La solution contre les moustiques? Un patch qui nous rend invisible

L’été, rien à faire, un moustique est dans la pièce, il est pour vous. Du coup, vous vous parfumez à la citronnelle, il n’y a plus une prise de libre dans les pièces, vous dormez sous une moustiquaire et vous êtes à l’affût de toute nouvelle solution pour échapper aux piqûres.

Une société californienne, ieCrowd a peut-être trouvé la solution: une sorte de cape d’invisibilité pour échapper aux moustiques. Il s’agit d’un patch que l’on colle sur nos vêtements et qui nous rend invisible aux moustiques pendant 48 heures, rapporte CNet.

En effet, le moustique nous «voit» grâce au dioxyde de carbone que l’on dégage. Les composés du patch, non toxiques, inhibent le système olfactif du moustique, qui ne perçoit plus le CO2: s’il ne nous voit pas, le moustique ne peut plus nous piquer. Simple, mais efficace.

Merveilleux pour tous ceux qui ne supportent pas les moustiques, mais surtout pour toute la population touchée par le paludisme à travers le monde, comme l’Ouganda. Le patch est un outil simple qui peut, s’il est efficace, améliorer grandement la lutte contre la maladie.

Ce n’est pas un hasard, donc, si la société a reçu l’aide de la fondation Melinda et Bill Gates.

En effet, le moustique femelle reste l’animal le plus mortel pour l’homme. Comme nous le rappelions en 2011, «parmi les nombreux agents pathogènes qu’un moustique peut véhiculer, le pire est le paludisme, qui tue chaque année plus d’un million de personnes, dont les deux tiers se trouvent en Afrique sub-saharienne, pour la plupart des enfants de moins de 5 ans». Il serait néanmoins injuste de penser du mal des 2.600 espèces de moustiques existantes. Parce qu’il n’y en a qu’environ 80, soit 3%, qui boivent du sang humain. Constance Casey expliquait:

«Sur les 2.520 variétés de moustiques relativement irréprochables, il y en a même une qu’on aimerait voir en expansion: celle des Toxorhynchites, qui mangent d’autres moustiques. A l’état de larves, les Toxorhynchites dévorent leurs cousins, puis s’en prennent à leurs frères et sœurs, continuant souvent à les attaquer jusqu’à ce qu’il n’en reste qu’un seul. Ce drame se déroule dans une minuscule nappe d’eau qui s’accumule au creux d’un arbre ou une petite flaque du même genre.

(…) Même les moustiques qui se nourrissent de sang n’en ont pas besoin à chaque repas. En fait, ils puisent l’essentiel de leur énergie dans les fleurs et les plantes, auxquelles ils sont utiles en les pollinisant. Le moustique mâle, innocent mis à part le rôle qu’il joue en produisant davantage de femelles, se nourrit en se contentant exclusivement de nectar ainsi que de fluides issus des plantes.

(…)

Nos alliés vivants dans la lutte contre les moustiques sont principalement les poissons qui mangent leurs larves. A ce titre, on peut remercier le piranha et la gambusie. Les larves de libellules dévorent les larves de moustiques et les libellules adultes se nourrissent de moustiques adultes. Pour leur part, les chauves-souris ont une réputation meilleure que ce qu’elles méritent. En réalité, les moustiques représentent moins de 1% de l’alimentation des chauves-souris. C’est aussi vrai de l’hirondelle noire, même si on l’apprécie.

Si les chauves-souris, les oiseaux et les insecticides pouvaient éliminer tous les moustiques, ce qui est impossible, les exterminer ne serait pourtant pas une bonne idée. Leurs innombrables larves nourrissent les petits poissons, mangés à leur tour par les gros poissons, qui constituent la principale source de protéines dans de nombreux pays en développement.»

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JolieBox devient BirchBox

A la suite de son acquisition par Birchbox, JolieBox est donc devenue Birchbox il y a quelques semaines maintenant.

