Ruptures de stock des médicaments : les pharmaciens utilisent le système D

Il y aurait, selon l’Académie de pharmacie, en moyenne 5 % des commandes qui n’aboutirait pas. Parmi les médicaments les plus concernés par le risque de rupture en approvisionnement se trouvent les anticoagulants, les anticancéreux et les vaccins mais cela peut également toucher les autres catégories de traitement comme les antibiotiques, par exemple.

Les pharmaciens sont de plus en plus souvent confrontés à des ruptures de stock dans l’approvisionnement des médicaments, ce qui peut être grave pour les patients selon l’Académie de pharmacie. L’Agence nationale de sécurité du médicament a ainsi pu recenser une centaine de produits dont l’approvisionnement est compliqué, voire tout simplement arrêté. Face à ces difficultés, les pharmaciens utilisent le système D et se débrouillent comme ils peuvent.

Face à cette pénurie, les pharmaciens font face comme ils peuvent : les approvisionnements pouvant être jusqu’à 4 jours en retard, ils vont se tourner vers un collègue, demander au médecin de changer la prescription ou encore donner un équivalent dès que c’est possible. Mais pour certains traitements comme pour les chimiothérapies, il n’est pas possible d’utiliser la débrouille et les patients doivent donc retarder leur traitement.

Face à la pénurie de médicaments, les pharmaciens se débrouillent

Les pharmaciens doivent faire face à des ruptures de médicaments de plus en plus nombreuses. Les médicaments les plus concernés par cette pénurie sont les vaccins, les anti-coagulants et les anticancéreux

Plusieurs causes peuvent expliquer ces retards de livraison : la délocalisation de la fabrication des matières premières actives des médicaments, le renforcement des normes de production qui peut conduire à des arrêts, ou encore l’arrêt de la production d’un traitement parce qu’il n’est pas rentable.

Face à ces difficultés, l’Académie nationale de pharmacie a proposé de mettre en place un répertoire européen des sites de fabrication et de contrôle mais aussi d’interdire l’exportation des médicaments qui n’ont pas d’équivalent thérapeutique. Elle a également suggéré de relocaliser la fabrication des médicaments indispensables à la santé publique. Et là, tout est question de coût. Qui financera en effet une relocalisation alors que la Sécurité Sociale peine à éponger sa dette abyssale ?

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Les hospitalisations liées à l’alcool en hausse de 30%

Le nombre de malades admis pour traiter une dépendance à l’alcool a bondi de 30% de 2009 à 2012. Des séjours majoritairement de courte durée, de moins de deux jours.

L’exploitation de la base de données informatique des hôpitaux révèle que 400.000 personnes au moins ont été hospitalisées en 2011 avec un diagnostic lié à l’alcool – un coma éthylique, une cirrhose, une hépatite ou une atteinte cardiaque par exemple. Un nombre deux fois plus élevé que pour le diabète, selon des statistiques préliminaires présentées lors des journées de la Société française d’alcoologie, à Paris. L’éthylisme constitue ainsi aujourd’hui un des premiers motifs d’hospitalisation médicale, c’est à dire sans prendre en compte la chirurgie et l’obstétrique.

Les données, qui n’incluent pas les admissions en psychiatrie ou en soins post-cure, montrent en outre une augmentation inquiétante: le nombre de malades pris en charge pour dépendance a bondi de 30% en trois ans. Les séjours de courte durée, inférieurs à deux jours, sont majoritaires. «Ce délai est insuffisant pour proposer un traitement adapté, ce qui laisse penser que des occasions de soins sont manquées», déplore le Pr Michel Reynaud, psychiatre à l’hôpital Paul Brousse (Villejuif), auteur de la présentation.

49.000 morts en 2009

L’âge moyen des patients admis pour une ivresse aiguë est de 44 ans. Il passe à 50 ans chez les malades pris en charge pour dépendance et à 56 ans pour ceux qui sont victimes d’une complication.

