Archives de catégorie : ACTUALITES

Les troubles du sommeil hausseraient les risques de cancer

Des chercheurs en provenance d’Islande publient une étude qui trace un lien entre la difficulté à trouver le sommeil et des risques accrus de cancer.

Une équipe de chercheurs de l’Université d’Islande trace un lien entre les troubles du sommeil et des risques accrus de développer un cancer.

Ce serait particulièrement vrai en ce qui concerne le cancer de la prostate chez les hommes, et le cancer du sein chez les femmes.

Selon Santé Log, on définit ici les troubles du sommeil par une difficulté persistante à s’endormir ou à rester endormi, ou encore une incapacité complète (insomnie).

On sait depuis longtemps que les problèmes de sommeil peuvent mener à différents problèmes de santé, mais la corrélation entre l’insomnie et le cancer est relativement une première.
Ces conclusions, publiées dans le journal Cancer Epidemiology, Biomarkers & Prevention, ne font pas véritablement état des causes qui expliquent le phénomène, mais relatent les mesures prises pour mesurer la cause à effet.

Les chercheurs islandais ont analysé et suivi plus de 2000 hommes âgés de 67 à 96 ans, sur une période de cinq ans, qui devaient répondre à des questionnaires concernant leurs habitudes de sommeil.

On a ainsi pu tracer un lien entre le sommeil et certains diagnostics de cancer.
On doit cependant noter que l’augmentation des risques demeure relativement faible, et que l’âge des patients doit être pris en compte dans le calcul.

Consensus chez les climatologues: le réchauffement climatique est réel et de notre faute

Une nouvelle étude analysant près de 12.000 articles de revues scientifiques professionnelles sur le réchauffement climatique vient de paraître. Ses conclusions: parmi les articles scientifiques qui se prononçaient sur la question, 97% concluaient que le réchauffement climatique est une réalité et que les humains en sont responsables.

L’étude est intelligente. Les chercheurs ont trouvé les articles en cherchant à la fois les termes «réchauffement climatique» et «changement climatique».

Après avoir compilé la liste d’articles, ils ont regardé les abstracts (les courts résumés des résultats que les scientifiques mettent en haut de leurs articles) pour voir si l’article parlait des causes du réchauffement climatique. C’était le cas pour environ 4.000 articles.

Cela peut paraître peu, mais la plupart des articles analysent les mesures et les effets du climat, pas les causes du réchauffement, de la même manière par exemple que la plupart des articles d’astronomie sur les galaxies ne s’intéressant pas à la manière dont elles se forment, mais à leur structure, leur contenu etc. Il y a aussi un tel consensus sur le réchauffement que les scientifiques ne ressentent généralement pas le besoin de mentionner ce qui est évident dans leurs abstracts.

En examinant ces 4.000 articles, les auteurs de l’étude ont déterminé que 97,1% d’entre eux approuvaient le consensus sur le fait que les humains sont la cause du réchauffement climatique. Et voici la partie de leur travail vraiment intelligente: ils ont contacté 8.500 auteurs des articles en questions pour leur demander de s’auto-évaluer. Ils ont obtenu des réponses de 1.200 auteurs (une belle fraction) et, en utilisant les mêmes critères que l’étude, il apparaît que 97,2% des auteurs approuvent le consensus.

C’est un consensus remarquable! Et ce n’est pas une surprise. Plusieurs travaux ont montré presque exactement la même chose. Cette nouvelle étude est intéressante de par sa méthodologie, et le fait qu’elle est si solide.

Conclusion: la vaste majorité des scientifiques qui font des recherches climatologiques et publient leurs résultats dans des revues scientifiques professionnelles estiment que les humains provoquent le réchauffement climatique. Il n’y a fondamentalement pas de polémique parmi les vrais scientifiques du climat sur cette question.

Bien sûr, si vous lisez le Wall Street Journal ou certains blogs, bous pouvez penser que la controverse parmi les scientifiques est plus importante que cela. Mais vous remarquerez que la vaste majorité des personnes qui écrivent ces articles, ou qui y sont cités, ne sont pas des climatologues. Vous remarquerez également que beaucoup, y-compris les hommes politiques qui nient si énergiquement le réchauffement climatique, sont lourdement financés par les groupes d’intérêt des combustibles fossiles, ou dirigent des instituts qui sont financés de cette manière.