Les Français peuvent à présent faire leur shopping beauté et lifestyle sur www.birchbox.fr.

Mais connaissez-vous le concept du Discovery Shopping Birchbox ? Le Discovery Shopping Birchbox a été lancé aux Etats-Unis en septembre 2010 par deux amies, Katia Beauchamp et Hayley Barna.

Birchbox est rapidement devenu culte aux Etats-Unis en rassemblant des centaines de milliers de clients autour de son modèle du « try, learn, buy » (essayer, apprendre, acheter) et en leur proposant chaque mois une sélection personnalisée des meilleurs produits, de marques prestigieuses et en devenir, adaptée à leur profil ainsi qu’un accès exclusif aux dernières tendances et à des conseils d’experts.

L’expérience Birchbox se poursuit en ligne via le eshop www.birchbox.fr sur lequel on retrouve tous les produits testés dans la box et que les abonnés peuvent acheter à des tarifs avantageux grâce à leurs points de fidélité.

Au cours des prochains mois, on aura le plaisir de découvrir des produits parmi plus de 400 marques partenaires dont certaines en exclusivité sur le eshop Birchbox. Des marques cultes (Laura Mercier, Lierac) aux marques de niche (Kevin Murphy, Atelier Cologne) en passant par les dernières trouvailles Birchbox (Yu-Be et Twistband).


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BIOLOGIE MÉDICALE : Il faut agir sur la tarification des actes

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Au regard de l’évolution des dépenses de biologie au cours des années 2000, les efforts consentis en vue de les freiner ont été tardifs : ce n’est qu’à partir de 2006 que des mesures annuelles de baisse de la tarification de certains actes ont été prises, pour une économie totale chiffrée par la CNAMTS de 697 M€ entre 2006 et 2012. Ces mesures correspondent toutefois plus à un souci d’ajustement conjoncturel récurrent qu’à une vision de moyen terme des gains de productivité que dégagent l’évolution technique très rapide du secteur et sa réorganisation en lien avec les évolutions de la profession.

La politique de maîtrise des dépenses nécessite un pilotage fort et déterminé de manière à agir sur la tarification des actes comme sur leur volume. Une importante révision de la nomenclature des actes de biologie médicale est à mener pour optimiser le bon usage des soins. Cette révision doit se faire en parallèle à la remise à plat des actes hors nomenclature, dont la vocation initiale, limitée aux actes innovants en cours de validation, a été dénaturée. Ces travaux nécessitent de sortir du blocage actuel de la commission de hiérarchisation des actes de biologie, ainsi qu’une concertation entre le ministère de la santé, la CNAMTS et la Haute Autorité de santé pour déterminer les modalités selon lesquelles cette dernière pourra rendre plus rapidement les avis requis.

Les actions sur le volume des actes sont essentielles pour la maîtrise des dépenses. Elles ont été jusqu’alors très peu nombreuses et d’un impact plus que limité. Les actions de gestion du risque apparaissent indigentes. La production de référentiels et de recommandations de bonne pratique, dont le nombre est faible, doit être accélérée. Sur la base de ces référentiels, les indications portées à la nomenclature méritent d’être plus strictement encadrées. De même, la politique conventionnelle avec les médecins prescripteurs devrait à l’avenir viser à mieux maîtriser le nombre d’actes de biologie médicale alors qu’elle tend plutôt à les multiplier.

Bientôt des auto-greffes de rein chez l'homme ?Un pilotage cohérent, fort et déterminé est ainsi indispensable pour agir tant sur les tarifs des actes que sur leur volume, tant de la part de la CNAMTS que du ministère chargé de la santé.et des ARS.

À l’hôpital, les actions visant à une plus grande efficience doivent être soutenues plus activement. La prescription connectée, qui suppose un chaînage informatique facilitant le dialogue entre cliniciens, biologistes et gestionnaires, devrait être développée de façon plus volontariste dans le cadre du programme « Hôpital numérique ». Les initiatives visant à une meilleure maîtrise des prescriptions, encore trop éparses, doivent être amplifiées par l’administration centrale, les ARS et au sein de chaque établissement. Une réduction de 10 à 15 % du nombre d’actes est un objectif possible, qui permettrait une économie de 200 à 300 M€.

