des données sur les allergies alimentaires de leurs enfants jusqu’à l’âge de 6 ans, 0,8 % ont signalé une allergie aux œufs à cet âge.

Les enfants souffrant d’une allergie aux œufs à l’âge de 1 et 6 ans ont mangé moins d’œufs à l’âge de 5, 6, 7 et 10 mois que ceux qui n’y étaient pas allergiques, ont indiqué les chercheurs.

« L’allergie aux œufs est la deuxième allergie alimentaire la plus courante dans le monde », a déclaré l’auteur principal, le Dr Xiaozhong Wen, dans un communiqué de presse de l’ACAAI.

« Les données actuelles suggèrent que l’introduction précoce de l’œuf pendant la petite enfance, suivie de tétées cohérentes et fréquentes, semble protéger contre le développement de l’allergie à l’œuf. Nous étudions toujours le moment optimal de l’introduction de l’œuf chez le nourrisson et la fréquence de l’alimentation », a déclaré Wen.

La stratégie de prévention de l’allergie est familière. Depuis 2017, les allergologues et les pédiatres disent que les parents devraient introduire le produit à base d’arachide aux enfants à peu près au moment où ils commencent à manger des aliments solides pour réduire le risque d’allergie à l’arachide.

Santé News

Alimentation : 10 recommandations pour prévenir les maladies du cœur (mise à jour de l’AHA)

Dans de nouvelles recommandations, l’American Heart Association (AHA) propose 10 caractéristiques d’une alimentation saine pour le cœur.

Ces recommandations, qui mettent l’accent sur l’alimentation globale plutôt que sur des aliments ou des nutriments individuels, sont publiées en novembre 2021 dans la revue Circulation.

10 recommandations alimentaires pour promouvoir la santé cardiaque :

  1. Équilibrer l’alimentation et l’apport calorique avec l’activité physique pour maintenir un poids sain.

  2. Consommer beaucoup de fruits et légumes variés pour obtenir une gamme complète de nutriments à partir d’aliments plutôt que de compléments ;

  3. Choisir des céréales complètes et d’autres aliments composés principalement de céréales complètes ;

  4. Choisir des sources de protéines saines (principalement végétales ; consommation régulière de poissons et de fruits de mer ; produits laitiers à faible teneur ou sans matières grasses ; si la viande ou la volaille est désirée, choisir des coupes maigres et des formes non transformées) ;

  5. Utiliser des huiles liquides végétales non tropicales et des graisses partiellement hydrogénées ;

  6. Choisir autant que possible des aliments peu transformés plutôt que des aliments ultra-transformés ;

  7. Réduire au minimum la consommation de boissons et d’aliments contenant des sucres ajoutés ;
  8. Choisir ou préparer des aliments avec peu ou pas de sel ;

  9. Limiter la consommation d’alcool ; si vous ne buvez pas, ne commencez pas ;

  10. Appliquer ces conseils quel que soit le lieu de préparation ou de consommation des aliments.

« Il est important de reconnaître que ces orientations sont compatibles non seulement avec la santé cardiaque, mais aussi avec la durabilité – c’est gagnant pour les individus et l’environnement », souligne Alice H. Lichtenstein de l’Université Tufts (Boston), 1re auteure.

Pour plus d’informations, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : American Heart Association, Circulation.
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Quelles sont les psychothérapies pour le traitement des cauchemars ?

Le cauchemar, « un rêve extrêmement dysphorique », implique généralement des menaces vitales sur la sécurité ou l’intégrité physique. Il est aussi caractérisé par un état rapidement orienté et alerte après l’éveil (contrairement à d’autres troubles du sommeil tels que les terreurs nocturnes.

Une survenue répétée et un retentissement sur la vie de la personne constituent le « trouble cauchemars ».

Psychothérapies

Plusieurs traitements psychologiques sont utilisés dans la prise en charge de ce trouble.

Alain Perrier et Pierre Geoffroy de l’Université de Paris ont, avec leurs collègues, recensé ces traitements dans un article publié en juillet 2021 dans la revue Médecine du Sommeil.

« Les approches non pharmacologiques dérivées des thérapies cognitivo-comportementales sont celles qui ont fait la preuve de l’efficacité la plus robuste », rapportent-ils.

« La thérapie par répétition d’imagerie mentale (RIM) est le seul traitement faisant actuellement l’objet de recommandations de grade A par les sociétés savantes.

Cette thérapie comprend un volet d’éducation thérapeutique et de restructuration cognitive, ainsi qu’un volet centré sur la pratique de l’imagerie mentale consistant à modifier un cauchemar préexistant pour créer le scénario d’un nouveau rêve qui sera répété quotidiennement durant l’éveil.

D’autres traitements psychothérapeutiques peuvent être utilisés, notamment les thérapies d’exposition et de désensibilisation, les thérapies centrées sur les rêves lucides, et dans une moindre mesure les thérapies cognitivo-comportementales classiques ou spécifiques de l’insomnie. »

Traitement pharmacologique

« L’utilisation des traitements pharmacologiques, au premier rang desquels se trouve la prazosine, se limite à certaines indications précises comme les cauchemars liés au trouble de stress posttraumatique. »

Pour plus d’informations sur les cauchemars et autres troubles du sommeil, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Médecine du sommeil.
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Meilleures villes pour étudier : Paris et Montréal dans le top 10 du classement QS 2022

Dans le classement 2022 des meilleures villes universitaires de la firme Quacquarelli Symonds (QS), Paris, Montréal et Boston arrivent à égalité en 9e position.

