Une saisie de 10 millions de médicaments contrefaits

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Le trafic de faux médicaments est malheureusement en plein essor. Un véritable fléau mondial contre lequel les autorités sanitaires tentent de lutter par tous les moyens. Selon plusieurs études récentes, ce marché en pleine expansion représente plusieurs milliards d’euros de chiffre d’affaire.

Aujourd’hui, dans le cadre d’une vaste opération internationale menée dans 99 pays, Interpol a mis la main sur près de 10 millions d’unités de médicaments contrefaits et potentiellement mortels ! On estime à 41 millions de dollars la valeur de ces médicaments.

Cette opération baptisée «Pangea 6» a particulièrement ciblé les sites internet de vente de médicaments.

Elle a conduit à l’arrestation de 58 personnes et à la fermeture de 17 000 sites illégaux en à peine une semaine.

Interrogé par le Progrès de Lyon, Aline Plançon, sous-directeur du programme sur la criminalité pharmaceutique pour Interpol, a déclaré

«Les quantités saisies sont en augmentation de plus de 100% par rapport à l’opération précédente en 2012».


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Tous ces aliments dont on ne se méfie pas assez (et qui peuvent pourtant nous tuer)

On consomme certains d’entre eux sans se douter du risque que l’on court. Voici une liste non exhaustive de produits que vous ne regarderez plus de la même façon.

Les hommes sont capables de tout ignorer des règles de survie pourtant basiques. Nous poussons les limites de notre corps jusqu’à frôler la mort avec des exigences physiques (ultra-marathons dans le désert, record d’apnée sous l’eau) mais aussi gustatives. Quels sont ces aliments mortels que nous avons l’habitude de déguster ?

Nous avons tous dans notre entourage une personnage allergique aux cacahuètes. Gonflement de lèvres, urticaire, vomissements, nausées, toute personne allergique à l’arachide sait combien il peut être dangereux de manger une simple cacahuète. Il ne faut que quelques minutes pour voir apparaître les premières réactions. Selon Le Figaro, 500 000 Français seraient concernés, soit 1% de la population.

Peuvent-ils être aussi dangereux que les cacahuètes ? Selon l’American Academy of Pediatrics (AAP), la réponse est oui ! Il y a quelques années, l’organisation les a classés comme étant susceptible de provoquer des étouffements. La forme des hot dogs les rend surtout mortels pour les enfants. L’AAP a même recommandé que le hot dog adopte une nouvelle forme afin de sauver des vies ! 

Tout le monde aime la tarte à la rhubarbe, ou, moins acide, la tarte à la rhubarbe et aux fraises. Ce qu’il faut retenir quand on cuisine la rhubarbe, c’est utiliser seulement la tige, et jamais les feuilles vertes. Si elles sont consommées en quantités importantes, les feuilles de rhubarbe peuvent empoisonner, provoquer des convulsions et des problèmes respiratoires graves, d’après thefw.

Ce fromage italien de Sardaigne, qui signifie « fromage pourri » est connu pour être infesté par des larves vivantes. Il est amené à un stade ultérieur de fermentation par l’action digestive des larves de la mouche du fromage. Elles y engendrent un niveau avancé de (…)lire la suite sur Atlantico

Aliments industriels : les Français de plus en plus méfiants
Non, les carottes ne rendent pas aimables… Tous ces aliments à qui on prête des vertus qu’ils n’ont pas
Ces symptômes peu connus qui montrent votre manque de vitamines


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Saint Algue Syoss invente le soin capillaire effet top coat

Forte de son expertise professionnelle pour prendre soin des cheveux des femmes depuis plus de 30 ans, la marque Saint Algue s’inspire à présent de l’univers du vernis à ongles pour répondre aux besoins des cheveux ternes et en manque d’éclat.

Dotée de la technologue exclusive « Top coat », la nouvelle gamme Lumière Eclat enveloppe en effet la fibre capillaire endommagée d’un micro-voile transparent à l’effet vernis inédit.

Cette formule réflectrice de lumière agit dès le shampooing lequel nettoie en douceur sans alourdir et se poursuit avec l’après-shampooing qui permet de démêler sans effort et de lisser le cheveu.

La touche finale est apportée par l’Huile Sublimatrice de Lumière, un cocktail de micro-huiles légères (argan, marula, macadamia, amande, olive et sésame) qui nourrit en profondeur mais toujours sans alourdir.

A la clé, une brillance exceptionnelle jusqu’aux pointes. Une performance de qualité salon à la maison pour un prix accessible à toutes.