Pour la biologie libérale, au regard du blocage actuel des relations conventionnelles et de l’ensemble des initiatives à engager sur les tarifs et sur la gestion du risque, la convention liant les caisses d’assurance-maladie aux directeurs de laboratoires privés, qui arrive à échéance en juillet 2014, ne devrait pas être renouvelée par tacite reconduction mais dénoncée dans les délais conventionnels, c’est-à-dire au plus tard en janvier 2014, et renégociée pour une période de cinq ans. Cette renégociation permettrait d’intégrer dans la nouvelle convention les conséquences de la réforme de la biologie médicale récemment ratifiée, de mettre en oeuvre la révision en profondeur de la nomenclature et d’instaurer une véritable gestion du risque en matière de biologie médicale.

Elle doit aussi avoir pour objectif une intensification des adaptations tarifaires, en intégrant une diminution du prix du B : une baisse de deux centimes d’euros au moins, le ramenant de 0,27 à 0,25 € permettrait une économie annuelle pour l’assurance-maladie de l’ordre de 220 M€.

La place grandissante qu’occupe la biologie médicale dans le parcours de soins justifie les efforts importants qui restent à consentir pour que, dans un contexte de retour indispensable à l’équilibre des comptes sociaux, elle s’exerce dans les conditions les plus efficientes pour les assurés et les plus économes pour l’assurance-maladie.

Source : rapport de la Cour des Comptes

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Rester assis tue. Même ceux qui font de l’exercice

A la fin de cet article, vous vous lèverez. A coup sûr. En juillet 2012, nous vous avions parlé d’une étude australienne qui montrait que rester assis tue. Les conclusions étaient sans appel: les personnes assises plus de onze heures par jour connaissent environ 40% de décès supplémentaires par rapport à celles qui sont assises moins de quatre heures.

Oui, mais bon, si je fais de l’exercice régulièrement, tout va bien, êtes-vous en train de vous dire. Mauvaise nouvelle.

Le site Runner’s World, spécialisé dans la course, donc, fait le point sur les études qui tournent depuis déjà quelques temps sur les dangers de la sédentarité. Intitulé «S’asseoir est le nouveau fumer, même pour les coureurs», il rappelle à ses lecteurs les dangers de la position assise. Oui, même pour eux qui font de l’exercice et donc ne se sentent pas concernés par les articles mettant en garde les inactifs.

«Un nombre croissant de recherches montrent que les personnes qui passent de nombreuses heures collées à leur siège meurent plus tôt que ceux qui s’assoient moins –même ceux qui font de l’exercice.»

Runner’s World cite un doctorant, Travis Saunders, spécialisé dans l’exercice physique:

«Jusqu’à très récemment, si vous faisiez de l’exercice pendant 60 minutes ou plus par jour, vous étiez considéré comme physiquement actif, affaire classée. Maintenant, un ensemble cohérent de recherches suggèrent qu’il est tout à fait possible de répondre aux directives actuelles concernant l’exercice physique tout en étant terriblement sédentaire, et que la position assise augmente le risque de décès et de maladie, même si vous faites beaucoup d’exercice. C’est un peu comme fumer. Fumer est mauvais pour votre santé, même si vous faites beaucoup d’exercice. Etre trop assis, c’est pareil.»

Le problème, c’est que notre corps est fait pour bouger, pas pour rester assis. C’est ce qu’explique le professeur Marc Hamilton, directeur du département Inactivité physique au Pennington Biomedical Research Center. Lorsque nos muscles, en particulier certains muscles des jambes, sont immobiles, la circulation ralentit. Donc, on utilise moins de sucre de notre sang et on brûle moins de graisses, ce qui augmente notre risque de maladie cardiaque et de diabète.

