Archives de catégorie : ACTUALITES

Neurodon 2013 : appel à bénévoles

Comme chaque année depuis 2000, cette année aussi la collecte nationale du Neurodon, organisée par la Fédération pour la recherche sur le cerveau (FRC), se tiendra au mois de mars.

La campagne Neurodon permet aux Français de contribuer au financement de la recherche sur le cerveau, les maladies neurologiques (Parkinson, sclérose en plaques, Alzheimer, épilepsie, accidents vasculaires cérébraux, etc….) et les troubles psychiques (Autisme, troubles bipolaires, schizophrénie, etc…) en faisant une donation.

Collecte Neurodon 2013 : comment ça marche ?
La collecte se fera de différentes façons, et en particulier elle aura lieu dans les magasins Carrefour : lors de leur passage en caisse, les clients pourront présenter des coupons munis d’un code-barres valorisé 2 euros, un montant qui s’ajoutera à celui de leurs achats et sera réversé à Neurodon.

Recherche de bénévoles
La FRC recherche des bénévoles pour cette collecte qui se tiendra la semaine du 11 au 17 mars 2013. La FRC cherche plus particulièrement des bénévoles prêts à renforcer les équipes Neurodon le samedi 16 mars en Ile de France : tout le monde peut participer à partir de 15/16 ans !

Pour vous inscrire ou pour recevoir toute information complémentaire, envoyer un mail à :
[email protected]

Pour plus d’informations sur la recherche de benevoles, cliquez ici.
Pour savoir comment faire un don, connectez vous sur le site de Neurodon :
http://www.frc.asso.fr/Le-neurodon

A lire aussi :
> Le neurodon
> Quels progès dans les malaides du cerveau ?
> Quiz : comment muscler votre cerveau ?

Publié par Elide Achille
le 05/02/2013


News Sante AZ

La bière serait bénéfique contre le diabète et d’autres maladies

Des chercheurs, dont les travaux sont publiés dans la revue Angewandte Chemie International Edition, ont déterminé la configuration chimique des humolones, dérivées du houblon, qui donnent à la bière sa saveur distinctive.

Ces résultats pourraient mener au développement de nouveaux médicaments pour traiter le diabète, certains types de cancer et d’autres maladies, estiment les chercheurs.

Des études ont déjà suggéré que la bière et ses acides qui lui donnent son goût amer auraient, en modération, des effets bénéfiques sur le diabète, certaines formes de cancer, l’inflammation et peut-être la perte de poids.

Werner Kaminsky et ses collègues de l’Université de Washington et de la firme pharmaceutique KinDex Therapeutics ont isolé et purifié les molécules d’humolones et leurs dérivés qui sont produits durant le processus de brassage afin d’analyser leurs structures.

Ces résultats représentent une avancée essentielles vers le développement de médicaments à partir de ces molécules, soulignent les chercheurs.

Une étude publiée en 2011 montrait aussi que la bière pourrait être bénéfique contre l’ostéoporose. Un effet attribué au silicium qu’elle contient.

Appel aux dons de lait pour les prématurés

Le lactarium d’Ile-de-France dirigé par le Docteur Virginie Rigourd, pédiatre, lance un appel à la générosité des jeunes mères souhaitant apporter leur contribution au don de lait.
Un don de lait spécifique destiné aux nourrissons prématurés.

Le lait de don anonyme collecté par les 18 lactariums en France au domicile des mamans ou dans les hôpitaux doit être pasteurisé et passer par une qualification avant d’être redistribué dans les services de néonatalogie.

Très important pour les prématurés

En France, chaque année, 10.000 nouveau-nés naissent avant 32 semaines et/ou pèsent moins de 1500 g. Le Docteur Rigourd confie que : « Ce don de lait de femme est très important, car il y a pas d’alternative pour l’alimentation de ces prématurés et nous en manquons. Le lait maternel permet de prévenir certaines complications de la prématurité, d’apporter des propriétés nutritionnelles spécifiques, de favoriser la croissance et le développement neurologique du prématuré et de participer à la prévention de certaines pathologies endocriniennes et métaboliques du futur adolescent et adulte qu’il sera ».