(Gamme Lumière Eclat, Saint Algue Syoss. Disponible en grandes et moyennes surfaces. Shampooing, flacon 500ml, ppi : 3,95 € ; Après-shampooing, flacon 500ml, ppi : 3,95 € ; Huile, flacon-pompe 100ml, ppi : 7,99 €)


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Grippe aviaire : le virus H7N9 aurait causé la mort d’un tiers des personnes hospitalisées

Le virus H7N9 de la grippe aviaire a entraîné la mort d’un tiers des personnes qui l’ont contracté. Quatre mois après sont apparition, l’heure est au premier bilan.

Cela fait quatre mois que la souche H7N9 du virus de la grippe aviaire a fait son apparition. Pour la première fois depuis la mi-février, la propagation du virus semble marquer le pas, en partie grâce à l’arrivée de la saison chaude en Asie. Les scientifiques du Centre chinois de prévention et de contrôle des maladies de Pékin souhaitent en profiter pour dresser un premier bilan, basé sur les données relatives aux admissions de personnes infectées dans les hôpitaux chinois.

Selon celles-ci, 131 personnes ont été infectées au 10 juin en Chine et 39 sont décédées, tandi que 14 sont encore hospitalisées et 78 ont pu être soignées. Ces données alliés aux premières informations montrent ainsi qu’un tiers des malades hospitalisés sont décédés. Néanmoins, ces chiffres pourraient être revus à la baisse compte tenu du peu de recul dont disposent les scientifiques depuis l’apparition des premiers cas et la découverte de la souche en février.

Une mortalité difficile à évaluer

Selon l’étude dont les résultats paraissent dans The Lancet, le risque de décès de la grippe H7N9 serait de 36% pour les cas nécessitant une hospitalisation, ce qui représente moins que celui lié à la souche H5N1 (estimé à 60%). Les chercheurs tempèrent ces résultats en soulignant toutefois que « H7N9 serait plus mortelle que la grippe porcine H1N1, à l’origine d’une pandémie en 2009 qui a tué 21% des personnes infectées ».

Reste que les estimations sur lesquelles se basent les scientifiques chinois tient compte des cas les plus sévères seulement, c’est à dire ceux qui ont nécessité une hospitalisation. En incluant les cas mineurs (fièvre et difficultés respiratoires sans nécessité d’hospitalisation) on obtient 1.500 à 27.000 personnes infectées supplémentaires et le risque de décès (…)
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Don d’organe : comment faire pour devenir donneur d’organes ?

Samedi, l’Agence de la Biomédecine a lancé une nouvelle campagne pour sensibiliser au don d’organes alors que le nombre de patients en liste d’attente augmente chaque année. Comment devient-on donneur d’organe ? Comment obtenir la carte de donneur ? Ou encore quel organe peut-être donné ?

Selon les dernières estimations, quelque 50.000 Français vivraient actuellement grâce à une greffe. En 2012, le pays a ainsi franchi le seuil symbolique des 5.000 opérations, avec 5.023 greffes d’organes réalisées, dont 3.044 du rein, 1.161 du foie, 397 du coeur, 322 du poumon, 72 du pancréas, 20 du coeur et des poumons et 7 de l’intestin.

Pour autant, le nombre de patients inscrits sur liste d’attente augmente chaque année et des personnes continuent de mourir, faute de recevoir un nouvel organe. C’est pourquoi il est si important de devenir donneur et d’en parler à ses proches, quel que soit son âge, afin qu’ils connaissent votre position. 

Quels sont les organes prélevés ?

Les organes les plus couramment donnés sont les reins, le foie, le coeur, les poumons, le pancréas. Mais il est parfois possible que d’autres tissus soient prélevés comme des parties de l’intestin, des os, de la peau, des tendons, des cartilages ou encore des artères. La cornée, partie transparente du globe oculaire, est aussi souvent prélevée. Néanmoins, l’oeil en lui-même n’est jamais retiré en vue d’une greffe. Par ailleurs, il est possible de prélever seulement certains organes selon les volontés de la personne.

Qui peut donner ? 

Aujourd’hui, il est possible de donner ses organes à tout âge et aucun état de santé n’est un obstacle à priori, contrairement au don du sang. Il n’existe ainsi pas de conditions de santé particulières à remplir pour donner. De même, un traitement médical ou des antécédents familiaux lourds n’empêchent pas de devenir donneur. 

Par exemple, s’il est vrai qu’un coeur est rarement prélevé (…)
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L’ancien président Nelson Mandela dans un « état critique »

JOHANNESBURG (Reuters) – Nelson Mandela est dans un « état critique », annonce dimanche soir le gouvernement sud-africain dans un communiqué.

Dans son précédent bulletin sur la santé de l’ancien président, samedi matin, le gouvernement le décrivait dans un état « grave mais stable ».