Malgré la baisse de la consommation depuis cinquante ans, l’alcool demeure ainsi un fléau sanitaire. On estime que deux millions de personnes sont dépendants en France, mais que moins de 10% essaient de s’en sortir et sont suivis par un médecin. Selon une étude publiée dans le European Journal of Public Health, l’alcool serait à l’origine de 49.000 morts en France en 2009. Dans ce contexte, le Pr Reynaud souligne que «les pouvoirs publics ne se donnent pas les moyens d’évaluer avec fiabilité les dommages liés à (…) Lire la suite sur Figaro.fr

Prothèses PIP : la bataille de l’indemnisation s’ouvre au civil
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Une nouvelle étude confirme les bienfaits du vin rouge

Amanda Velocet (CC 2.0)

Les bienfaits du vin rouge sur notre santé, ou plutôt de l’une de ses molécules, le resvératrol, semblent se vérifier. En effet une nouvelle étude américaine, dont se fait l’écho le site Aujourd’hui.com, révèle que cette molécule agit en activant des protéines impliquées de façon complexe dans la stimulation énergétique des cellules.

Le resvératrol est une substance connue pour ses propriétés antioxydantes, son action contre le diabète, l’obésité ou bien encore le cancer. Il est  présent naturellement dans certains fruits comme les raisins rouges, les mûres, les cacahuètes…

Il y a un peu moins d’un an, des scientifiques américains de  la Georgetown University révélaient que cette substance pouvait aussi avoir un effet protecteur contre la maladie d’Alzheimer. Pour pouvoir le confirmer, ils ont  lancé l’an dernier une étude clinique de phase II avec des patients atteints de démence légère à modérée. L’essai est toujours en cours actuellement.

Par le passé des chercheurs ont plusieurs fois tenté de démontrer que le resvératrol pouvait non seulement être efficace dans la lutte contre certaines maladies associées au vieillissement mais avait aussi la faculté de prolonger la durée de vie de souris de laboratoire.

En 2010, une équipe de chercheurs du laboratoire « Mécanismes adaptatifs : des organismes aux communautés » (CNRS/Muséum national d’Histoire naturelle) révélait que ce composé polyphénolique avait également la faculté de diminuer la prise de poids chez des lémuriens.

Reste que le vin doit être consommé avec modération…


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Prothèses PIP : la bataille de l’indemnisation s’ouvre au civil

Six distributeurs à l’étranger et 1600 porteuses de prothèses mammaires demandent plus de 50 millions d’euros d’indemnités à l’allemand TÜV, pour négligence dans sa mission de certification.

A un mois du grand procès pénal des dirigeants du fabricant de prothèses mammaires au gel frauduleux PIP (qui s’ouvrira le 17 avril), les victimes se sont tournées ce vendredi vers le tribunal de commerce de Toulon pour demander la condamnation de l’organisme certificateur allemand TÜV Rheinland et une indemnisation du préjudice qu’elles estiment avoir subi.

Pour les six anciens distributeurs des prothèses à l’étranger – un bulgare, un brésilien, un italien, un syrien, un mexicain et un roumain – et près de 1600 porteuses, la fraude de PIP n’a été possible que parce que TÜV a failli dans sa mission de contrôle. L’enjeu est important pour TUV puisque les distributeurs réclament 28 millions d’indemnités et les porteuses de prothèses, principalement sud-américaines, 16 000 euros chacune, pour préjudice moral et d’anxiété, soit un total supplémentaire de plus de 25 millions. Pour les parties, c’est la bataille de l’indemnisation qui se joue puisque Jean-Claude Mas et quatre autre dirigeants qui vont comparaître au pénal, sont insolvables.

