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Le café nuirait à la récupération de l’oreille après un bruit important (ex. concert)

La consommation quotidienne de caféine pourrait entraver la récupération suite à des dommages auditifs temporaires, selon une étude québécoise publiée dans Journal de l’American Medical Association (JAMA).

Le bruit excessif est présent dans plusieurs environnements de travail. Les concerts et les autres événements sociaux peuvent également être une source de bruit importante, où les niveaux sonores peuvent excéder les recommandations de santé et mener à la diminution de l’acuité auditive.

« Lorsque l’oreille est surexposée à un son, elle peut souffrir d’une perte auditive temporaire », explique Faisal Zawawi de l’Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (IR-CUSM), coauteur. « Ce type de problème se résout habituellement au cours des 72 heures suivant l’exposition, mais si les symptômes persistent, la dégradation peut s’avérer permanente. »

Grâce à leurs travaux précédents, les chercheurs soupçonnaient déjà que certaines substances, comme la caféine, pourraient avoir un impact sur la capacité de l’oreille à récupérer, explique le communiqué du CUSM.

« Les chercheurs ont eu recours au modèle animal, exposant deux groupes à un son de 110 dB (comparable à un concert de rock à volume élevé) pendant une période d’une heure. Un des deux groupes était exposé à des doses de caféine. 24 heures plus tard, les chercheurs ont découvert que la perte auditive était similaire chez les deux groupes. Par contre, à la suite d’une période de huit jours, le groupe sans caféine avait presque complètement retrouvé son seuil auditif initial, alors que la perte auditive persistait chez le groupe recevant de la caféine au quotidien. »

Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour bien comprendre la nature de l’impact chez les êtres humains.

Psychomédia avec source : CUSM.
Tous droits réservés

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Grands prématurés : un suivi permanent après la naissance

Il y a trois ans, les équipes de France 2 avaient suivi les premiers pas de deux très grands prématurés. Ils sont retournés à leur rencontre aujourd’hui.
À trois ans, Delor semble vivre chaque jour comme une fête et ne cesse d’étonner ses parents. À sa naissance, il pesait 715 grammes, mais depuis il s’est bien rattrapé.
Hugo était son voisin de couveuse. Il est né après seulement six mois de grossesse. À quelques jours près les médecins n’auraient pas pu le maintenir en vie.
À ce terme, un enfant sur deux ne survit pas. Aujourd’hui, il ne présente aucune séquelle, mais il est suivi de près.

Un enfant sur trois a besoin d’être accompagné

Pour tous les grands prématurés, le suivi est permanent. Delor a rendez-vous avec le médecin qui l’a vu naître. Il est rentré en maternelle cette année. Tout l’enjeu de ce rendez-vous est de dépister d’éventuels désordres qui pourraient l’handicaper dans sa scolarité. Dyslexie, dyscalculie, hyperactivité, un grand prématuré sur trois aura besoin d’être accompagné dans son développement. Mais Delor n’inquiète pas son médecin.
Les deux enfants seront suivis jusqu’au CP, la dernière étape clé dans leur parcours d’enfant prématuré.

Retrouvez cet article sur Francetv info

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Ruby Graupera-Cassimiro reprend vie après 45 minutes d’arrêt cardiaque !

Ruby Graupera-Cassimiro, une femme âgée de 40 ans s’est réveillée après trois quarts d’heure d’arrêt cardiaque alors que les médecins s’apprêtaient à la déclarer morte auprès de la famille. Un miracle médical que la science ne parvient pas à expliquer. Ruby, cependant, s’appuie sur sa foi pour remercier Dieu pour sa survie et explique : « je ne sais pourquoi il m’a été donné une telle opportunité, mais je suis reconnaissante pour cela. Dieu a placé chaque personne à la bonne place au bon moment ».

Retour sur les évènements : Ruby Graupera-Cassimiro est accueilli le 23 septembre à l’hôpital de Boca Raton en Floride pour donner naissance à son deuxième enfant. Alors qu’elle subit une césarienne, des complications surviennent et entraînent l’arrêt de son coeur. Les médecins se battront pendant près de trois heures pour essayer de remédier à ces complications jusqu’à l’arrêt cardiaque. Du liquide amniotique est en effet passé dans le sang. Malgré tout leurs efforts, le coeur de Ruby finit par cesser de battre. 45 minutes plus tard, alors que les médecins font un massage cardiaque sans qu’aucune pulsation ne soit enregistré, alors que les médecins avaient réuni la famille pour déclarer le décès de la patiente, elle s’est subitement réveillée, sans aucune séquelle au niveau cérébral.