Un don simple à faire
Pour effectuer un don de lait, il suffit de contacter le lactarium le plus proche de chez vous, un questionnaire médical ainsi qu’une prise de sang (dépistage du VIH , Hépatite B…) seront effectués avant le don. Les femmes souhaitant donner leur lait, seront accompagnées et aidées dans leur démarche: le lactarium se chargera de leur fournir tout le matériel nécessaire, viendra chercher le lait à leur domicile.

Alors si vous allaité votre bébé et que vous souhaitez donner un peu de votre lait, n’hésitez pas,
donnez !

Contact :
> Contact :
> l’ADLF (Association des Lactariums de France) www.perinat-france.org

A lire aussi :
> Le bébé prématuré
> Risque d’un accouchement prématuré
> Lactariums : adresses, téléphones
> Le don de lait.

Publié par Marla Gulamo de Morais
le 27/01/2013


News Sante AZ

Ne pas utiliser Diane 35 comme contraceptif

Depuis deux mois, la polémique sur les pilules hormonales contraceptives bat son plein. Dimanche dernier, l’ANSM (l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a indiqué que depuis 1987, quatre femmes sont mortes pour avoir pris Diane 35, commercialisé par les laboratoires Bayer.

Environ 315 000 femmes sous Diane 35

Plus connue pour son utilisation contre l’acné que pour son action contraceptive, Diane 35 est mis en cause pour ses effets secondaires dangereux. En effet, elle est à l’origine de risques d’accidents thromboemboliques. Ces risques, connus depuis vingt ans, sont aujourd’hui fortement discutés et même rediscutés depuis l’annonce du décès de 4 femmes suite à la prise de ce médicament.

L’Agence du médicament déplore son usage contraceptif

L’Agence du médicament nous informe sur les risques encourus : « quatre décès sont imputables à une thrombose veineuse liée à Diane 35 ». Et en ce qui concerne les trois autres cas suspects, « la cause du décès est liée à des pathologies sous-jacentes des patientes concernées ». C’est pourquoi l’Agence du médicament incite les médecins à en limiter sa prescription, et son directeur Dominique Maraninchi déclare qu' »il faut arrêter de l’utiliser comme contraceptif ».

Le laboratoire Bayer a tenu à réagir dans une déclaration envoyée à l’AFP, en invoquant que le risque de formation de caillot lié à la prise de Diane 35 était « connu et clairement indiqué dans la notice d’information patient », et que ce traitement ne devait être prescrit que contre l’acné, « dans le respect des contre-indications ».

Cancers : on doit faire plus pour réduire les risques !

Si le cancer est souvent cité comme la maladie faisant le plus peur, nous sommes au final peu nombreux à adopter des comportements capables de réduire nos risques vis-à-vis de cette maladie.

70% de Français ne font rien pour réduire les risques de cancer
L’ARC, association pour la recherche sur le cancer, a publié un rapport de consultation, étendue à l’échelle nationale, permettant de déterminer quelle compréhension les Français ont de la maladie. Il ressort de cette enquête que 70% des Français interrogés déclarent ne rien faire pour se prémunir contre les risques de cancer. Ce chiffre est révélateur d’une certaine forme de défaitisme et d’un manque d’information, qui se traduit par une mobilisation peu répandue notamment à titre individuel, contre cette maladie.

On pourrait éviter 40% de cancers
L’autre information importante qui ressort de cette étude, est que pour la majorité des Français, les facteurs de risque essentiels sont environnementaux et/ou héréditaires, alors qu’en fait cela ne concerne que très peu de cas.

Les études montrent en effet que 40% des cancers sont dus au mode de vie et à des facteurs comportementaux, c’est pourquoi l’ARC insiste sur la nécessité d’assurer en amont plus d’efforts sur la prévention.