Différentes lectures de la directive européenne

Me Olivier Aumaître, défenseur des distributeurs, estime que la directive européenne, qui régit la certification des dispositifs médicaux comme les prothèses, et le contrat passé avec PIP donnaient au certificateur des «pouvoirs étendus». Il pouvait ainsi faire des inspections inopinées, des tests d’échantillons, des saisie des stocks . Ce qu’il n’a jamais mis en œuvre, même lorsque l’Europe a relevé le niveau de dangerosité des implants mammaires en 2003. «Si TÜV a jugé bon de ne pas le faire, c’est à ses risques et périls ..Il a raté complètement ses audits de surveillance», a ajouté Me Laurent Gaudon, conseil des porteuses qui a souligné qu’en quinze ans, il n’y avait jamais eu de contrôle (…)

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Médicaments : jusqu’à 80 % des principes actifs produits en Chine ou en Inde

L’Académie de pharmacie déplore une « perte quasi-complète d’indépendance de l’Europe en sources d’approvisionnement en matières actives pharmaceutiques (qui) se conjugue à l’éventuelle perte du savoir-faire industriel correspondant ». En, clair, de plus en plus de médicaments sont produits à l’étranger pour des raisons économiques ce qui occasionne plusieurs problèmes.

Relocaliser la production en Europe

Ainsi « 14% des ruptures de stocks de médicaments auraient pour origine une difficulté d’approvisionnement en matières premières à usage pharmaceutique. 60 % à 80 % des matières actives à usage pharmaceutique sont fabriquées dans les pays tiers à l’Union européenne, principalement en Inde et en Asie, contre 20 % il y a trente ans ».

Misant que sur le long terme la différence de coût de production entre les pays tiers et l’Europe se réduira, l’Académie de pharmacie préconise « d’engager une politique volontariste de relocalisation de la fabrication des matières actives pharmaceutiques tenues pour stratégiques au plan de la protection de la santé publique. »

Mieux contrôler la conformité des médicaments

Il convient dans un premier temps de définir une liste des principes actifs concernés prioritairement par cette relocalisation. Il s’agit principalement de médicaments tels que les antibiotiques, antirétroviraux, anticancéreux, anesthésiques, anticoagulants, immunoglobulines …et aux matières actives indispensables aux traitements d’urgence.

En attendant et afin de garantir la qualité des médicaments importés dans l’Union européenne, les pays exportateurs devront, à partir de juillet 2013 conformément à la la Directive 2011/62/UE, établir « une confirmation écrite assurant que chaque substance importée dans l’Union européenne est conforme aux standards qualité européens et que chaque site de fabrication est inspecté de façon régulière par ces autorités. »

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Maladies neurodégénératives : lancement du projet AgedBrainSYSBIO

Le projet AgedBrainSYSBIO sur la biologie des systèmes des protéines synaptiques et du vieillissement a été officiellement lancé le 18 mars à Paris. Le projet AgedBrainSYSBIO s’appuiera sur ce vaste ensemble de données, les croisera avec d’autres bases de données à grande échelle sur le vieillissement et intègrera tous ces savoir-faire, ces technologies et ces résultats. Grâce à l’implication de quatre PME européennes, les résultats de ce programme devraient se traduire rapidement en études précliniques.

Un groupe européen de laboratoires universitaires et de scientifiques travaillant pour des PME industrielles s’apprête à combiner la biologie des systèmes intégrés & la génomique comparative afin d’étudier le vieillissement du cerveau humain et/ou les pathologies les plus fréquemment liées à l’âge, avec une attention toute spéciale portée à la maladie d’Alzheimer d’apparition tardive, avec pour but d’identifier et de valider de nouvelles cibles moléculaires et de nouveaux biomarqueurs. Ce programme de recherche de quatre ans est coordonné à l’Inserm par le professeur Michel Simonneau.

AgedBrainSYSBIO est un projet de recherche collaboratif européen financé par la Commission européenne au sein du programme Health Work du 7e programme cadre. Ce consortium pluridisciplinaire réunit 14 équipes de recherche universitaire et de l’industrie de renommée internationale travaillant en Belgique, en Estonie, en France, en Allemagne, en Israël, au Royaume-Uni et en Suisse.

