Archives de catégorie : ACTUALITES

Une nouvelle assurance santé collaborative

Le courtier Amalfi, via sa marque commerciale Otherwise, veut « réinventer » la complémentaire santé avec une assurance santé dites « collaborative » explique l’Argus de l’Assurance. Une nouvelle vision de ce secteur pour faire face à un marché de plus en plus réglementé.

Quels avantages à cette complémentaire santé nouvelle version ?

Les assurés observant un comportement responsable peuvent se voir restitué un bonus collaboratif pouvant atteindre 50 % des cotisations (HT), explique Raphael Berger, cofondateur et président d’Otherwise (qui signifie « autrement » en Français).

Parmi 3 niveaux de garanties  («Budget», «Equilibre» ou «Optimum»), l’assuré rejoint une communauté d’assurés au profil similaire. Les cotisations vont dans une tirelire commune pour les petites dépenses de santé, dont le suivi est possible via une plateforme dédiée.

Selon les remboursements effectués à l’ensemble de la communauté, les assurés peuvent récupérer jusqu’à 50 % de leur cotisation initiale.

Regardez cette vidéo pour comprendre le fonctionnement :

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Grippe : est-il possible de la transmettre à ses animaux ?

Malade de la grippe : êtes-vous contagieux pour votre animal ?

Avec l’épidémie de grippe qui sévit chaque année, les Français qui ont des animaux ET la grippe se demandent souvent s’il y a un risque de transmettre le virus à leurs animaux, chiens et chats. Est-ce possible ?

Malade de la grippe : êtes-vous contagieux pour votre animal ?

Quand on a la grippe et qu’on est cloué au lit, c’est toujours agréable d’avoir son petit compagnon pour se réconforter. Mais ne risque-t-on pas de transmettre la maladie à nos animaux  ? N’est-ce pas dangereux pour la santé de votre chien ou votre chat ?

Pas d’inquiétude, parce que pour l’instant la réponse est non. Les maladies transmissibles de l’homme à l’animal, les « zooanthroponose » n’incluent pas la grippe. Ou en tous cas, selon Wamiz, le site spécialiste des animaux, le risque serait très limité.

Si le risque est peu probable et les cas très rares, le risque zéro n’existe pas. Notamment en raison des mutations régulières du virus de la grippe. Des chercheurs travaillent sur l’identification des animaux qui ont contracté la grippe via l’homme.

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Les dépenses de l'Assurance maladie en hausse en 2016

L’assurance Maladie a fait plus de remboursement en 2016, observant des dépenses à la hausse de 2,3 %, soit une progression équivalent à 2015. Ces dépenses de santé se placent légèrement au-dessus des prévisions de l’objectif national des dépenses d’assurance maladie (Ondam).

Des dépenses de santé en hausse en 2016

La Cnamts a récemment annoncé que les dépenses du régime général d’assurance maladie ont connu le même rythme de progression les deux dernières années, s’élevant à 154,7 milliards d’euros pour 2016, soit +2,3 % qu’en 2015. Une hausse qui se place au-dessus de l’Ondam 2016 qui était fixé à +1,75 %.

L’Ondam 2017 est légèrement vu à la hausse, à 2,1 % de progression maximum.

Quels postes de santé ont le plus augmenté ?

  • Dépenses de soins de ville (45% du total) : + 2,9 % en 2016
  • Remboursement des médicaments : + 0,1 %
  • Remboursement des hôpitaux : +1,7 % (+2,1 % dans le public, -0,2 % dans le privé et +2 % dans le secteur médico-social)

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Locked-in syndrome (SLA) : une interface permet un début de communication

Des personnes atteintes d’un locked-in syndrome complet, incapables de bouger leurs yeux pour communiquer, ont pu répondre « oui » ou « non » par la pensée à des questions qui leur étaient posées grâce à une interface cerveau-ordinateur.

Dans le locked-in syndrome,la conscience et la cognition sont intactes et la paralysie complète à l’exception des mouvements oculaires verticaux et du clignement des yeux. Dans le locked-in syndrome complet, il y a une perte de tout mouvement oculaire.

Cette étude, dont les résultats sont publiés dans revue PLOS Biology, a été menée avec quatre personnes atteintes de SLA (sclérose latérale amyotrophique), aussi appelée maladie de Charcot, une maladie neurodégénérative dans laquelle sont détruites progressivement les cellules nerveuses qui contrôlent les muscles moteurs (les motoneurones).

Ces participants répondaient par oui ou non à des questions personnelles dont les réponses étaient connues (ex. : « Votre mari s’appelle-t-il Joachim ? ») et d’autres non connues (« Etes-vous heureux ? »).