Son objectif sera dans les trois prochaines années de se concentrer sur une meilleure maîtrise de la prévention contre les cancers, et d’investir pour cela 15 millions d’euros. Le président de la Fondation de l’ARC, Jacques Raynaud, confie que « le but est d’aller vers une pratique de prévention personnalisée », avec une identification des populations à risque.

Source : Conférence de presse de l’ARC, 31 janvier 2013.

A lire aussi :
> Cancer : Les vrais facteurs de risque
> Ces aliments qui préviennent un cancer


News Sante AZ

Le tabac tue autant les femmes que les hommes

La parité homme/femme ne s’applique peut-être pas partout mais en ce qui concerne la mortalité par cancer du poumon, les femmes n’ont désormais plus rien à « envier » aux hommes.

Selon une étude américaine, relayée en France par le Figaro Santé, la probabilité qu’une femme meurt des suites d’un cancer du poumon est aujourd’hui la même que celle d’un homme. Il y a 50 ans, le risque était pourtant 5 fois supérieur au sein de la population masculine.

Une situation qui ne surprendra pas les spécialistes puisque depuis plusieurs années déjà la consommation de tabac a explosé chez les femmes.

Récemment plusieurs études ont d’ailleurs démontré qu’elles étaient de plus en plus souvent touchées par le cancer du poumon alors même que la tendance est orientée à la baisse chez les hommes.

Et nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises. Citée par « Le Figaro », Catherine Hill, épidémiologiste à l’Institut Gustave Roussy, prévient qu’il faut toujours du temps pour mesurer l’ampleur des dégâts.

Il faut donc s’attendre selon elle à une hausse constate de la mortalité attribuable liée au tabagisme féminin dans les prochaines années (au moins jusqu’à 2020).

Cette étude, dont les résultats complets ont été publiés dans la revue spécialisée « New England Journal of Medicine » a également permis de confirmer que l’explosion des cigarettes « légères », très prisées chez les femmes, n’avait pas permis d’inverser la tendance… bien au contraire même.

L’occasion de vous rappeler encore une fois que si les femmes qui fument encourent les mêmes risques que les hommes, elles s’exposent à des risques supplémentaires spécifiques trop souvent négligés.

Ainsi, et on ne le sait peut-être pas assez, mais l’association de la consommation de tabac à la prise de la pilule contraceptive se traduit par une augmentation importante du risque cardiovasculaire et de survenue d’un accident vasculaire cérébral.

Le tabac est également un frein à la fécondité – on estime qu’il la réduit d’environ un tiers – et augmente les risques de contracter un cancer du sein (+50%).

Ne parlons pas des effets désastreux du tabac chez les femmes enceintes qui voient leur risque de faire une fausse couche ou d’accoucher prématurément multiplié par 2.

Enfin terminons par une deuxième étude qui, parue dans la même revue, confirme que le tabagisme c’est environ 10 ans d’espérance de vie en moins.. Et ça concerne tout le monde !

Depuis plusieurs années le Comité National contre le Tabagisme reproche à l’industrie du tabac d’être responsable de cette hausse considérable du tabagisme féminin l’accusant d’avoir transformer la cigarette en un accessoire de mode ultra glamour et d’avoir placé la femme au cœur d’une stratégie marketing sophistiquée.

Le YOGA, reconnu efficace contre les troubles psychiatriques

Cet examen systématique sur les effets du yoga sur les principaux troubles psychiatriques confirme que sa pratique a des effets positifs significatifs, y compris sur la dépression, la schizophrénie, le TDAH et le sommeil. Ces conclusions, publiées dans l’édition du 25 janvier de la revue Frontiers in affective Disorders and Psychosomatic Reseach, mettent en lumière une alternative possible aux médicaments dont beaucoup peuvent améliorer la vie des patients mais qui ne suffisent pas à satisfaire un besoin considérable.