Journée mondiale de la maladie de ParkinsonLe vieillissement est sans conteste un processus complexe car il affecte la détérioration de la plupart des aspects de notre vie. Le déclin cognitif est en passe de devenir l’un des principaux problèmes de santé publique liés au vieillissement : près de 50 % des adultes de plus de 85 ans souffrent de la maladie d’Alzheimer, qui représente le type de démence le plus fréquent.

Comme d’autres autres maladies neurodégénératives chroniques, la maladie d’Alzheimer évolue lentement et progressivement. Toutefois, s’ajoute pour les personnes qui en souffrent une perte constante de contact avec les autres en raison des pertes de mémoire, des difficultés à s’orienter, de la perte des capacités de langage, de parole et de jugement et de la dépression qu’elle engendre – entre autres nombreux symptômes.

En 2013, d’après les estimations, plus de 24 millions de personnes souffrent de la maladie d’Alzheimer. 4,6 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, soit un nouveau cas toutes les 7 secondes. Cette maladie constitue donc bien l’un des principaux problèmes de santé publique aujourd’hui, en termes de coûts tout autant qu’en termes d’étiologie, de guérison et de prise en charge. Pour répondre à ces questions, le financement pour la recherche par la Commission européenne est crucial en l’absence actuelle de médicaments curatifs.

Au cours des dernières années, les études d’association pangénomiques (GWAS, Genome-Wide Association Studies) ont joué un rôle important dans l’identification de gènes responsables du risque génétique associé à la maladie d’Alzheimer. Ces approches, qui se fondent sur la comparaison génétique de grandes cohortes de patients et de personnes âgées non malades, et auxquelles trois partenaires universitaires ont participé (Inserm U894, Institut Pasteur de Lille, Université d’Anvers), ont été largement financées par l’Europe.

De plus, de nouveaux ensembles de données ont été construits et ont apporté des informations de pointe sur les interactions protéine-protéine, leur localisation dans le neurones humains. Dans un autre domaine, de nouveaux modèles (drosophile et souris) ont aussi été produits . Enfin, l’analyse de gènes dont l’évolution est accélérée chez les êtres humains ouvre une voie intéressante pour la recherche. Toutefois, jusqu’à présent, malgré l’importance des données disponibles et des modèles in vitro et in vivo existants, ces approches n’ont pas été traduites en succès cliniques.

Le projet AgedBrainSYSBIO rassemble 14 équipes de recherche universitaires et issues de l’industrie Ces scientifiques partageront leurs résultats et leur savoir-faire sur :

– la découverte de gènes de la maladie d’Alzheimer d’apparition tardive grâce aux études GWAS,
– la génomique fonctionnelle comparative dans les modèles de souris et de drosophile,
– les approches transgéniques chez la souris, concernant la recherche sur les cellules souches pluripotentes humaines induites (hiPSC)

. Les PME européennes participant au projet apporteront leur expertise complémentaire. QURETEC (Estonie) sera un partenaire capital pour les solutions de gestion des données et les analyses bioinformatiques. HYBRIGENICS (France) est un leader mondial du domaine de la protéomique comparative et des analyses d’interactions protéine-protéine. GENEBRIDGES (Allemagne) commercialise de nouvelles stratégies de modification de l’ADN dans les cellules de mammifère. ReMYND (Belgique) est un leader dans le domaine du développement de traitements de modification du repliement incorrect des protéines contre la maladie d’Alzheimer.

L’une des premières étapes du projet consistera à identifier les interactions menant au développement du phénotype au cours du vieillissement normal et en cas de pathologies. Ces travaux permettront en fin de compte la validation de nouvelles cibles pour des médicaments et de nouveaux marqueurs, avec pour objectif la prévention et la guérison des problèmes cognitifs liés au vieillissement.