Autre mauvaise nouvelle: l’institut de recherche américain sur le cancer établit maintenant un lien entre position assise prolongée et cancer du sein et du côlon. Selon le Alberta Health Services-Cancer Care, au Canada, l’inactivité est liée à 49.000 cas de cancer du sein, 43 .000 cas de cancer du côlon, 37.200 cas de cancers du poumon et 36.000 cas de cancers de la prostate par an.

Maintenant que tout le monde est bien inquiet, voilà quelques conseils donnés par le site Walking About pour arrêter de rester assis:

  • 1. Portez un podomètre: voir le nombre de pas que vous faites par jour va vous motiver à en faire plus.
  • 2. Faites une pause debout toutes les trente minutes.
  • 3. Passez vos coups de fil debout et en marchant
  • 4. Levez-vous pour parler à vos collègues, au lieu de leur téléphoner ou leur envoyer des mails…

Marisol Touraine, qui évoque ce week-end dans le JDD la possibilté d’interdire de fumer dans les parcs et sur les plages va-t-elle également militer pour enlever les bancs des parcs et interdire de rester assis sur la plage?

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Rester assis toute la journée est encore pire que ce que vous pensez
Rester assis augmente le risque de mourir tôt
Rester assis tue


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Le Clos des Oliviers, une escapade en Provence avec les Créateurs de Beauté

Le Clos des Oliviers nous transporte en Provence dans de grands champs d’oliviers. La nouvelle marque des Créateurs de Beauté est un pur plaisir olfactif et sensoriel.

Le Mas de la Dame est un domaine de 20 hectares d’oliviers dans lequel deux sœurs ont eu l’idée de lancer la marque Le Clos des Oliviers et de créer des soins à base de cette huile d’olive, véritable or vert, aux propriétés antioxydantes, apaisantes et protectrices.

Dans cette gamme qui sent bon la garrigue ensoleillée, l’on peut craquer pour six produits : une huile de douche, une huile universelle corps, visage et cheveux, un shampooing à l’ancienne, un masque capillaire à l’ancienne, un lait corps et une crème visage fondante.

Nos produits préférés ? L’huile de douche et l’huile corps visage et cheveux. L’une, épaisse glisse et enveloppe la peau pour la nettoyer sans la dessécher quand la seconde hydrate et fait briller la peau sans laisser de sensation de film gras.

Le Clos des Oliviers, la tentation d’une escapade en Provence à laquelle vous ne pourrez pas résister.

(Le Clos des Oliviers. Disponible sur www.ccbparis.fr. A partir de 4,90 €)


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Olivier Ameisen est mort d’une crise cardiaque

Le cardiologue Olivier Ameisen, grand défenseur de l’usage du baclofène et auteur du livre autobiographique « Le Dernier Verre », est décédé ce jeudi 18 juillet 2013, à son domicile parisien à l’âge de 60 ans, d’une crise cardiaque.

Olivier Ameisen, rejeton surdoué d’une talentueuse famille, bachelier à l’âge de 16 ans, pianiste exceptionnel, brillant cardiologue, est l’un des rares Français à avoir réalisé leur rêve américain. Il s’installe à New York et ouvre un cabinet médical à Manhattan au début des années 80, tout en animant des soirées au piano.

Une vie sociale intense qui s’accompagne de trop nombreux verres de scotch : en dix ans, il finit presque par se détruire et cesse d’exercer la médecine pour se soigner.

Derrière ce personnage charismatique se cache un grand anxieux tenaillé par de profonds sentiments d’insécurité et d’inadéquation. À New York, cette anxiété explose et devient ingérable – et la seule chose qui lui permet de la soulager, c’est l’alcool.

À la fin des années 90, il rentre en France. Le cardiologue d’exception, le pianiste brillant n’est plus que l’ombre de lui-même, titubant d’une cuite à l’autre, alternant cures de désintoxication et réunions chez les Alcooliques Anonymes.