L’interface faisait appel à la spectroscopie dans le proche infrarouge combinée à l’électroencéphalogramme pour mesurer l’oxygénation sanguine et l’activité électrique. Un programme d’ordinateur analysait les changements provoqués par les réponses et apprenait à identifier les réponses typiques d’un non ou d’un oui.

Trois des participants ont participé à 46 sessions et l’autre, à 20 sessions. Pour les questions dont les réponses étaient connues, les réponses détectées étaient exactes dans 70 % des cas, soit un niveau supérieur au hasard (50 %).

« Ces résultats impressionnants démentent ma propre théorie selon laquelle les personnes atteintes d’un locked-in syndrome complet sont incapables de communiquer », a déclaré le professeur Niels Birbaumer, neuroscientifique au Wyss Center for Bio and Neuroengineering (WCBN) de Genève (Suisse), coauteur.

Si nous parvenions à reproduire cette étude auprès d’un plus grand nombre de patients, je pense que nous pourrions rétablir une communication utile dans les états de locked-in syndrome complet chez les personnes atteintes de maladies des motoneurones », dit-il.

A la question « Etes-vous heureux ? », les quatre participants ont constamment répondu « oui », et ce de manière répétée au cours des semaines d’interrogation.

Le professeur Birbaumer a déclaré : « Nous étions initialement surpris des réponses positives lorsque nous avons interrogé les quatre participants sur leur qualité de vie. Ils avaient tous les quatre accepté la ventilation artificielle afin d’être maintenus en vie une fois la respiration devenue impossible donc, d’une certaine manière, ils avaient déjà décidé de vivre. Nous avons observé que, tant qu’ils recevaient des soins satisfaisants à domicile, ils jugeaient leur qualité de vie acceptable. Ainsi, si nous pouvions rendre cette technique largement disponible dans la pratique clinique, cela aurait un impact considérable sur la vie quotidienne des personnes atteintes de locked-in syndrome complet ».

Dans l’un des cas, est-il rapporté, la famille a prié les chercheurs de demander à l’un des participants s’il acceptait que sa fille épouse Mario, son petit ami. La réponse a été « non » neuf fois sur dix.

Des personnes paralysées (atteintes de SLA) bougent un curseur par la pensée.

Photo : WCBN.

Psychomédia avec sources : WCBN, PLOS Biology, NHS Choice.
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Trump et médicaments : mise en marché facilitée et baisse des prix

« Nous allons réduire la réglementation à un niveau que personne n’a jamais vu auparavant », a déclaré le président américain Donald Trump, le 31 janvier, lors d’une réunion à la Maison-Blanche avec des cadres d’industries pharmaceutiques dont Merck, Johnson and Johnson, Eli Lilly et Novartis, rapporte le New York Times.

Il a promis qu’il réduirait les réglementations de la Food and Drug Administration (FDA) et faciliterait la production des médicaments aux États-Unis.

L’agence sera rationalisée et les décisions d’approbation de médicaments seront plus rapides, a-t-il promis.

La réduction des coûts des médicaments, a-t-il aussi précisé, était un objectif dont il allait discuter au cours de la partie non publique de la réunion. Les coûts sont astronomiques, a-t-il dit.

Il avait évoqué il y a quelques semaines la possibilité de permettre à Medicare de négocier directement les prix des médicaments, ce à quoi l’industrie s’est depuis longtemps opposée. Lors de la réunion, il a de nouveau mentionné le rôle de Medicare, en disant qu’il s’opposerait à tout ce qui empêchait la concurrence, y compris la fixation des prix par Medicare.

Il s’est toutefois voulu rassurant : « Nous pouvons économiser des dizaines de milliards de dollars, et vous allez faire de bonnes affaires » (« You people are going to do great »).

Alors que les leaders de l’industrie se présentaient, rapporte le New York Times, « beaucoup ont souligné leur longue histoire aux États-Unis ainsi que leurs usines américaines, même si l’industrie pharmaceutique – comme beaucoup d’autres – a de plus en plus déplacé sa production à l’étranger. Plus d’une moitié des produits pharmaceutiques finis vendus aux États-Unis sont fabriqués au pays, selon un récent rapport publié dans The Wall Street Journal, mais la majorité des ingrédients utilisés pour fabriquer ces produits sont fabriqués dans des pays comme la Chine et l’Inde ».

Joseph Jimenez, directeur général du géant pharmaceutique suisse Novartis, a souligné les liens américains de l’entreprise, dont son siège social de la recherche et du développement près de Boston, et a salué la promesse de baisse d’impôt pour les sociétés.