Pour Michel Simonneau, professeur à l’École Normale Supérieure de Cachan et coordinateur de cet effort « ce projet ambitieux intègre les nombreuses initiatives européennes, comme JPND[1], ainsi que des programmes de recherche nationaux traitant du problème sociétal que posent les maladies neurodégénératives. Ce projet reçoit l’aide décisive de 4 petites et moyennes entreprises (PME), ce qui nous permettra d’obtenir des solutions potentielles pour la guérison et la prévention de ces maladies fréquentes liées à l’âge. Les liens établis entre l’université et l’industrie constituent la force motrice de ce programme de recherche et nous espérons qu’ils seront à terme bénéfiques à tous. »

Le consortium AgedBrainSYSBIO est coordonné par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm, professeur Michel Simonneau) et rassemble des scientifiques de renommée internationale spécialisés dans la biologie des systèmes de la synapse et quatre petites et moyennes entreprises (PME) ayant un rôle clé dans le projet. Les PME impliquées assureront la traduction des résultats du projet en application clinique.

[1] JPND, EU Joint Programme – Neurodegenerative Disease Research (programme conjoint européen – recherche sur les maladies neurodégénératives).

Communiqué – Salle de presse de l’Inserm – AgedBrainSYSBIO, une initiative de recherche contre les maladies neurodégénératives

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Premiers secours : les bons gestes en cas d’accident

Quand un accident de la route survient, que l’on soit victime ou juste témoin, la panique nous empêche parfois de savoir comment réagir. Pascal Cassan, médecin conseiller national de la Croix-rouge française, nous explique les gestes à faire et ceux à éviter.

Le rôle du premier témoin est fondamental ! Il assure le balisage et protège les lieux de l’accident évitant ainsi le « suraccident. » Il faut : – Allumer ses feux de détresse dès que l’on est en vue de l’accident et ralentir. Garer son véhicule idéalement après le lieu de l’accident sur la bande d’arrêt d’urgence s’il y en a une.- Laisser les feux de détresse en marche.- Enfiler son gilet de haute visibilité désormais obligatoire dans tous les véhicules- Faire descendre immédiatement tous les occupants du véhicule et les mettre en sécurité sur le bas-côté, derrière les glissières de sécurité si elles existent- Baliser de part et d’autre à une distance de 150 ou 200 mètres avec l’aide de témoins qui, placés en sécurité sur le bord de la route, peuvent utiliser tous les moyens pour se faire voir : lampe électrique, linge blanc. En l’absence de témoins, utiliser les triangles de présignalisation.- Veiller à ce que personne ne fume aux abords de l’accident pour éviter tout risque d’incendie.

S’il est vrai que bouger un blessé peut endommager sa moelle épinière et entraîner une paralysie définitive ou même son décès, il existe des situations ou, si l’on n’agit pas très rapidement avant l’arrivée des secours, le décès de la victime sera inévitable. Le risque pris en le dégageant est alors plus faible que celui de ne pas le faire.Cette décision doit donc être prise si la victime, les sauveteurs ou les deux sont exposés à un danger immédiat : si la victime est étendue au milieu de la route, ou inconsciente dans une voiture qui commence à prendre feu.Faut-il retirer son casque à un motocycliste accidenté ?Il ne faut pas retirer le casque d’un motard accidenté par contre il faut, si possible, (…) Lire la suite sur TopSante.com

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1 Million se fait plus intense chez Paco Rabanne

Avec 1 Million Intense, c’est un nouveau chapitre de la saga Million qu’ouvrent les Parfums Paco Rabanne.

Plus flamboyant que jamais, 1 Million Intense réunit tous les attributs de la séduction pour écrire le nouvel épisode d’un jeu amoureux au gré des claquements de doigts de Lady Million et 1 Million.

Le lingot d’or icônique du designer Noé Duchaufour-Lawrance renferme ici un concentré de sensualité qui démarre tout en contrastes sur une note légèrement hespéridée aux multiples notes épicées avec la fraîche cardamome et le poivre noir brûlant.