Ni les Alcooliques Anonymes, ni les cures de sevrage, ni les différentes drogues qu’on lui prescrit, ni aucune des dizaines de variétés de psychothérapie auxquelles il se soumet n’ont d’effet durable. C’est alors qu’il tombe sur un article étonnant dans une revue de recherche : le Baclofen, un médicament bien connu, prescrit pour des crampes et autres spasmes musculaires, aurait un effet spectaculaire sur des rats cocaïnomanes.

Le praticien est guéri depuis près de cinq ans, libéré de l’envie même de boire parce qu’il a pris son destin en main alors que tout semblait perdu, parce qu’il n’a jamais douté qu’on trouverait un traitement efficace, il a fini par faire lui-même une découverte révolutionnaire : le médicament qui lui a sauvé la vie et bouleverse déjà le traitement de l’alcoolisme et de l’addiction en général.

D’après le cardiologue, le bacloféne prescrit pour le traitement de la sclérose en plaques et de certaines paralysies est le meilleur remède pour l’annihilation de l’accoutumance mais, surtout, de l’envie même de prendre un verre.

Créer de l’énergie avec de l’urine

Des chercheurs de l’université de Bristol Robotics Laboratory ont mis au point un procédé permettant d’utiliser l’urine comme nouvelle source d’énergie !

À l’heure où les énergies renouvelables apparaissent comme une nécessité dans notre contexte énergétique, des chercheurs britanniques ont trouvé le moyen de recharger nos téléphones grâce à notre urine ! En effet, le pipi associé à des piles à combustibles microbiennes va permettre de créer de l’électricité grâce au phénomène de putréfaction. L’urine contient deux composés pouvant être une source d’hydrogène: l’ammoniac et l’urée. La multiplication des microbes est ainsi accélérée dans le seul but de produire plus d’électricité. Ce procédé était déjà possible avec de l’eau. Cependant, l’innovation ici réside dans le fait que les atomes d’hydrogène dans une molécule d’urée sont moins fortement liés que dans une molécule d’eau, donc plus faciles à séparer. L’hydrogène généré à partir d’urine dans un procédé d’électrolyse demande donc moins d’énergie.

Pour le moment, le procédé n’est pas assez développé, il permet seulement de passer quelques appels. Mais à terme, les scientifiques y voient le futur moyen d’alimenter nos salles de bain. D’autres voient plus grands. Le potentiel de cette technologie est bien sur accru dans des lieux à forte fréquentation. Dans un immeuble de bureaux par exemple, pour 200 à 300 employés, 2 kilowatts de puissance pourraient être généré. Même si cela ne suffit pas à alimenter tout l’immeuble, l’utilisation d’urine reste une solution envisageable. Le festival AfroReggae au Brésil a déjà expérimenté l’idée. En effet, les organisateurs ont installé des urinoirs un peu partout dans les rues de Rio de Janeiro. Étant relié à des turbines et une dynamo, l’urine s’est écoulé dans les tuyaux. Avec un peu de pression, de l’énergie a été créé et stocké dans des batteries pour ensuite alimenter le son du festival. Ajouté aux économies d’énergie, ce procédé a aussi permis d’inciter les festivaliers à uriner dans le total respect de l’hygiène publique !

Mais là où cette technologie s’avère être extrêmement utile, c’est pour les installations dans des lieux isolés, dans les déserts ou sur des îles. L’armée américaine est en ce moment même en train de tester ce nouveau procédé pour ainsi permettre à ses soldats d’avoir accès  à une source d’énergie n’importe où et n’importe quand, et surtout d’alléger le poids de leurs équipements de 11 kilos !

Deux virus géants identifiés

Des chercheurs français ont découvert deux « Pandoravirus », les deux plus gros virus jamais observés jusqu’ici.

