Archives de catégorie : DOSSIERS

Les champignons hallucinogènes pour vaincre la dépression ?

Les champignons hallucinogènes pour vaincre la dépression ?

Le 16 octobre 2017.

Une équipe de chercheurs britanniques vient de démontrer le pouvoir bénéfique d’une substance issue des champignons hallucinogènes sur des patients atteints de dépressions sévères.

La psilocybine au secours des dépressions sévères

De nombreux scientifiques se sont déjà intéressés aux effets des champignons hallucinogènes sur certaines pathologies psychologiques telles que la dépression ou l’anxiété. Cette dernière ne vient que confirmer un résultat déjà prometteur : la substance contenue dans certains champignons peut venir à bout de la dépression, là où les médicaments utilisés actuellement sont impuissants.

Pour parvenir à cette conclusion, une équipe de l’Imperial College de Londres a suivi les cas de 20 patients, pour qui la médecine était sans ressources face à un état dépressif avancé. Ces personnes se sont vues administrer deux doses de psilocybine, le principe actif des champignons hallucinogènes, avant et après avoir été soumis à une IRM.

Les champignons hallucinogènes pour pallier les faiblesses des traitements actuels

Dans leurs conclusions, publiées dans la revue Nature, les chercheurs affirment que sur tous leurs patients, des effets très positifs ont été observés jusqu’à 5 semaines après l’absorption de psilocybine. Les images obtenues par IRM ont par ailleurs montré une diminution du flux sanguin dans certaines régions de l’organisme, telles que les amygdales, associées à l’humeur.

En parallèle, les entretiens menés avec les patients ont prouvé que l’utilisation des champignons hallucinogènes avait été très bénéfique sur leur quotidien. À terme, et si les effets secondaires potentiels sont tolérables, cette substance pourrait donner lieu à un médicament efficace pour tous ceux dont les états dépressifs semblent résistants aux traitements actuels.

Gaëlle Latour

À lire aussi Faites-vous une dépression ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

La pollution tue neuf millions de personnes chaque année dans le monde

Le 20 octobre 2017.

La pollution est un fléau mondial. Qu’elle concerne l’air, l’eau, le sol ou les matériaux, elle tue 9 millions de personnes chaque année dans le monde.

La pollution responsable de 16 % de décès dans le monde

Une étude publiée dans la revue The Lancet le 20 octobre, révèle les travaux menés par une quarantaine de scientifiques spécialisés, des organismes internationaux et des ONG pendant près de trois ans sur les effets de la pollution. Les résultats sont alarmants : neuf millions de personnes meurent chaque année prématurément dans le monde à cause de maladies causées par la pollution de l’air, de l’eau, du sol ou de certains matériaux. 

Autrement dit, 16 % des décès sont liés directement aux conséquences de la pollution. À titre de comparaison, cela représente « trois fois plus de morts que le Sida, la tuberculose et le paludisme réunis, et quinze fois plus que ceux causés par les guerres et toutes les autres formes de violences », précisent les auteurs de l’étude.

Comment la pollution tue-t-elle ? 

La pollution de l’air et les particules fines provoquent des maladies cardiaques, des AVC, des cancers du poumon et des broncho-pneumopathies chroniques obstructives (BPCO). La pollution de l’eau cause 1,8 million de décès : les mauvais assainissements ou les contaminations des sources entraînent des maladies gastro-intestinales et des infections parasitaires. Enfin, les substances toxiques et cancérigènes sur les lieux de travail sont également considérées comme une pollution à part entière et risquent de se développer dans les années à venir. 

Les personnes les plus exposées sont les habitants des zones les plus pauvres de la planète. Là-bas, une mort sur quatre est causée par la pollution. En Inde, à Madagascar, au Kenya, au Pakistan ou en Chine l’industrialisation est très forte, mais l’étude souhaite que les gouvernements cessent de croire au « mythe selon lequel la pollution serait une conséquence inévitable du développement économique. »

Maylis Choné

Pour en savoir plus : Les polluants de l’air : quels sont-ils, d’où viennent-ils ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Préservatif : pourquoi il ne faut pas prendre de trop grandes tailles

Préservatif : pourquoi il ne faut pas prendre de trop grandes tailles

Le 20 octobre 2017.