Nelson Mandela, qui est âgé de 94 ans, a été hospitalisé le 8 juin dans un hôpital de Pretoria en raison d’une nouvelle infection pulmonaire.

Kevin Liffey; Jean-Stéphane Brosse pour le service français


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PROGRAMME AcSé : LE DÉVELOPPEMENT DES THÉRAPIES CIBLÉES EN FRANCE

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L’innovation thérapeutique en cancérologie se concentre aujourd’hui essentiellement sur les thérapies ciblées. Leur objectif est de proposer des traitements médicaux innovants, adaptés à chaque patient et ciblant une anomalie moléculaire particulière identifiée dans leur tumeur. Ces médicaments freinent la croissance de la tumeur en s’attaquant aux mécanismes spécifiques par lesquels elle se développe et ciblent donc plus sélectivement les cellules cancéreuses.

Depuis 10 ans, ces médicaments ont profondément modifié le traitement et le pronostic de certains cancers. L’exemple en est l’imatinib qui a révolutionné le pronostic de certaines formes de leucémie.

Leur nombre est en constante augmentation : près de 800 molécules innovantes sont actuellement en phase d’essais cliniques précoces et une quinzaine ont reçu une AMM et sont utilisées actuellement en France pour des cancers présentant les mutations génétiques ciblées par ces molécules.

Le développement de ces thérapies a été rendu possible grâce aux progrès considérables de la biologie moléculaire qui a notamment permis de mieux comprendre le fonctionnement de la cellule cancéreuse. Ces travaux ont ainsi permis d’identifier certaines altérations génétiques (mutations, translocations, activations…) présentes au sein des tumeurs, des « cibles », puis de développer des molécules précisément dirigées contre celles-ci, les « thérapies ciblées ».

La caractérisation moléculaire de la tumeur devient ainsi un critère déterminant dans le choix de la stratégie thérapeutique, qui ne repose plus seulement sur le type et le stade de la maladie. Elle permet de prescrire un traitement aux seuls patients susceptibles d’en bénéficier. En agissant sur des mutations génétiques spécifiques, les thérapies ciblées constituent ainsi des traitements « sur mesure », qui préfigurent la mise en place d’une médecine de plus en plus personnalisée.

La connaissance moléculaire détaillée des tumeurs constitue en effet un atout capital pour expliquer pourquoi deux patients présentant la même pathologie peuvent répondre de manière différente à la même thérapie, et à l’inverse pourquoi deux cancers distincts peuvent être traités par un même médicament.

Les anomalies génétiques identifiées dans le cancer d’un organe donné peuvent être présentes dans des cancers développés dans d’autres organes, pour lesquels le
développement thérapeutique n’a pas été effectué et l’AMM n’a pas été demandée. Le programme AcSé vise à proposer et à sécuriser l’accès des patients à ces traitements, en dehors du cadre des AMM obtenues ou visées par les laboratoires pharmaceutiques.

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LE PROGRAMME AcSé EN PRATIQUE

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Le programme AcSé s’adresse à des patients atteints de cancers et en situation d’échec thérapeutique, dont l’état physique et l’évolution de la maladie permettent l’administration d’un nouveau traitement ayant un objectif d’efficacité thérapeutique. Ce programme est ouvert à tous les patients bénéficiaires de l’assurance maladie, y compris les enfants et les adolescents si des données de tolérance permettant de définir la dose recommandée sont disponibles.

Le programme AcSé se décline en essais cliniques, chaque essai portant sur un seul médicament ciblé, venant d’obtenir une AMM et dont le mécanisme d’action est susceptible de le rendre actif sur des cancers différents. Chaque essai concernera entre 200 et 400 patients selon la fréquence de l’anomalie ciblée dans les différents types de cancers. Les laboratoires développant le médicament mettront à disposition et distribueront gratuitement le traitement pendant toute la durée de l’essai.

Ces essais permettront de déterminer, si des signes d’efficacité probants sont observés, dans quelles nouvelles indications le médicament devrait être développé par le laboratoire. À l’inverse, ils permettront, si aucun signe d’efficacité n’est observé dans certaines tumeurs, d’éviter de nouveaux essais thérapeutiques inutiles.