Les médecins, face à ce miracle, parlent de « providence divine » et ne parviennent à donner aucune autre explication pour le retour de Graupera-Cassimiro à la santé. Le porte-parole de l’hôpital Chakurda va jusqu’à parler de « résurrection » alors même que la jeune-mère allait être déclaré cliniquement morte à la famille.

Ruby en bonne santé qui est aujourd’hui entourée de ses deux enfants et de sa famille à la maison, avait déclaré en revenant de son arrêt cardiaque : « Je me souviens avoir senti comme une force intérieure me disant que ce n’était pas mon heure, que je ne devais pas mourir ».

Amputée de 4 membres après un avortement, elle témoigne !

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Une Bordelaise de 39 ans a décidé de rendre témoignage d’un fait qui remonte à 2011. En raison d’une septicémie contractée suite à un avortement, elle s’est retrouvée amputée des deux pieds, de l’avant-bras droit et de la main gauche.

Parce qu’elle tombe enceinte juste après avoir accouché d’un troisième enfant, Priscilla Dray, âgée de 36 ans en 2011, décide de se faire avorter. L’intervention chirurgicale, pratiquée au CHU de Bordeaux, se déroule normalement.

Pourtant, à peine rentrée chez elle, la jeune femme a de la fièvre et souffre de douleurs, raison pour laquelle elle retourne se faire examiner par l’interne de garde qui l’ausculte, retire le stérilet posé après l’opération et pratique quelques prélèvements. Elle rentre une fois encore à la maison sur les conseils de l’interne.

Priscilla n’est pas sortie d’affaire pour autant et continue à souffrir : elle décide alors de contacter le médecin de garde qui diagnostique une septicémie et lui demande de revenir à l’hôpital où elle reçoit des antibiotiques 5 heures plus tard. Les tissus ont malencontreusement commencé à se nécroser, et les analyses pratiqués deux jours après révèlent finalement qu’elle porte en elle le « streptocoque pyogène de type A… ». La propagation de l’infection n’ayant pu être arrêtée malgré le traitement, la Bordelaise doit finalement subir une amputation des deux pieds, de l’avant-bras droit et de la main gauche.

Pourquoi Priscilla et son mari ont-ils décidé de révéler ce fait tragique ? Tout simplement parce que la justice n’a toujours pas authentifié les responsables, les expertises étant toujours en cours au tribunal de grande instance de Bordeaux.

Une maman de 3 enfants amputée de 4 membres après un avortement témoigne

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Une maternité fermée après un accident anesthésique

BORDEAUX (Reuters) – L’Agence régionale de santé (ARS) d’Aquitaine a annoncé lundi la fermeture temporaire de la maternité d’Orthez (Pyrénées-Atlantiques) après un « accident grave » lié à une anesthésie lors d’un accouchement.

L’accident, survenu dans la nuit de vendredi à samedi à la maternité d’Orthez, concerne une jeune femme de 28 ans qui a été transférée à l’hôpital de Pau dans un état grave. Son pronostic vital est engagé. Le nouveau-né est en parfaite santé.

« Compte tenu de fortes suspicions concernant la sécurité anesthésique, le directeur du Centre hospitalier a suspendu l’activité obstétricale (à la maternité d’Orthez) en prévoyant son transfert vers le Centre hospitalier de Pau », précise l’ARS dans un communiqué.

Une enquête a été diligentée par les autorités sanitaires et une enquête judiciaire est en cours. Les patientes seront orientées vers les maternités de la région, selon leur volonté.

Cet accident survient alors que la maternité d’Orthez était déjà en sursis faute d’un nombre suffisant de gynécologues-obstétriciens. Environ 800 personnes ont manifesté samedi dernier pour réclamer son maintien.

(Claude Canellas, édité par Elizabeth Pineau)


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Alerte des autorités US après la mort d’un jeune d’une overdose de caféine

SANTE – Ce produit en poudre est facilement disponible en ligne…

Une cuillère équivaut à environ 25 tasses de café. Cela peut-être mortel, comme lors du décès d’un lycéen dans l’Ohio, la semaine dernière. De quoi pousser les autorités américaines à lancer une mise en garde, vendredi, contre l’ingestion de caféine pure.

«La caféine pure est un stimulant très puissant et de très petites doses peuvent provoquer des surdoses», prévient encore la FDA dans son communiqué. L’autorité en matière d’alimentation déconseille fermement la consommation «de caféine en poudre pure».

Vente non régulée

Les médias américains se sont fait l’écho au début du mois de la mort d’un jeune de 18 ans originaire de l’Ohio. Plusieurs sachets de caféine pure en poudre ont été retrouvés chez lui.

Ces produits sont très aisément disponibles sur Internet et les associations de consommateurs exigent que leur vente soit régulée, à l’image de l’ONG Center for Science in the Public Interest.