Aux États-Unis, les Américains pourront désormais choisir différentes tailles de préservatifs. Ce n’était pas le cas jusqu’à présent et cela explique pourquoi ils étaient nombreux à ne pas vouloir en utiliser.

Proposer différentes tailles de préservatifs

Aux États-Unis, les préservatifs sont trop grands. Ils mesurent entre 17 et 21 cm, pour une circonférence de 9,9 à 11,4 cm. Or, selon une étude publiée en 2014 dans la revue Journal of sexual medicine, la taille moyenne d’un pénis en érection était de 14,2 cm pour la longueur et 12,2 cm pour la circonférence. Les préservatifs vendus sur le marché américain sont donc trop grands pour de nombreux utilisateurs et cela pose problème.

Un préservatif trop grand est très désagréable et cela entraîne de grandes frustrations pour les hommes. Au fil des années, les Américains ont donc fini par se détourner du préservatif, alors que ce dispositif reste le seul et unique moyen de ne pas transmettre une maladie sexuellement transmissible. Pour redonner aux Américains le désir d’acheter des préservatifs, la Food and Drug Administration (FDA) a décidé de proposer de plus petites tailles.

Plus le préservatif est ajusté mieux c’est

Cette disposition existe déjà en Europe. Elle permet aux hommes de se sentir plus à l’aise. Plus le condom est ajusté, plus il épouse correctement le sexe de l’homme, mieux c’est. On finit par l’oublier et c’est un peu le but recherché. Une entreprise américaine n’a pas hésité à profiter de cette évolution de la législation : Global Protection. Elle a décidé de lancer une gamme baptisée MyOne Perfect Fit.

Cette gamme propose aux utilisateurs 60 préservatifs de tailles différentes (10 longueurs et 9 circonférences). D’autres entreprises devraient lui emboîter le pas. La décision de FDA devrait rassurer les hommes qui craignaient d’avoir un micro-pénis uniquement à cause de ces préservatifs trop grands. En moyenne, un pénis mesure entre de 9 et 10 cm au repos et entre 12,8 et 14,5 cm en érection. Vous voilà rassuré ?

Claire Verdier

À lire aussi : 10 raisons de ne jamais oublier le préservatif

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Le Cytotec, un médicament utilisé pour accoucher, va être retiré du marché

Le Cytotec, un médicament utilisé pour accoucher, va être retiré du marché

Le 19 octobre 2017.

Le Cytotec, utilisé pour déclencher artificiellement un accouchement à terme ou pour des IVG médicamenteuses, va être retiré du marché. Il est en effet soupçonné de provoquer des complications graves.

Risques de mauvaise oxygénation du fœtus

Le Cytotec est à l’origine un médicament prescrit contre l’ulcère de l’estomac. Les médecins ont par la suite détourné son usage pour déclencher des accouchements à terme. Mais cette utilisation pour les accouchements s’est avérée risquée pour la santé de la mère et de l’enfant (il peut entraîner des contractions trop fortes et une mauvaise oxygénation du fœtus), il sera donc retiré du marché français à partir de mars 2018.

« Le laboratoire Pfizer France nous a informés de sa décision de retirer du marché français son produit le Cytotec, largement utilisé en gynécologie hors AMM (hors des indications pour lesquelles il est prévu) qui sera effective le 1er mars 2018 », a indiqué le Dr Christelle Ratignier-Carbonneil, directrice générale adjointe de l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé).

Un produit dangereux pour la mère et l’enfant

Le Cytotec est utilisé depuis 1987, et depuis cette période il est très peu utilisé en gastro-entérologie. Il se prend normalement par voie orale mais c’est quand il est pris par voie vaginale qu’il peut entraîner des effets indésirables. Malgré les mises en garde de l’ANSM, certains hôpitaux continuent à utiliser ce médicament car il est très peu coûteux (30 centimes par comprimé), mais pour l’association Timéo, son utilisation en gynécologie aurait dû être interdite depuis des années.