Encore une fois, Londres occupe la première position. Suivie par Munich, Séoul, Tokyo, Berlin, Melbourne, Zurich et Sydney.

Londres occupe la première place depuis 2018, année où elle a détrôné Montréal qui occupait la première place en 2017 en détrônant Paris.

Deux autres villes françaises se glissent parmi les 115 meilleures villes étudiantes du monde : Lyon arrive en 48e position et Toulouse en 86e.

En Belgique, la ville de Bruxelles figure en 50e position.

Classement des 115 meilleures villes universitaires sur le site de QS : Best Student Cities 2022.

Le classement QS est établi selon plusieurs indicateurs, dont le niveau académique, la population étudiante, les commodités, l’attrait des villes auprès des jeunes, le marché de l’emploi, le coût de la vie et des études ainsi que l’opinion des étudiants basée sur une enquête menée auprès de la communauté étudiante ainsi que d’un groupe de diplômés.

QS publie également chaque année un classement des meilleurs établissements d’enseignement supérieur qui compte quelque 1200 universités dans 78 pays. (Classement QS 2019 des universités en psychologie : 4 françaises, 6 belges et 5 québécoises dans le top 300)

Psychomédia avec source : Université de Montréal.
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Trouble bipolaire : une psychothérapie pour mieux gérer les fluctuations d’humeur

Une partie des personnes atteintes de troubles bipolaires souffrent de fluctuations d’humeur, qui peuvent être hebdomadaires, quotidiennes ou même horaires, persistant en dehors des épisodes de manie ou de dépression.

Des chercheurs ont mené un essai clinique pour déterminer comment une thérapie psychologique existante pourrait être adaptée pour aider à gérer ces variations d’humeur.

Leurs résultats sont publiés en juillet 2021 dans l’International Journal of Bipolar Disorders.

Kim Wright, de l’Université d’Exeter (Royaume-Uni), et ses collègues ont mené cet essai pour vérifier dans quelle mesure cette psychothérapie, la thérapie comportementale dialectique, originalement développée pour le traitement des personnes souffrant d’un trouble de personnalité limite, serait acceptable pour les personnes qui la reçoivent et identifier les changements à apporter avant de mener un essai à plus grande échelle.

Ils ont recruté 43 participants qui ont été répartis au hasard en deux groupes : l’un recevant, au cours de six mois, 16 séances de groupe et quelques séances individuelles de la thérapie ainsi que les soins habituels, l’autre ne recevant que les soins habituels.

La thérapie comportementale dialectique adaptée pour les troubles bipolaires (que les chercheurs ont appelée « programme ThRIVE-B ») vise à aider à la régulation des émotions. Elle enseigne des compétences concernant l’acceptation des situations et les réactions émotionnelles.

Cet objectif est atteint par le développement de compétences de pleine conscience et l’apprentissage d’un cadre de référence permettant de mieux comprendre les réponses émotionnelles et de développer divers moyens de les gérer.

La thérapie est appuyée par des exercices à faire à la maison, des documents d’information et une application pour smartphone permettant d’évaluer l’humeur au jour le jour.

Les participants ont répondu à divers questionnaires au début de l’étude, puis trois, six, neuf et 15 mois plus tard.

En raison du petit nombre de participants, l’étude n’avait pas pour but d’évaluer le bénéfice de la thérapie, mais visait plutôt à évaluer sa faisabilité et son acceptabilité, explique la chercheure.

Dans l’ensemble, l’étude montre qu’il existe une demande de la part des personnes bipolaires pour une thérapie psychologique traitant l’instabilité persistante de l’humeur, et qu’un essai à plus grande échelle d’une telle thérapie est réalisable, conclut-elle.

« Nos prochaines étapes consisteront à améliorer la thérapie en fonction de ce que nous avons appris de cette étude, par exemple en simplifiant le contenu et en envisageant une intervention individuelle plutôt que de groupe. »

Les troubles du spectre bipolaire incluent les troubles bipolaires de type 1 et de type 2 ainsi que le trouble cyclothymique. Ils affectent de 3 à 4 % de la population, rapportent les auteurs.

Pour plus d’informations sur le trouble bipolaire, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec sources : University of Exeter, International Journal of Bipolar Disorders, NHS Health Research Authority.
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Du nouveau pour XeraCalm, la solution apaisement d’Avène

Depuis 2013, date de lancement de la gamme Xeracalm par Avène, les peaux les plus sèches et les plus atopiques ont trouvé un soutien sans faille pour leur apporter soulagement et confort tout au long de l’année. La marque revient avec une nouveauté flacon, pour faciliter l’utilisation de ses produits phares et un pain surgras pour nettoyer la peau dans le plus grand respect de celle-ci.

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