Une trouvaille peu commune. Les chercheurs français du laboratoire Information génomique et structurale (CNRS/Université Aix-Marseille), associés au laboratoire Biologie à Grande Échelle (CEA/Inserm/Université Grenoble Alpes) ont mis la main sur deux virus si gros qu’ils se rapprochent plus des organismes vivants que des autres virus.
Jugez vous-même : les deux nouveaux virus dépassent largement la taille des virus observés jusqu’ici. Le dernier record était détenu par le Mimivirus, découvert il y a 10 ans, et le Megavirus chilensis1 avec 1100 gènes. Ces pandoravirus contiennent eux 2 500 gènes ! Pour vous faire une idée plus précise, le virus de la grippe ou du Sida totalisent une dizaine de gènes chacun.
C’est dire si la découverte est de taille. Les deux virus géants ont été annoncés dans le journal Science. Le Pandoravirus salinus a été repéré sur les côtes chiliennes tandis que le Pandoravirus dulcis été localisé à 15 000 km du premier, dans une mare d’eau douce à Melbourne en Australie.

D’autres Pandovirus à découvrir
En plus d’être immense, ces pandoravirus se distinguent des autres virus géants et des virus classiques. Seules 6% des protéines codées du Pandoravirus salinus ressemblent aux protéines répertoriées dans les autres virus ou les organismes cellulaires, indique le communiqué. De plus, aucun gène dans ces deux virus géants ne peut fabriquer une protéine ressemblant à la protéine de capside, la brique de base des virus traditionnels.
Ces Pandoravirus ne sont pas rares, selon les chercheurs qui espèrent pouvoir faire d’autres recherches sur leur fonctionnement et déboucher sur de nouvelles applications biomédicales.

Retrouvez cet article sur Topsanté

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Ne donnez plus de codéine aux enfants!

L’alerte a été lancée par le Comité pour l’évaluation des risques en matière de pharmacovigilance (Prac) de l’Agence européenne du médicament (EMA). Les experts de cette institution souhaitent limiter l’utilisation de la codéine pour la prise en charge de la douleur chez l’enfant. Déjà en juillet 2012, l’EMA avait commencé à réévaluer des médicaments contenant de la codéine utilisés comme antalgiques chez l’enfant. L’ensemble des personnes concernées sont invitées à parler de cette question avec leur médecin et/ou leur pharmacien.

Présente dans un pavot

La codéine (ou méthylmorphine) est l’une des substances contenues dans le pavot somnifère (Papaver somniferum). Elle tire d’ailleurs son nom du grec kôdé (tête de pavot). Cette substance est depuis très longtemps utilisée comme un produit antidouleur, mais aussi comme un antitussif. C’est aussi une version mineure de la morphine, dont elle ne partage toutefois pas les puissants effets d’attraction et d’accoutumance. En pratique, la codéine subit au sein de l’organisme une transformation qui permet sa métabolisation rapide en morphine, et ce à hauteur d’environ 10% de la dose administrée. Cette transformation est assurée par une enzyme, le cytochromeCYP2D6. Et cette transformation est variable selon les personnes et les groupes ethniques.

En théorie, la codéine est pour l’essentiel utilisée dans le cadre du traitement de la douleur d’origine centrale. Selon les pays, elle peut l’être seule (monothérapie) ou associée au paracétamol ou à l’aspirine. Certains en usent pour ses propriétés anxiolytiques. Elle entre également dans la composition de certains traitements (sirops) antitussifs, du moins lorsque la toux est sèche (non grasse, non «productive»).

Un usage prolongé ou abusif entraîne tolérance, une accoutumance puis une assuétude et une pharmacodépendance caractérisée. Elle a pu être (ou est encore) utilisée comme produit de substitution à la toxicomanie dans certains milieux, au même titre que la méthadone et la buprénorphine.

Ablation des amygdales

Parmi ses effets secondaires, la codéine peut produire un état général de somnolence. Elle peut également induire une sorte d’état d’euphorie assez caractéristique des opiacés. Au rang de ses (nombreux) utilisateurs célèbres figure le milliardaire américain Howard Hughes: il utilisait la codéine afin de calmer de fortes douleurs liées à des traumatismes neurologiques et squelettiques causés par de nombreux accidents d’avion.