C’est parce que les climatosceptiques ont tendance à se retrouver dans les pages d’opinion et à la télévision plutôt que dans les revues scientifiques que l’opinion publique est parfois biaisée en leur faveur; les gens pensent que la controverse est plus importante qu’elle ne l’est vraiment. La polémique est fabriquée de toutes pièces; fabriquée par les gens qui se basent sur l’idéologie plutôt que sur les faits, les preuves et la science. Ce n’est pas simplement mon opinion; cette affirmation est soutenue par des faits, des preuves et la science.

Le réchauffement climatique est réel. Le changement climatique est en marche. Le dioxyde de carbone augmente dans l’air, et n’a jamais été à un niveau aussi élevé depuis trois millions d’années. Le dioxyde de carbone nous réchauffe: la température augmente plus rapidement qu’au cours des 11.000 dernières années, et sans doute plus longtemps que cela même.

Et c’est de notre faute. Il est grand temps d’y faire quelque chose, et nous devons dépasser cette fausse controverse. Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site du Consensus Project, et voyez ce que vous pouvez changer.

La e-cigarette autorisée, mais mieux encadrée

Interdiction de « vapoter » dans les lieux publics, restriction pour les femmes enceintes et avertissements sanitaires font partie des 28 recommandations formulées dans un rapport remis à Marisol Touraine.

Ne pas «freiner» l’accès des fumeurs à la cigarette électronique, tout en protégeant les jeunes et les non fumeurs de la tentation. A la recherche d’un équilibre entre ces deux impératifs, le groupe d’experts chargé par la ministre de la Santé d’une mission sur la e-cigarette recommande, dans un rapport rendu public ce mardi, «une réglementation globale» de ce produit controversé, allant de sa distribution à son utilisation.

Soulignant que «l’intensité de la dépendance au tabac est plus forte que celle liée à l’alcool», les experts rappellent que cette fausse cigarette ne libère ni monoxyde de carbone, ni particules solides, ni quantité significative de cancérogènes. Ses effets irritants ou toxiques sont bien moindres que ceux de la fumée du tabac. Elle devrait ainsi, selon le rapport, contribuer à une réduction des risques et dommages chez le fumeur dépendant.

Soucieux de ne pas créer une porte d’entrée au tabagisme, les experts posent cependant une série de restrictions, dont l’interdiction aux moins de 18 ans, le renforcement de l’interdiction de publicité ou la vente réservée à des établissements agréés. Ils recommandent aussi de la bannir de tous les lieux où il est interdit de fumer.

L’information du »vapoteur » devrait aussi être améliorée avec la présence sur l’emballage «d’un avertissement sanitaire conforme» et d’une indication claire de la composition des e-liquides – dont la teneur en nicotine sera par ailleurs limitée. Les fabricants auraient l’obligation d’apporter les références disponibles sur l’innocuité des arômes et ingrédients utilisés.

Une utilisation en progression exponentielle

Enfin, les experts souhaitent que les cigarettes électroniques «ne soient pas utilisées par les femmes enceintes ou allaitantes du fait de l’absence de toute (…)

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Bonne mine : une recette de masque à l’argile rose

Il vous faut

-1 cuillère à soupe de gel d’aloe vera

-1 cuillère à café d’argile rose

-½ cuillère à café de miel liquide

-Eau minérale

Zoom sur les ingrédients

Le gel d’aloe vera. Cicatrisant, il stimule la réparation de l’épiderme et accélère la microcirculation. En favorisant l’hydratation, il soulage inflammations et irritations. Il a aussi un effet tenseur.

L’argile rose. C’est un mélange d’argile illite et de kaolin rose. Reminéralisante, elle convient à tous les types de peau, y compris les plus réactives. Adoucissante, apaisante, purifiante, elle est connue pour son effet bonne mine.

Le miel liquide. Il regorge de sels minéraux, d’oligo-éléments, de vitamines, d’acide formique, de substances anti-biotiques et aromatiques, qui lui confèrent des propriétés antiseptique, purifiante, adoucissante, antioxydante, régénérante, hydratante, cicatrisante et émolliente.

Réalisation

Mélangez le gel d’aloe vera au miel. Ajoutez l’argile rose. Incorporez un petit filet d’eau minérale, en fouettant la préparation, jusqu’à obtention d’une pâte homogène.