Timéo, c’est le prénom de l’enfant d’Aurélie Joux, la fondatrice de l’association. Timéo est né sous Cytotec surdosé, en 2010, il est aujourd’hui lourdement handicapé. Le médicament a également eu des effets désastreux sur la mère : Aurélie Joux ne pourra plus avoir d’enfants. En 2016, elle gagnait son procès en première instance, contre l’hôpital de Poissy pour le préjudice subi par son fils. Elle se bat aujourd’hui pour que sa voix soir entendue.

Marine Rondot

À lire aussi Accoucher après le terme : est-ce grave ?

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

L’ostéoporose fait plus de victimes que les accidents de la route

L’ostéoporose fait plus de victimes que les accidents de la route

Le 18 octobre 2017.

L’ostéoporose est une maladie très peu connue en France. Pourtant, elle tue chaque année de nombreuses personnes.

Un plan ostéoporose s’impose

L’Association Française de Lutte Anti-Rhumatismale vient d’achever un Livre Blanc sur l’ostéoporose qu’elle va remettre aux autorités sanitaires. Ce livre met en lumière les conséquences de cette maladie peu connue, qui fragilise les os et provoque des fractures parfois mortelles. À quelques jours de la Journée mondiale de l’Ostéoporose (20 octobre), l’association a tenu à tirer la sonnette d’alarme.

L’ostéoporose est souvent associée à une des caractéristiques du vieillissement mais il s’agit bien d’une maladie qui doit être accompagnée. « On entend parfois que c’est normal de se casser les os quand on a des rides, je m’insurge », déplore Laurent Grange, rhumatologue au CHU de Grenoble et président de l’AFLAR. « Il y a eu un plan Alzheimer, un plan ostéoporose s’impose. »

Une maladie qui touche principalement les femmes

Cette maladie est silencieuse mais elle fait des ravages. Les fractures qu’elle entraîne touchent, après 50 ans, 1 femme sur 3 et 1 homme sur 5. Le problème c’est que cette maladie est mal diagnostiquée donc le suivi se fait très difficilement. Selon l’AFLAR, seules 15 % des victimes de fractures se retrouvent sous traitement. Les os les plus touchés sont ceux du poignet, des vertèbres et du col du fémur.

Quand le col du fémur est atteint, le taux de mortalité est de 20 %. Selon ces travaux, 376 000 fractures sont dues à l’ostéoporose chaque année et le nombre de décès après une fracture liée à cette maladie est plus important que le nombre de morts par accidents de la route. 30 % à 40 % des femmes à la ménopause, et plus de la moitié de celles de plus de 75 ans sont touchées par l’ostéoporose. Il est temps d’agir. 

Marine Rondot

À lire aussi Régime spécial ostéoporose

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Pourquoi vous devez garder les dents de lait de vos enfants ?

Pourquoi vous devez garder les dents de lait de vos enfants ?

Le 17 octobre 2017.

Selon une équipe de chercheurs de l’Imperial College de Londres, conserver les dents de lait de ses enfants pourrait un jour leur sauver la vie.

Les dents de lait sont riches en cellules souches

Les parents ne gardent pas toujours les dents de lait de leurs enfants et ils ont tort. C’est en tout cas ce qu’avance Sara Rankin, biologiste à l’Imperial College de Londres, dans un entretien pour BBC News. Selon ses travaux, on trouverait des cellules souches dans les dents de laits qui permettraient de guérir de maladies graves et même de certains cancers. Jusqu’à présent, on allait chercher les cellules souches dans l’embryon ou dans le sang du cordon ombilical.

Les cellules souches sont très précieuses car elles possèdent deux propriétés, « celle de s’auto-renouveler indéfiniment, offrant un stock illimité de matériel, et celle de pouvoir donner naissance à plusieurs types cellulaires », explique l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm). Et grâce à la thérapie cellulaire, on peut greffer des cellules saines afin de restaurer la fonction d’un tissu ou d’un organe.