Psychomédia avec source : New York Times.
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Bientôt un vaccin contre les cancers, estiment des chercheurs

D’ici 10 ans, un vaccin universel pourrait nous immuniser contre la plupart des cancers, estime le Dr Claude Perreault de l’Université de Montréal, rapporte un communiqué de l’université. « On ne pourra pas traiter tous les cancers, mais certainement une grande majorité de ceux-ci. »

Les résultats obtenus dans une étude réalisée par une étudiante de troisième cycle en biologie moléculaire, Céline Laumont, pourraient permettre d’augmenter l’activité antitumorale des lymphocytes T, est-il notamment rapporté.

L’étude, publiée dans la revue Nature Communications, représente une avancée significative dans le domaine de la cancérologie, estime le chercheur.

Les lymphocytes T, qui sont des cellules immunitaires, « constituent une arme redoutable contre les cancers, puisqu’elles gardent en mémoire toutes les cellules anormales rencontrées et qu’elles peuvent vivre éternellement en se transformant en cellules souches », explique le chercheur. « D’où l’idée d’accroître leur activité antitumorale grâce aux peptides qui stimulent leur production. »

« Mais voilà, plusieurs chercheurs dans le monde essaient de mettre au jour ces peptides, les antigènes spécifiques des cellules cancéreuses. C’est que ceux-ci possèdent des propriétés qui permettent de les associer précisément à certaines tumeurs. Il serait donc possible d’améliorer les traitements d’immunothérapie en ciblant les cellules tumorales qui produisent ces peptides afin de les éliminer, sans nuire aux cellules saines. En vain. »

Céline Laumont a décidé « de regarder ailleurs, là où personne ne cherchait… Dans les séquences de notre ADN qu’on croyait non codantes (c’est-à-dire que leur fonction biologique n’est pas remplie par une protéine) ». « Étonnamment, les protéines immunogènes proviennent de séquences de l’ADN dont le rôle biologique était inconnu jusqu’à maintenant », affirme Claude Perreault.

« À ce jour, on pensait que tous les peptides présentés au système immunitaire étaient codés par moins de 2 % de nos gènes, ajoute-t-il. Le reste des séquences de notre ADN, soit 98 %, était considéré comme non codant. L’étude montre que la totalité de notre ADN peut produire des peptides immunogènes, qui sont reconnaissables par notre système immunitaire. »

« C’est une découverte majeure, car toutes les cellules cancéreuses ont un ADN anormal. La reconnaissance du soi est donc capitale pour détecter les cellules infectées et les supprimer tout en épargnant celles qui sont saines », explique le Dr Perreault. « Cette détection est possible grâce au système immunitaire, plus particulièrement aux lymphocytes T (pour “thymus”) ».

Une étude antérieure menée dans son laboratoire avec des souris a montré l’importance des lymphocytes T dans les traitements. « On s’est aperçu que ce qui permettait de guérir, c’était les lymphocytes T, mentionne-t-il. Si on les enlève, il n’y a pas de guérison. Leur absence décuple le taux de cancers spontanés. »

Chez l’humain, c’est la même chose. « Lorsqu’on regarde des biopsies de tumeurs cancéreuses, quel que soit le type de cancer, on constate qu’il y a une grande présence de lymphocytes T », souligne Claude Perreault.

Il y a 20 ans, personne ou presque ne l’aurait cru possible. Mais on peut désormais prédire la survie du patient en fonction de sa réponse immunitaire contre le cancer. « On fait une biopsie et l’on compte le nombre de lymphocytes T. Plus leur nombre est élevé et plus la réponse immunitaire est grande », dit le Dr Perreault. Le taux de survie 15 ans plus tard s’élève à 90 % chez ceux qui ont une forte réponse immunitaire, alors qu’il se situe à moins de 20 % pour les autres.

Des études exploratoires ont montré que la simple injection d’un stimulant au système immunitaire donne un meilleur taux de survie que la chimiothérapie. « Ce stimulant est analogue à ce qu’on appelle un “adjuvant” dans un vaccin, précise Claude Perreault. Si le simple fait d’injecter l’équivalent d’un adjuvant a un effet positif sur la maladie, imaginez ce qu’on pourrait faire si l’on avait le deuxième composant, soit l’antigène, pour mettre au point un vaccin. On devrait pouvoir guérir pratiquement tous les cancers ! »

Le professeur Perreault présentera le 3 février (pavillon Marcelle-Coutu, de 7 h à 8 h 30), à l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, une conférence « sur l’extraordinaire capacité des lymphocytes T à stimuler notre système immunitaire ».

Animation interactive sur le site de l’Université de Montréal : Comment la vaccination pourrait protéger du cancer.

Pour plus d’informations sur l’immunothérapie pour le traitement du cancer, voyez les liens plus bas.

Psychomédia avec source : Université de Montréal.
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Sophie la Girafe dans la tourmente

De la moisissure dans Sophie la Girafe ?