La décision du Prac résulte de la transformation en morphine de la codéine par l’enzyme CYP2D6. Dans certains cas (chez les «métaboliseurs rapides CYP2D») la transformation est excessivement rapide: chez ces personnes les concentrations sanguines de morphine sont plus élevées, d’où un risque toxique mais aussi un risque d’insuffisance respiratoire.

Ce risque accru théorique avait déjà, en pratique, été mis en évidence aux Etats-Unis avec des cas mortels. Une nouvelle évaluation de ce risque menée par l’EMA fait apparaître des cas survenus pour l’essentiel après l’ablation des amygdales ou des végétations adénoïdes pour l’apnée obstructive du sommeil (interruption fréquente de la respiration pendant le sommeil).

A savoir

Pour sa part, le Prac, qui reconnaît l’association entre codéine et risque de dépression respiratoire, publie une série de recommandations. Les voici:

  • les médicaments contenant de la codéine ne doivent plus être utilisés pour traiter la douleur aiguë modérée chez les enfants de plus de douze ans, sauf si la douleur ne peut être soulagée par d’autres analgésiques comme le paracétamol ou l’ibuprofène;
  • la codéine ne doit pas être utilisée chez les enfants de moins de 18 ans qui subissent une ablation des amygdales ou des végétations pour traiter l’apnée obstructive du sommeil, et ce en raison des troubles respiratoires préexistants de ces patients;
  • la notice des médicaments concernés devrait mentionner les effets indésirables possibles en cas de troubles respiratoires et déconseiller dans ce cas l’utilisation de la codéine.

Il importe aussi de souligner que les risques d’effets secondaires avec la codéine existent aussi pour les adultes, connus comme «des métaboliseurs ultra-rapides», ainsi que pour les jeunes mères qui allaitent. Pour l’EMA, la codéine pour traiter la douleur chez l’enfant n’est pas plus efficace que les analgésiques non opioïdes comme le paracétamol ou l’ibuprofène.

J.-Y.N.


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Caudalie ouvre sa première boutique à Paris

Après New-York, Rio de Janeiro et Sao Paulo, Caudalie vient d’ouvrir enfin sa première boutique française à Paris.

Dix-huit ans après la création de leur marque, c’est en effet au coeur du quartier du Marais que Mathilde et Bertrand Thomas ont eux aussi choisi de planter leurs vignes.

Chêne brut et marbre se marient à la perfection dans l’ambiance douce et lumineuse de cette boutique de 45 m2.

On y retrouve aux côtés de la technologie, les codes emblématiques du Spa  » Les Sources de Caudalie  » et du Château Smith Haut Lafitte avec notamment au centre de la boutique, un Bar Beauté Barrique ou encore des tiroirs et des étagères en bois de caisses à vins.

Sensorialité et personnalisation sont au programme de cette première adresse parisienne Caudalie avec des services exclusifs. A commencer par des consultations personnalisées sur rendez-vous avec un Vinothérapeute ou encore le Fresh Crushed Cabernet qui permet de composer sur place et sur-mesure son propre gommage 100% naturel.

Pour un moment de détente, Caudalie propose également le Soin Beauté Instantané, un soin spa visage de 10 minutes et sans rendez-vous ou le Gommage de mains suivi d’un massage avec la Crème Gourmande Mains et Ongles.

Et pour recréer à la maison l’ambiance de ses Spas, ce sont aussi les produits jusqu’alors introuvables tels que les peignoirs ou encore les bougies que Caudalie propose de se procurer en exclusivité dans sa boutique.

Un joli écrin – voisin de la très chic boutique Acqua di Parma – à découvrir sans plus tarder dès cet été.

Boutique Caudalie
8, rue des Francs-Bourgeois
75003 Paris
Tél. : 01 44 78 11 61
Ouvert tous les jours sauf le lundi, de 10h à 19h


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