Mode d’utilisation

Ce masque est une recette « minute » : il ne se conserve pas. L’idéal est de réaliser une première préparation afin de faire un test cutané en appliquant une noisette de produit au pli du coude et au poignet. Pas de réaction après 48 heures ? Vous pouvez vous lancer.

Appliquez-le sur une peau démaquillée (après un gommage), en couche épaisse sur le visage et le cou, en évitant la bouche et le contour des yeux. Laissez poser cinq minutes. Enlevez-le avec un coton imbibé d’eau tiède.

Utilisez-le une fois par semaine. Personnalisez-le en remplaçant l’eau minérale par un ingrédient adapté à votre type de peau.

– Pour les peaux sèches, du lait entier.

– Pour les peaux matures, de l’hydrolat de ciste.

– Pour les peaux sensibles et fragiles, de l’hydrolat de camomille.

– Pour les peaux mixtes, de l’hydrolat de bambou.

– Pour les peaux grasses et (…) Lire la suite sur TopSante.com

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6e journées « Autrement Psy »

6e journées « Autrement Psy »

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À l’occasion de ses sixièmes journées, l’association « Autrement Psy » a souhaité débattre de l’art d’exercer le soin en psychiatrie, autour d’intervenants régionaux reconnus et engagés dans l’approche artistique de leur exercice.

Ces journées s’inspireront de la dynamique artistique de l’année 2013 à Marseille. Elles informeront sur la richesse des approches du soin et la place de la création dans la relation thérapeutique.

L’art fait partie de la nature humaine ; ces journées devraient pouvoir permettre à chacune des personnes concernées par le fait et le soin psychiatrique de révéler cette forme d’humanité si particulière pour la sublimer au bénéfice de celui qui en a besoin.

L’art de la rencontre, celle qui comprend et qui dès le premier entretien met tout en oeuvre pour qu’il y en ait une seconde. C’est dès les premiers instants que doit se bâtir une alliance thérapeutique solide, fondamentale pour l’avenir du patient.

Celui peut-être plus délicat du soin en milieu hostile comme peut l’être le milieu contraint de la prison où tout le talent sera d’allier contraintes et contraires.

Celui plus flou de l’intervention à domicile pour les équipes mobiles, totalement collé au terrain pour les équipes à domicile, et enfin celui de l’intervention précoce auprès des enfants en milieu scolaire.

Les intervenants se pencheront aussi sur le laboratoire d’enseignement des acteurs du soin – médecins, infirmiers – en déclinant l’art de la transmission des savoirs et de celui de la formation.

Les ateliers théâtre, musique, photographie, vidéo, peinture sont légion dans les lieux de soins où la dimension soignante de l’arthérapie est considérée comme moyen complémentaire du soin.

A quoi l’art sert-il ? Comment peut-il être utile à calmer la douleur morale ? Sa théorisation repose-t-elle sur d’autres concepts que celui clinique ou historique ?

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Les aliments bios du Québec auront un logo

Les aliments biologiques du Québec seront désormais identifiés par un logo, une manoeuvre qui permettra de stimuler la production d’aliments biologiques, espère le ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, François Gendron.

«La demande est plus grande que l’offre sur le marché du bio. Je ne veux pas trop exciter [la population] parce que je n’aurai pas assez de produits pour les satisfaire», lance le ministre, sourire en coin, en promettant au passage d’inclure le bio dans la politique de souveraineté alimentaire qu’il doit déposer ce printemps.

Les déclinaisons «Aliments du Québec – Bio» et «Aliments préparés au Québec – Bio» feront leur apparition sur les tablettes des épiceries sous peu, de quoi faciliter la vie des consommateurs qui, selon François Gendron, sont «de plus en plus soucieux de ce qu’ils achètent».

Au départ, l’un ou l’autre des logos sera attribué à 277 produits de 36 entreprises, mais il est prévu que 5500 produits biologiques pourront bénéficier de cette offre à long terme.

Aliments Québec doit s’assurer de la provenance des aliments, tandis que le Conseil des appellations réservées et des termes valorisants (CARTV) garantira dorénavant les normes biologiques. Et il sera sévère, assure son porte-parole. La Filière biologique du Québec doit enfin valoriser une avancée «significative» pour la promotion des produits biologiques québécois, une publicité dont ils ont peut-être grand besoin.