En effet, un bilan de l’OMS, a révélé que 60% des patients étaient toujours déprimé après un an de traitement par un antidépresseur et que 80% dans le monde n’avaient pas accès aux soins. La rémission n’intervient que chez un tiers des patients et il reste les obstacles d’une mauvaise observance, de la rechute, de la résistance au traitement et des effets secondaires. La recherche de l’amélioration des traitements dont l’ouverture aux traitements non-médicamenteux est donc une priorité mondiale. Prouver que le yoga est efficace sur la santé mentale en ferait une thérapie de choix (moins d’effets secondaires, coût relativement faible, accès relativement facile).

Car si le yoga est devenu un exercice populaire et, aux seuls Etats-Unis, serait pratiqué par plus de 15 millions d’adultes (Source : Enquête Harris Interactive), si dans l’opinion publique, son effet global bénéfique sur la santé psychique et mentale est largement partagé, si le yoga est même devenu un phénomène culturel, cette étude devait apporter aux médecins les preuves scientifiques de son efficacité.

Le yoga, des avantages pour un grand nombre de maladies mentales : C’est chose faite, cette méta-analyse vient confirmer des avantages pour toutes les maladies mentales incluses dans l’analyse, à l’exception des troubles de l’alimentation et des troubles cognitifs. L’analyse montre en effet ses effets positifs sur la dépression légère et les troubles du sommeil, même en l’absence de traitements médicamenteux, et peut améliorer les symptômes associés à la schizophrénie et au TDAH (Trouble de déficit de l’attention / hyperactivité) chez les patients qui prennent des médicaments, selon cette analyse de 124 études dont 16 essais contrôlés. Le Dr P. Murali Doraiswamy, professeur de psychiatrie et de médecine à la Duke University et auteur de l’étude, confirme aussi que le yoga peut également avoir un rôle accessoire dans la prévention des maladies liées au stress.

Le yoga, un effet biologique démontré : L’examen révèle par étude de biomarqueurs que le yoga influence des éléments clés du corps humain jouant un rôle en santé mentale au même titre que le feraient des antidépresseurs et la psychothérapie. Car le yoga affecte les neurotransmetteurs, l’inflammation, le stress oxydatif, les niveaux lipides, les facteurs de croissance…En somme, des résultats prometteurs, mais d’études menées sur de petits échantillons, donc à reconfirmer par des recherches plus rigoureuses, concluent les auteurs.

Epidémie de gale en Bourgogne

L’ARS Agence Régionale de Santé de Bourgogne lance une alerte épidémique de gale : 24 cas de gale ont été découverts au CHAN (Centre Hospitalier de l’Agglomération de Nevers). D’après l’Agence, bien que le nombre de cas soit minime, l’épidémie est en progression.

Cette maladie parasitaire de la peau est encore bien présente en France, et notamment en Bourgogne où l’on observe chaque année 5000 cas selon l’ARS.

Une épidémie en progression

C’est dans un centre hospitalier à Nevers que les 24 cas de gale sont apparus, touchant en grand nombre le personnel médical. Cette affection de la peau est sans danger, mais elle est très contagieuse et peut donc se répandre très vite et en très peu de temps, surtout dans les collectivités.

Des mesures préventives nécessaires

L’ARS conseille aux agents hospitaliers et aux patients de respecter quelques règles simples d’hygiène afin d’éviter toute propagation. Elle préconise « un traitement curatif des cas avérés et de leur environnement, proposition systématique d’un traitement à titre préventif aux agents des services concernés, acquisition de tenues de travail adaptées, traitement de la literie…».
Source :
> www.ars.bourgogne.sante.fr

A lire aussi :
> La gale
> La gale : des symptômes au traitement

Publié par Marla Gulamo de Morais
le 29/01/2013 11:32:00


News Sante AZ

Un Master pour les orthophonistes ! Une juste reconnaissance !

Logo FNO (DR)

Logo FNO (DR)

Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et le ministère des Affaires sociales et de la Santé l’ont annoncé ce 25 janvier 2013 : La formation initiale des orthophonistes qui sera mise en place prochainement sera reconnue au grade Master !

Les propositions de l’Enseignement supérieur et de la Recherche pour une formation en 300 ECTS et 10 semestres, propositions issues des travaux menés depuis 2009 par l’ensemble des composantes de la profession ont enfin été validées par la Santé et le gouvernement !