Raffiné, le coeur a conservé l’absolu de rose et la pointe de cannelle et s’est offert la suavité d’un néroli charnel.

Prolongeant le jeu des oppositions initié en tête, 1 Million Intense ose en fond le mariage inattendu d’un santal crémeux avec le caractère d’un peppermint épicé tandis que le cuir blond s’allie au beurre d’iris dans un sillage résolument sexy.

Pour cette nouvelle campagne publicitaire, on retrouve avec plaisir les deux héros, Matt Gordon et Dree Hemingway, filmés cette fois en noir et blanc à la manière des films cultes d’Hollywood, dans un face à face à leur image, rythmé, sensuel et intense.

Découvrez ici le making of du film publicitaire :

(1 Million Intense, Paco Rabanne. Disponible en parfumeries et grands magasins. Vaporisateur 50ml et 100ml, prix indicatif : 56 € et 75 €)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

Premiers secours : les bons gestes en cas d’accident

– Couper le contact des véhicules accidentés si possible et serrer le frein à main.

– Après avoir évalué rapidement l’état et la situation des victimes, alerter les secours : Samu 15, Pompiers 18 en donnant un maximum de renseignements, pour qu’ils puissent envoyer les moyens techniques et humains nécessaires. Sur les autoroutes et voies rapides, utiliser de préférence une borne d’appel d’urgence si elle se trouve à proximité. Elle indiquera automatiquement votre position aux services d’urgence.

– Si le véhicule est en feu n’utiliser un extincteur que s’il s’agit d’un feu naissant, sinon évacuer.

– S’il n’y a pas de danger immédiat, ne pas chercher à sortir les victimes de leurs véhicule.


Top Santé – Santé au quotidien

On adore… Créaline AR BB Cream Anti-Rougeurs de Bioderma

A l’heure du phénomène CC Cream, Bioderma agrandit sa gamme Créaline en y ajoutant une BB Cream Anti-Rougeurs.

Pourquoi une BB Cream ? Parce qu’après les nombreuses versions ayant vu le jour sur le marché et n’ayant de BB Cream que le nom, Bioderma se devait de proposer à son tour un produit qui soit conforme au concept d’origine de la BB Cream (Blemish Balm Cream), c’est à dire un soin conçu pour traiter et camoufler les imperfections sans effet masque.

Avec Créaline AR BB Cream Anti-Rougeurs, la marque lance ainsi la première BB Cream dédiée aux peaux sensibles à rougeurs avec une formule à la fois traitante et correctrice.

Doté du Brevet Rosactiv comme tous les produits de la gamme Créaline AR, ce soin prévient et diminue biologiquement l’apparition des rougeurs. Jour après jour, le teint devient de plus en plus clair et uniforme.

Outre cette action anti-rougeurs, cette BB Cream hydrate durablement, apaise les sensations d’échauffement et protège des UV afin d’éviter l’aggravation des rougeurs.

Côté correction, la formule mise sur des pigments enrobés pour masquer les rougeurs tout en offrant un effet maquillage naturel et sur des poudres réflectrices de lumière pour donner à la peau un aspect lisse et mat. Des pigments d’oxyde de fer ont été ajoutés pour mettre en valeur l’éclat du teint.

Et pour renforcer l’action anti-rougeurs, on n’hésitera pas à utiliser Créaline AR Soin Anti-Rougeurs en soin de nuit et Créaline H2O AR, une nouvelles solution micellaire entièrement pensée pour les besoins des peaux sensibles à rougeurs puisqu’elle démaquille, soulage les irritations et diminuer les démangeaisons.

(Disponible en pharmacies, parapharmacies et sur www.lecomptoirsante.com. Créaline AR BB Cream Anti-Rougeurs, tube 40ml, prix indicatif : 16,45 € ; Créaline H2O AR, flacon 250ml, prix indicatif : 9,90 €)


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