Si les entreprises bios gagnent du terrain dans tous les secteurs sauf celui de la production acéricole – en baisse entre 2010 et 2011 -, la liste des exploitants dont le statut de titulaire d’une certification a été révoqué par le CARTV depuis un an est également éclairante. Ce répertoire indique que 80 des 88 exploitants listés ont eux-mêmes annulé leur certification, et que le certificateur l’a révoquée dans les 8 cas restants.

Petit ou gros dormeur, une affaire de gènes

Le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt. La sagesse populaire multiplie ces sentences que la science balaie à coup de découvertes. Si Napoléon dormait quatre heures par nuit, il en fallait onze à Einstein pour réfléchir correctement.

Nous ne sommes pas égaux devant le sommeil. Des chercheurs européens viennent d’identifier un gène responsable de la durée du sommeil. ABCC9 est son très soporifique nom. L’étude, sur plus de 4 000 personnes de 7 pays européens, a montré que ceux qui en sont dotés dorment une demi-heure de plus et passent plus de huit heures par jour au lit.

Parallèlement, les scientifiques ont analysé le sommeil des mouches drosophiles – la « mouche du vinaigre ». Leur génome, plus basique que le nôtre, peut néanmoins accueillir le fameux ABCC9. Les résultats sont encore plus frappants : les mouches privées de ce gène dorment trois heures de moins que les autres.

Toujours plus d’insomniaques

« Cette découverte confirme ce que l’on devinait : l’importance de la génétique dans la durée du sommeil, explique le professeur Damien Léger, chef du centre du sommeil à l’Hôtel-Dieu de Paris. Nous savions déjà que certains gènes influencent la nature du sommeil. On les appelle les gènes de l’horloge. » Ce sont eux qui définissent si l’on est plutôt du soir ou du matin, noctambule ou couche-tôt.

« La plupart des gens sont au milieu. Aussi bien pour la durée qui est d’environ sept heures par nuit pour un adulte que pour le moment où l’on dort. » Mais d’autres souffrent de dérèglements. « Il existe des maladies génétiques de l’hypersomnie qui font que l’on a besoin de quatorze ou quinze heures de sommeil. » Elles sont extrêmement rares.

« En revanche, près de 20 % des Français souffrent d’insomnie et la tendance est à la hausse », poursuit Damien Léger. Difficulté à s’endormir, réveil au milieu de la nuit ou trop tôt le matin, sentiment d’avoir un sommeil peu réparateur… Autant de symptômes que la génétique peut expliquer. Mais pas seule.

Angoisses, stress au travail, alimentation sont aussi des perturbateurs du sommeil. Vous baillez ? Concentrez-vous. Voici quelques conseils : activité physique régulière dans la journée, alimentation à base de sucre lent le soir, pas de bruit ni de lumière trop forte et ne passez pas quatre heures à surfer sur Internet.

Une gomme à mâcher pour maigrir?

À ce jour, les médicaments pour maigrir qui ont été mis sur le marché étaient le plus souvent des coupe-faim basés sur des amphétamines stimulantes. Ces dernières comportent toutefois des risques d’effets secondaires graves tels que l’hypertension artérielle et l’insuffisance cardiaque. Ces médicaments ont d’ailleurs, un à un, été retirés du marché dans la plupart des pays en raison de ces effets secondaires.

Robert Doyle de l’Université de Syracuse et ses collègues ont adopté une approche différente. Ils se sont centrés sur le peptide YY (PYY) qui est une hormone libérée par les cellules qui tapissent l’intestin suite à l’absorption de nourriture ou en réponse à l’exercice. L’hormone voyage dans la circulation sanguine pour atteindre l’hypothalamus qui intervient dans la régulation de la faim, la soif, la température corporelle et le sommeil.

Des études précédentes ont montré que des injections de PYY supprimaient l’appétit et entrainaient une réduction de 30% de la consommation de calories chez des personnes minces et obèses.

Les chercheurs ont réussi une étape cruciale pour en faire un médicament oral en liant le peptide avec la vitamine B12 pour le protéger d’une destruction par les enzymes de l’estomac. Une étude sur des animaux a montré que le peptide se rend bel et bien dans la circulation sanguine. Reste à s’assurer de les effets sur l’appétit et la consommation de calories sont les mêmes que dans le cas d’une administration par injection.