Cette reconnaissance au grade Master est l’aboutissement de l’engagement fort de toutes les composantes de la profession dans les travaux de réingénierie, une reconnaissance qui va lui permettre de poursuivre les évolutions nécessaires à son avenir et à maintenir la qualité des soins délivrés au patient !

La FNO se réjouit et se félicite de cette reconnaissance pour laquelle elle oeuvre depuis 2002 !

La Fédération Nationale des Orthophonistes salue la responsabilité du gouvernement, de la ministre de la Santé et de la ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche qui ont su s’appuyer sur les éléments objectifs des travaux de réingénierie pour prendre leur décision.

La FNO tient avant tout à remercier tous les orthophonistes, professionnels acteurs de santé, qui l’ont soutenue depuis toutes ces années et sans qui, en l’absence d’un engagement personnel et collectif, une telle reconnaissance n’aurait pas été possible !

La FNO remercie en particulier ses adhérents qui, grâce à leur confiance, à leur adhésion à son projet, ont permis à tous leurs représentants nationaux et régionaux de pouvoir défendre depuis tant d’années ce dossier, inscrit comme majeur dans les orientations de notre organisation syndicale !

La FNO remercie toutes les personnes, toutes les associations de patients, tous les patients qui par leur intervention, leur soutien ont permis d’influer sur les différents décideurs.

La FNO tient encore à remercier tous les élus, nationaux et régionaux, qui, depuis maintenant deux ans, l’ont assurée de leur soutien et sont intervenus pour faire aboutir une décision tant attendue !

– La FNO veillera maintenant à ce que la nouvelle formation des orthophonistes se mette correctement en place et que cette réforme soit une réussite !
– La FNO est dès aujourd’hui prête à travailler avec les ministères concernés et les centres de formation pour que cette réforme de la formation initiale des orthophonistes s’organise dans les meilleures conditions, pour les étudiants et pour les orthophonistes, salariés et libéraux.

Plus d’informations sur www.fno.fr

Ceci est un communiqué de la Fédération Nationale des Orthophonistes (FNO)


News Santé

Dans le coma, Ariel Sharon montre des signes de conscience

JERUSALEM (Reuters) – Sept ans après plusieurs accidents vasculaires cérébraux qui lui ont valu d’être placé dans un coma artificiel, l’ancien Premier ministre et pilier de la droite israélienne Ariel Sharon a montré « un certain degré de conscience », a déclaré dimanche un neurologue israélien.

La série de scanners du cerveau réalisés jeudi pendant deux heures par une équipe israélo-américaine ne signifie pas pour autant que l’ancien général, âgé de 84 ans, pourra se réveiller de son profond coma, a-t-il précisé.

« Les résultats des tests ne sont pas clairs mais sont encourageants et nous ont surpris », a déclaré le neurologue Alon Friedman, du Centre médical Soroka, soulignant que ces résultats pourraient contribuer aux données que les scientifiques espéraient pouvoir utiliser pour réveiller d’autres patients.

« Les chances de le sortir du lit sont très très minces », a-t-il nuancé.

Une activité cérébrale a été détectée lorsque les médecins ont montré à Ariel Sharon des photos de sa famille et lui ont demandé d’imaginer sa maison.

« Il pourrait entendre et certaines informations importantes vont dans son cerveau et sont analysées », a dit Friedman.

Sharon « pourrait être éveillé, et il y a une chance qu’il soit conscient », même s’il ne peut pas répondre physiquement, en raison de sa paralysie après l’attaque, a-t-il ajouté.

« Le patient est dans une certaine mesure ce que nous appelons ‘enfermé’, il comprend et répond avec son cerveau mais ne peut activer ses muscles. »

Friedman a ajouté qu’Ariel Sharon avait les yeux ouverts pendant au moins la moitié du temps au moment où il a répondu à la vue de photos de sa famille.

Allyn Fisher-Ilan, Hélène Duvigneau pour le service français


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