Les recherches sur les cellules souches avancent

Selon Sara Rankin, « recycler » les dents de lait de son enfant pour conserver ses cellules souches pourrait donc s’avérer très utile en cas de leucémie (cancer du sang), par exemple. Il faut toutefois souligner que la conservation des cellules souches à des fins thérapeutiques est interdite en France mais qu’elle est autorisée en Suisse. Dans ce pays, il existe des banques de stockage de cellules souches.

Certains chercheurs avancent que l’on n’a pas encore exploré la totalité des capacités des cellules souches. Peut-être pourraient-elles être utilisées un jour pour soigner la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson ou encore le diabète. Il faut noter toutefois que pour extraire les cellules souches des dents de lait, il faudrait les arracher avant qu’elles ne tombent pour retirer les cellules souches rapidement et les stocker à moins de 190°.

Marine Rondot

À lire aussi : Un aveugle retrouve partiellement la vue grâce à une autogreffe  de cellules de peau

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Femmes enceintes : 2 nouveaux pictogrammes sur les médicaments

Femmes enceintes : 2 nouveaux pictogrammes sur les médicaments

Le 16 octobre 2017.

Mardi 17 octobre, deux nouveaux pictogrammes apparaîtront sur les boîtes de médicaments dont la prise représente un risque pendant la grossesse.

Une meilleure visibilité pour les patients

Pour que les femmes enceintes ne prennent aucun risque pendant leur grossesse avec des médicaments dangereux pour leur santé ou celle de leur bébé, la Direction générale de la santé (DGS) a souhaité mettre en place deux nouveaux pictogrammes sur les médicaments. Ils offriront « une meilleure visibilité de l’information relative à ces risques, déjà signalée dans la notice du médicament », a fait savoir DGS.

Le premier est un pictogramme « danger ». On y verra une silhouette de femme enceinte dans un triangle rouge, cela voudra dire que « le médicament doit être utilisé uniquement s’il n’y a pas d’autre médicament disponible ». Le deuxième est un pictogramme « interdit », qui indiquera que « le médicament ne doit pas être utilisé » par des femmes enceintes. Un dispositif qui rappellera que prendre un médicament pendant la grossesse « n’est pas banal ».

60 % des médicaments concernés

Mais tous les médicaments seront-il concernés par cette mesure ? Selon le ministère de la Santé, 60 % des médicaments auront l’un de ces pictogrammes : un tiers aura le pictogramme « interdit » et deux tiers le pictogramme « danger ». Sur certains médicaments, les adolescentes ou les femmes en âge de procréer, et sans contraception efficace, pourront trouver des avertissements les concernant.

Et la DGS de rappeler que les femmes enceintes ne doivent en aucun cas stopper un traitement ou en commencer un sans l’avis de leur médecin traitant ou de leur sage-femme. Les autorités ont mis en place ces pictogrammes après le scandale de la Depakine, un antiépileptique nocif pour les fœtus, qui a conduit des enfants à souffrir du syndrome de l’anticonvulsivant (Apesac). 

Marine Rondot

À lire aussi : 10 choses à ne pas faire lorsque vous êtes enceinte

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Des pesticides retrouvés dans des carottes bio !

Des pesticides retrouvés dans des carottes bio !

Le 13 octobre 2017.

Selon une enquête de nos confrères de France 3, des traces de pesticides ont été retrouvées dans des carottes certifiées bio. Comment cela est-il possible ?

Des pesticides dans des carottes de la marque Bio c’Bon

Les consommateurs qui achètent des produits bio ne s’attend pas à manger des pesticides. Pourtant, selon une enquête de nos confrères, ce n’est pas parce que les légumes sont issus de l’agriculture biologique qu’ils ne contiennent pas de pesticides. Pour parvenir à cette conclusion, ils ont fait analyser huit marques de carottes, quatre issues de l’agriculture conventionnelle et quatre certifiées biologiques.

Ils ont ainsi pu constater, parmi les quatre marques bio, que Carrefour, Naturalia et La Vie Claire étaient irréprochables mais que les carottes achetées chez Bio c’Bon contenaient « des résidus de trois produits phytosanitaires ». Parmi les carottes issues de l’agriculture conventionnelle, celles de chez Lidl et d’un primeur de quartier étaient contaminées. Quant à celles de Leader Price et Carrefour, elle ne contenaient aucune trace de pesticides.