6 bonnes raisons de se retrouver sous la couette ce soir

Vous n’avez pas envie de faire l’amour ce soir ? Certes, il ne faut pas se forcer. Mais en cherchant bien, voici 6 bonnes raisons de rejoindre votre homme sous la couette. L’appétit vient en mangeant après tout…

Au fait, ça fait au moins une semaine, un mois… que vous n’avez pas fait l’amour ? Après X années de vie commune, vous ne pouvez pas brûler d’impatience tous les soirs comme au début de la relation, et vous avez vite fait de laisser passer le temps entre deux câlins. Surtout si vous venez d’avoir un bébé ou que vous avez été malade… Mais vous y pensez, preuve que vous êtes soucieuse de la bonne santé de votre couple. Et qui s’en préoccupe le plus ? Toujours vous ? Toujours l’autre ? Si c’est un peu les deux, c’est mieux.Le conseil du sexologueLa sexualité est comme un muscle qui s’entretient : plus on laisse passer du temps, plus c’est dur de refaire l’amour. Il ne s’agit pas de tenir les comptes, mais on peut se donner des repères, avoir des rituels pour inscrire une régularité, et c’est là que la routine a du bon. Et quand on laisse passer un ou deux rendez-vous amoureux, on se motive pour rattraper le plaisir perdu. Un moment de folie, le lundi matin pour bien commencer la semaine, c’est bien aussi !

Dans la journée, il vous a envoyé un SMS coquin. Le soir, il est rentré de charmante humeur, il s’est rapproché sous la couette… Vous avez bien compris où il voulait en venir et vous avez répondu à son texto, à sa bonne humeur, à tout le reste. S’il ne vous avait pas sollicitée, nous n’auriez pas fait le premier pas et vous aurions raté quelque chose. Vous avons donc bien raison de ne pas attendre d’éprouver un désir à l’unisson pour sauter le pas, car ces moments de parfaite entente sont rares. Vous montrez seulement que vous sommes réceptifs aux envies de l’autre et que vous vous sentez assez libres pour exprimer notre désir.Le conseil du sexologueNombre de femmes se demandent si elles doivent se forcer à faire l’amour quand elles (…) Lire la suite sur TopSante.com

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Pesticides : la France parmi les populations les plus intoxiquées ?

Selon le rapport « Exposition de la population française aux substances chimiques de l’environnement consacré aux pesticides et aux polychlorobiphényles non dioxin-like (PCB-NDL) », de l’Institut national de Veille Sanitaire (InVS), les Français sont particulièrement exposés aux pesticides organophosphorés et aux pyréthrinoïdes, une famille d’insecticides.

Il y a des rapports qui font froid dans le dos, et celui-ci en est un ! Dans le second volume du rapport « Exposition de la population française aux substances chimiques de l’environnement consacré aux pesticides et aux polychlorobiphényles non dioxin-like (PCB-NDL) », publié il y a un mois par l’Institut national de Veille Sanitaire (InVS), on apprend que les Français sont tout particulièrement exposé à certains pesticides.

Ainsi, on retrouve dans leur organisme de quantités plus importantes de pesticides organophosphorés et de pyréthrinoïdes, notamment, que chez les habitants d’autres pays comme l’Amérique du Nord, le Canada ou encore l’Allemagne.

Une quantité élevée de pyréthrinoïdes

L’étude, qui a été menée en 2007 dans le cadre de la politique de bio-surveillance, a porté sur 400 volontaires. Elle révèle que leur sang et leur urine concentrent une quantité élevée de pyréthrinoïdes, une catégorie d’insecticides largement utilisés en agriculture et en  horticulture ainsi que dans l’espace domestique. En Allemagne la population y est beaucoup moins exposée qu’en France et ceci, depuis au moins 10 ans, souligne le rapport. Même chose pour les États-Unis et le Canada.

Pour ce qui est des pesticides organophosphorés (deuxième catégorie de pesticides découverts en quantité plus importante dans l’organisme des français) les choses ont certainement évoluées depuis 2007 puisqu’ils sont beaucoup moins utilisés aujourd’hui.

À l’époque, les taux repérés étaient supérieurs à ceux des Américains et des Canadiens mais également à ceux des (…)
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