Cancer de la prostateTout essai clinique s’inscrivant dans le programme AcSé répondra aux exigences réglementaires de la recherche impliquant la personne et respectera, notamment, les modalités suivantes :

– le promoteur devra être une institution académique française ;
– les centres investigateurs sont possiblement les 250 établissements autorisés pour l’activité « traitement médical du cancer » disposant des capacités à réaliser de la recherche clinique et couverts par des attachés de recherche clinique de cancérologie ou des équipes mobiles de recherche clinique. Les centres ouvriront au fur et à mesure des nécessités d’inclusion ;
– les critères d’inclusion des patients seront les suivants : un patient présentant une tumeur solide ou hématologique différente de l’indication du dossier de l’AMM ; les patients mineurs si des données de toxicité et de pharmacocinétique sont disponibles pour définir la dose recommandée ; la présence de l’anomalie génétique ciblée par le médicament dans la tumeur quelle que soit l’histologie ou la cytologie initiale ; une maladie localement avancée, en échec des options thérapeutiques validées et pour des patients ayant une espérance de vie supérieure à 3 mois ; l’absence d’autre essai clinique actif en France avec cette thérapie dirigée sur la même cible dans laquelle le patient pourrait être inclus.

– la méthodologie est celle d’un essai de phase 2 permettant de juger de l’efficacité du traitement ;
– la stratification initiale par organe d’origine de la tumeur et type histologique pour permettre l’analyse en sous-groupes, et incluant un groupe « autres tumeurs » permettant une inclusion de tumeurs rares ;
– des règles d’arrêt strictes en cas de toxicité et/ou en cas d’absence d’effet après un nombre prédéfini de cycles et de patients inclus (nombre défini par la méthodologie statistique).

Le premier essai sera coordonné par UNICANCER et cofinancé par la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer. Il concernera le crizotinib.

AcSé crizotinib (lancement prévu dans les prochains mois) : le crizotinib est un médicament ayant obtenu une AMM en France en 2012 pour les patients atteints d’un cancer du poumon et dont la tumeur présente une altération génétique ciblée par ce médicament. Cette anomalie et d’autres ciblées par le crizotinib sont retrouvées dans plus de 10 pathologies différentes notamment dans certaines formes de lymphomes, de cancers colorectaux, de cancers du sein, de neuroblastomes… Ce médicament sera donc proposé à des patients, adultes et enfants, atteints par ces pathologies et chez lesquels l’anomalie génétique ciblée par le crizotinib aura été identifiée. Ce médicament est commercialisé par le laboratoire Pfizer qui mettra à disposition des centres le médicament gratuitement pendant toute la durée de l’essai clinique. UNICANCER est le promoteur de ce premier essai. Cet essai est cofinancé par la Fondation ARC pour la recherche sur le cancer.

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BigBrain : le cerveau humain en 3D

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Une modélisation du cerveau en trois dimensions réalisée par une équipe germano-canadienne a été présentée dans la revue Science du 21 juin comme un outil d’observation anatomique révolutionnaire.

Grâce au BigBrain mis au point par des chercheurs canadiens et allemands, il est désormais possible de plonger au cœur du cerveau humain. Certes, il existe déjà des représentations du cerveau à l’échelle macroscopique, le BigBrain est le premier qui permette d’accéder à des détails microscopiques.

Katrin Amunts et ses collègues de l’Institut de neuroscience et de médecine de Juliers, en Allemagne, ont découpé en très fines tranches le cerveau d’une femme âgée de 65 ans contenu dans un bloc de paraffine pour obtenir cette modélisation de référence à haute résolution.

Les chercheurs ont utilisé un appareil de coupe de précision généralement employé en biologie pour préparer les échantillons analysés au microscope, le microtome, qui leur a permis d’obtenir des tronçons d’une vingtaine de micromètres d’épaisseur, soit celle d’une feuille d’aluminium alimentaire. Le cisaillage de l’ensemble du cerveau a au final généré près de 7400 tronçons.

BigBrainChaque coupe a ensuite été numérisée. Pour garantir des images d’une qualité optimale, celles-ci ont été scannées à des définitions atteignant 143 millions de pixels, alors qu’un appareil photo numérique dépasse rarement 25 millions de pixels. Le volume total de stockage nécessaire avoisine ainsi un téraoctet !

Les différentes coupes ont été colorées afin de rendre plus visibles les stuctures cellulaires. Par traitement informatique, toutes ces images ont été à nouveau assemblées pour reconstituer un cerveau en trois dimensions sur ordinateur. Ce travail minutieux a abouti à une précision de l’ordre du micromètre, là où les techniques d’imagerie par IRM ne permettaient pas de dépasser le millimètre.

Ce nouveau modèle doit conduire à une délimitation des aires du cerveau plus fine que sur les cartographies existantes. « Un cerveau de référence de cette précision devient d’autant plus intéressant que des IRM utilisant un champ magnétique plus puissant sont en cours de développement, pour produire des images plus détaillées » souligne le professeur Olivier Godefroy, chef du service de neurologie au CHU d’Amiens et membre du Collège des enseignants de neurologie. BigBrain pourrait donc devenir le standard de référence pour la comparaison des clichés d’autres cerveaux.

Source : Cité des Sciences

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