La célèbre Sophie la Girafe se retrouve au cœur d’une polémique lancée par les parents sur les réseaux sociaux. Ce jouet culte depuis plus de 50 ans, permettant aux jeunes enfants de faire leurs dents, serait sujet à la moisissure. Les parents sont inquiets.

De la moisissure dans Sophie la Girafe ?

C’est la découverte qu’une maman a fait en nettoyant le célèbre jouet en gomme naturelle. Cette maman, alors qu’elle nettoyait le jouet a senti une désagréable odeur de moisissure provenant du jouet. Pour être certaine de ce qu’elle a senti, elle ouvre le jouet et découvre avec stupeur la présence de moisissure à l’intérieur.

Par réflexe, pour en informer les autres parents, elle poste les photos sur les réseaux sociaux. Le mouvement prend de l’ampleur, les autres parents faisant de même.

Pas de grand risque de santé avec la moisissure

Pour Vulli qui fabrique le jouet, s’est voulu rassurant rappelant la composition 100 % de gomme naturelle inoffensive pour la santé des enfants. La société a également rappelé « les conditions de nettoyage qui doivent être attentivement respectées ».

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Les produits homéopathiques liés aux décès de bébés contenaient des quantités variables de belladone

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a annoncé, le 27 janvier, que son analyse de laboratoire a révélé des quantités variables de belladone, une substance toxique, dans certains comprimés de dentition homéopathiques, dépassant parfois de loin la quantité indiquée sur l’étiquette.

L’agence avise les consommateurs que les comprimés de dentition homéopathiques contenant de la belladone posent un risque inutile pour les nourrissons et les enfants et leur recommande de ne pas utiliser ces produits.

Deux marques sont concernées. Le fabricant de la marque Hyland n’avait pas encore consenti, le 27 janvier, à retirer ses produits des tablettes alors qu’un fabricant dont trois produits étaient distribués par CVS a déjà retiré ses produits en novembre 2016.

Les produits de dentition homéopathiques ne sont pas évalués ou approuvés par la FDA pour ce qui est de leur sécurité ou de leur efficacité, souligne l’agence dans son communiqué. Elle n’a connaissance, mentionne-t-elle, d’aucun bénéfice démontré de ces produits qui allèguent sur leur étiquette soulager les symptômes de la dentition chez les enfants.

Les consommateurs devraient consulter immédiatement un médecin si leur enfant présente des convulsions, une difficulté à respirer, une léthargie, une somnolence excessive, une faiblesse musculaire, des bouffées de chaleur, une constipation, une difficulté à uriner ou de l’agitation après l’utilisation de produits de dentition homéopathiques.

La FDA a alerté sur ces produits en septembre 2016 après avoir reçu des rapports d’événements indésirables. Dix décès de bébés et 400 événements indésirables avaient été signalés, ont rapporté les médias.

Psychomédia avec source : FDA.
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Certains antibiotiques ont des effets secondaires persistants et incapacitants, met en garde Santé Canada

Santé Canada a averti, le 23 janvier, de l’existence d’effets secondaires persistants et incapacitants des antibiotiques de la famille des fluoroquinolones qui inclut la ciprofloxacine (Cipro), la lévofloxacine, la moxifloxacine (Avelox), la norfloxacine et l’ofloxacine.

Les fluoroquinolones sont autorisées au Canada pour le traitement de plusieurs types d’infections bactériennes, notamment des voies urinaires et des voies respiratoires.

Environ 3,1 millions d’ordonnances de fluoroquinolones sont exécutées annuellement au Canada.

L’examen effectué par Santé Canada portait principalement sur des effets secondaires graves connus, notamment les tendinites/tendinopathies (inflammation des tendons), neuropathies périphériques (lésions ou troubles touchant les nerfs), aggravation d’une myasthénie grave (une maladie auto-immune chronique), hypersensibilité et réactions cutanées graves, troubles mentaux, dépression et suicide/automutilation, convulsions (crise convulsive), troubles cardiovasculaires, phototoxicité (sensibilité à la lumière) et troubles de la vision.

Santé Canada a conclu que certains des effets secondaires connus peuvent, dans de rares cas, être persistants (subsistant 30 jours ou plus après la fin du traitement) et incapacitants. Ce sont notamment :

  • des tendinites/tendinopathies (inflammation ou troubles des tendons) ;
  • des neuropathies périphériques (altérations ou troubles touchant les nerfs) ;
  • des troubles du système nerveux central (liés à des troubles du cerveau).

En juillet 2016, la Food and Drug Administration (FDA) américaine estimait que les effets secondaires graves associés aux fluoroquinolones surpassaient généralement les bénéfices pour les patients atteints de sinusite aiguë, bronchite aiguë et infections des voies urinaires non compliquées qui ont d’autres options de traitement.

Psychomédia avec sources : Santé Canada, FDA.
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