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Après une opération, son nombril explose en plein vol

Elle vient d’obtenir gain de cause contre son chirurgien. Une Anglaise dont le nombril a explosé lors d’un vol après une opération chirurgicale ratée s’est vu accorder une compensation de 22 000 livres (près de 27 000 euros), rapporte Metronews dimanche 4 mai.

Après un régime qui lui a donné un ventre flasque, Patricia, fait appel à la chirurgie esthétique. Après l’opération, à sa grande surprise, son nombril a disparu. Le chirurgien, rassurant, lui explique qu’il ne disposait pas de suffisamment de peau pour en recréer un.

Mais en réalité, le nombril avait été recousu à l’intérieur de son ventre et se désagrégeait. Cinq ans plus tard, alors que Patricia revient de vacances au Portugal, son nombril explose dans l’avion. Douleurs atroces pour Patricia et odeurs insoutenables pour les autres passagers.

Une fois réopérée, Patricia a attaqué le premier chirurgien. Lequel s’est refusé à tout commentaire.

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Après une commotion cérébrale, arrêtez de réfléchir

Une étude parue le 6 janvier 2014 sur le site de la revue américaine Pediatrics apporte la preuve que le repos, non seulement physique mais aussi intellectuel, accélère la guérison des jeunes gens après une commotion cérébrale, relate NBC News.

L’étude, intitulée «Effets de l’intensité de l’activité cognitive sur la durée des symptômes après une commotion cérébrale», a requis la participation de 335 patients âgés de 8 ans à 23 ans (moyenne d’âge 15 ans), recrutés dans les trois semaines suivant leur accident et suivis jusqu’à leur guérison complète.

Lors de consultations régulières au Boston Children’s Hospital, ils devaient évaluer leur activité intellectuelle selon une échelle de cinq niveaux rapportées par US News:

  • repos complet; activité minimale –moins de 20 minutes d’écran et zéro devoirs ou lecture;
  • activité modérée –lecture de moins de dix pages par jour,
  • moins d’une heure sur les devoirs, écrans;
  • activité significative –lire moins et faire moins de devoirs que d’habitude;
  • activité habituelle

Ils devaient ensuite décrire en parallèle l’évolution de leurs symptômes.

D’après NBC News, l’étude a établi que 50% des patients qui ne s’étaient pas mis au repos ont mis 100 jours ou plus à recouvrer la santé, alors que ceux qui ont diminué leur activité ont presque tous récupéré en moins de 100 jours, la plupart en une paire de mois; US News parle d’une moyenne de guérison à 43 jours.

Le Dr William Meehan, un des co-auteurs de l’étude et directeur de la clinique des traumatismes crâniens sportifs du Boston Children’s Hospital, et dont les propos sont rapportés par NBC News explique que «trois à cinq jours de repos complet sont suffisants. Ensuite, vous pouvez réintroduire progressivement une activité cognitive. Il faut en faire le plus possible, mais s’arrêter quand les symptômes reviennent».

Quand le cerveau est durement secoué, comme c’est le cas lors d’un traumatisme crânien, explique NBC News, il éprouve comme une petite attaque. Les neurones ont alors besoin de toute l’énergie disponible pour se remettre. Le cerveau est épuisé et se met au repos, consacrant toute l’énergie disponible à se soigner. S’il est sollicité, le mécanisme de guérison se stoppe le temps que le cerveau remplisse sa tâche, ce qui rallonge d’autant le temps qu’il mettra à guérir.

Selon USA Today, cette étude démontre d’une part que le repos est utile, et d’autre part que le repos total n’est pas plus efficace qu’un repos partiel: les patients qui s’autorisaient une activité intellectuelle légère se remettaient aussi vite que ceux qui évitaient tout effort.

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A votre santé! – Slate.fr

Regardez les maladies du XXe siècle disparaître après l’introduction des vaccins

Si la polio, la rougeole et la diphtérie ont été pratiquement éradiquées des pays développés, c’est grâce à l’introduction de leurs vaccins respectifs. On s’en doutait, mais l’université de Pittsburg, dans une étude publiée le 28 novembre 2013 via le New England Journal of Medicine, a apporté un indice de taille: la visualisation de tous les cas recensés aux Etats-Unis depuis plus d’un siècle.

La base de données sur laquelle est basée cette étude, baptisée «Project Tycho», a été placée en libre accès la même journée, «pour aider à combattre les maladies contagieuses mortelles», selon le communiqué de presse annonçant la nouvelle. Ces travaux ont été résumés le 2 décembre sur le site d’un des National Institutes for Health (NIH), organismes publics de recherche étasuniens qui ont contribué au financement de l’étude.