Le consommateur doit être informé

Comment donc expliquer la présence de pesticides dans des carottes bio ? Selon Jean-Christophe Batteria, journaliste pour France 3, « l’agriculture biologique impose aux producteurs une obligation de moyens et pas de résultats ». Par conséquent, « ils sont responsables de ce qu’il se passe dans leurs champs mais après, il peut y avoir une contamination dans le transport, lors du stockage ou s’il y a épandage dans le champ voisin ».

L’intérêt de cette enquête est avant tout d’informer le consommateur. Les doses découvertes dans les carottes étant inférieures à la limite maximale de résidus commune conventionnelle et bio (LMR), Bio c’Bon n’est pas en tort. Mais son image a été quelque peu abîmée. En 2050, 50 % des surfaces cultivées en France seront issues de l’agriculture bio, contre 6,5 % actuellement. Cela devrait réduire de manière significative les risques de contamination des légumes. 

Marine Rondot

À lire aussi : 25 solutions pour manger l’esprit tranquille

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Faire le point sur sa vue pendant les journées de la vision

Faire le point sur sa vue pendant les journées de la vision

Le 13 octobre 2017

Les journées de la vision sont un bon prétexte pour faire contrôler sa vue, gratuitement, auprès d’un professionnel. Il est en effet nécessaire de vérifier régulièrement la santé de vos yeux.

Prendre soin de ses yeux pendant les journées de la vision

L’AsnaV, association nationale pour l’amélioration de la vue, profite de la journée mondiale de la vue pour proposer, sur une période de dix jours, des contrôles de la vue gratuits auprès de 4 500 opticiens répartis partout en France. Le but ? Inciter les Français à vérifier leur vision plus régulièrement. Cette habitude permet en effet une prise en charge adaptée et rapide en cas de baisse de la vision.

Vision floue, maux de tête, picotement des yeux, sensibilité à l’éblouissement, inconfort, taches… les signes qui alertent sur un dysfonctionnement des yeux sont nombreux. Les journées de la vision peuvent permettre de les signaler à un professionnel. Pour connaître les opticiens concernés par ville, consultez la liste établie par l’AsnaV ici.

Qui est concerné par ces contrôles ?

Tout d’abord les personnes âgées car « plus on avance en âge, plus l’œil montre des signes de fatigue de diverses importances. Certaines activités de la vie quotidienne présentent des difficultés ignorées jusqu’alors », explique le portail de l’association. Un sondage établi par l’AsnaV révèle que, si 70 % des Français contrôlent leur vue tous les deux ans, cela signifie aussi que 30 % d’entre eux ne font pas ces vérifications pourtant essentielles. 

Les maladies les plus fréquentes sont la cataracte qui touche 38 % des personnes de plus de 65 ans, le glaucome (1,5 million de personnes concernées) et la dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) qui se développe après 65 ans. Des visites régulières permettent de contrôler, tous les ans, l’avancée de certains maux, de les stopper ou d’envisager, dans certains cas, une opération chirurgicale. 

Maylis Choné

À lire aussi : Le syndrome des yeux secs

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

Où en est-on de la santé en France ? Une enquête de Capital

En cas de malaise ou de maladie, consultez d’abord un médecin ou un professionnel de la santé en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé. En utilisant ce site, vous reconnaissez avoir pris connaissance de l’avis de désengagement de responsabilité et vous consentez à ses modalités. Si vous n’y consentez pas, vous n’êtes pas autorisé à utiliser ce site.

La reproduction totale ou partielle des textes, images, extraits vidéo et audio de PasseportSanté.net, sur quelque support que ce soit, de même que l’utilisation du nom de PasseportSanté.net ou toute allusion à PasseportSanté.net à des fins publicitaires sont formellement interdites sous peine de poursuites.

Reproduction et droit d’auteur © 1998-2017 Oxygem – Conditions d’utilisation – Charte de confidentialité

Les Nouvelles de PasseportSanté.net