L’exhaustivité du Project Tycho, qui a numérisé à la main tous les rapports mensuels de maladies à déclaration obligatoire des Etats-Unis depuis 1888, a permis aux chercheurs de visualiser l’évolution de 56 maladies infectieuses différentes au cours du siècle, dont huit épidémies en particulier: variole, poliomyélite, rougeole, rubéole, oreillons, hépatite A, diphtérie et coqueluche, huit infections pour lesquelles un vaccin a été trouvé. Pour chacune d’entre elles, les chercheurs ont produit un diagramme sur lequel a été tracée une ligne rouge marquant l’année d’introduction du vaccin correspondant. Comme l’explique l’article des NIH:

«Pour la plupart des maladies, la ligne est comme une falaise; il y a une chute nette et relativement rapide du taux d’incidence, comme l’illustre le passage de la couleur rouge, “incidence élevée” au noir, “incidence nulle”. Mais pour d’autres, en particulier la rougeole et la diphtérie, la disponibilité du vaccin n’a pas eu d’impact aussi flagrant. Dans leur étude, les chercheurs expliquent que les attitudes ou les mesures publiques vis-à-vis de la vaccination ont pu avoir une influence sur la persistance de la maladie.»

Taux d’incidence hebdomadaire de la diphtérie dans 122 villes des Etats-Unis – cliquez sur l’image pour voir les autres infographies

Pour le docteur Irene Eckstrand des NIH, citée dans l’article, ces analyses «sont un argument très convaincant en faveur de la vaccination pour prévenir et même éradiquer les maladies infectieuses, y compris celles de notre époque». Le communiqué de presse précise à ce sujet:

«“En utilisant cette base de données, nous estimons que plus de 100 millions de cas de maladies infantiles contagieuses graves ont pu être empêchés grâce à l’introduction des vaccins”, déclare l’auteur principal Willem G. van Panhuis (…). “Mais nous pouvons aussi constater la résurgence de certaines de ces maladies durant ces dernières décennies, lorsque les gens oublient à quel point elles sont dangereuses et commencent à refuser les vaccins.”»

Le communiqué rappelle dans la foulée que les Etats-Unis connaissent actuellement une recrudescence de la coqueluche inédite depuis cinquante ans. Le 21 février, Helena Rho racontait sur Slate.com comment la couverture vaccinatoire était entravée dans l’Etat du Vermont par les activistes anti-vaccination.

En France, l’efficacité des vaccins ne fait pas non plus l’unanimité: dans un sondage BVA pour l’Assurance maladie qu’a relayé Francetv info le 14 octobre, une personne interrogée sur cinq considère que le vaccin contre la grippe est plus dangereux que d’attraper la grippe.

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Rythme scolaire : la sieste après le repas en maternelle recommandée

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Face à la réforme des rythmes scolaires qui suscite de fortes critiques, principalement au niveau des écoles maternelles, le ministère de l’Education nationale va présenter certaines recommandations inspirées des « meilleures pratiques » identifiées dans les écoles qui ont adopté d’ores et déjà la réforme au comité de suivi composé de représentants d’enseignants, d’élus et de parents.

Parmi ces préconisations, l’instauration d’une sieste après le repas, destiné selon le ministère, à permettre d’alterner de façon équilibrée les temps d’activité, les temps calmes et de repos des enfants.
Le ministère recommande ainsi de coucher les enfants jusqu’à 4 ans directement après le repas pour permettre une sieste d’une heure trente à deux heures, affirmant également que la sieste prime sur d’autres activités.

Les autorités suggèrent également la mise en place dans l’école d’un repérage au sol (pour permettre une meilleure identification des lieux) mais aussi d’un outil (ex : trombinoscope) permettant l’identification des adultes.

Un soins particulier devra être réservé, selon les recommandations de l’Education nationale, à la transition entre le scolaire et le périscolaire et à l’adaptation des activités aux besoins des jeunes enfants.

Les professeurs des écoles ont bien conscience de l’importance de ces mesures, mais évoquent le fait qu’elles ne soient pas forcément applicables dans beaucoup d’endroits avec des après-midi «coupés en trois», temps scolaire, temps périscolaire, puis garderie pour ceux qui restent après 16H30.

Afin de répondre au besoin de structuration important pour les tout-petits, les professionnels du secteur suggère de chercher à construire des modèles cohérents en se mettant autour d’une table. Il pourrait être possible par exemple de rester à la semaine de 4 jours en maternelle, sans raccourcir les journées qui intègrant temps de sieste et repos, ou alors concentrer les trois heures d’activités périscolaires sur une après-midi.

Le ministère de l'Education Nationale recommande la sieste après le repas à l'école maternelle

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