Archives de catégorie : DOSSIERS

Les médecins doivent prescrire plus souvent une activité physique à leurs patients

Les médecins doivent prescrire plus souvent une activité physique à leurs patients

Le 19 octobre 2018

C’est sans doute le meilleur des remèdes et pourtant les médecins ne le prescrivent pas encore assez : le sport. La Haute Autorité de Santé (HAS) vient de leur rappeler.

Les médecins doivent-ils prescrire une activité physique ?

Est-ce le rôle d’un médecin traitant de prescrire une activité physique à leurs patients ? Cela fait partie de leurs compétences mais peu d’entre eux la mettent en pratique. Et pourtant, on sait depuis longtemps maintenant qu’une activité physique régulière d’intensité variable selon les profils, permet de se maintenir en forme quel que soit son âge

Plus encore, elle serait le moyen de réduire les effets de certaines maladies et de baisser peu à peu, dans certains cas, les traitements médicamenteux associés. Voilà pourquoi la Haute Autorité de Santé a rappelé aux médecins traitants le 18 octobre de prescrire ce sport-santé sans modération à leurs patients. 

Cancers, diabète, hypertensio artérielle

Pour réduire certaines maladies comme les maladies cardio-vasculaires, les cancers du côlon, de la prostate ou du sein, la dépression et l’anxiété, réduire l’hypertension artérielle, contrôler le diabète, le sport serait la meilleure des solutions. En plus les contre-indications sont rares et les effets secondaires sont plutôt bénéfiques. Seul frein ? Le non-remboursement pas l’Assurance-maladie.

Pas besoin de courir un marathon : dix minutes d’activité par jour suffisent surtout pour les personnes âgées ou fragiles. Monter les escaliers, s’étirer, faire du vélo, marcher un peu plus au lieu de prendre sa voiture, jardiner… De son côté l’OMS recommande trente minutes d’activité d’intensité modérée pour se maintenir en forme. 

Maylis Choné

À lire aussi : L’activité physique? Tout simplement essentielle

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Vaccination contre les papillomavirus : les jeunes filles auraient des relations sexuelles plus tardives

Vaccination contre les papillomavirus : les jeunes filles auraient des relations sexuelles plus tardives

Le 18 octobre 2018.

Le vaccin Gardasil, mis en circulation en 2006, et qui protège contre les papillomavirus, fait l’objet de nombreuses réticences de la part de parents qui s’inquiètent de voir leur fille avoir des rapports sexuels plus tôt. Or, une nouvelle étude canadienne prouve exactement le contraire. 

Le vaccin contre les papillomavirus inquiète les parents

Alors que des virus sexuellement transmissibles sont responsables de 4.200 nouveaux cancers ano-génitaux chaque année et de 1.450 cancers ORL en France, beaucoup de parents refusent encore de faire vacciner leurs filles. Ils craignent en effet que ces dernières aient des rapports sexuels plus tôt ou non protégés. 

Or une nouvelle étude publiée dans le Canadian Medical Association Journal, s’est basée sur la sexualité de près de 300.000 jeunes filles canadiennes en 2003, en 2008 (année où toutes les jeunes filles furent vaccinées contre le papillomavirus) et en 2013. Les résultats sont probants : les rapports sexuels avant l’âge de 14 ans sont passés de 21% en 2003 à 18% en 2013. Quant à la prise d’une contraception orale pour les filles sexuellement actives, elle a également augmenté de 9% pour la même période.

Les rapports sexuels diminuent avant 14 ans

Les conclusions de l’étude sont claires : la vaccination contre le papillomavirus (HPV) n’a pas provoqué de comportements sexuels négatifs chez les adolescentes. A contrario, ce vaccin les a incitées à se protéger et à prendre davantage conscience du risque.

« Nous pouvons affirmer que le vaccin HPV n’augmente pas les comportements à risque chez les adolescents », conclue Elizabeth Saewyc, l’un des auteurs de l’étude. « En fait, les jeunes font aujourd’hui de meilleurs choix pour leur santé qu’ils ne l’on jamais fait ». 

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Les papillomavirus

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Opiacés : ces antidouleurs seraient la première cause de mort par overdose en France

Opiacés : ces antidouleurs seraient la première cause de mort par overdose en France

Le 17 octobre 2018

Selon les derniers chiffres publiés par le quotidien Le Monde, les antidouleurs contenant des dérivés d’opium seraient aujourd’hui la première cause de mortalité par overdose en France.

500 décès chaque année causés par les opiacés en France

Nos confrères du Monde ont publié le 15 octobre dernier des chiffres très inquiétants sur la consommation qui a explosé ces dernières années en France des opiacés, ces antidouleurs à base de dérivés d’opium, et leurs conséquences sur la santé. 88 % de hausse depuis 2004 pour les opioïdes forts et 1.950 % d’augmentation pour l’oxycodone.

Selon le Président de la commission des stupéfiants et des psychotropes de l’Agence nationale de la sécurité des médicaments (ANSM), Nicolas Authier, « avec plus de 500 décès chaque année, les médicaments opiacés constituent la première cause de morts par overdose en France. Par comparaison, l’héroïne a tué 90 personnes en 2016, la méthadone 140 », peut-on lire dans les colonnes du Monde.

Le recours aux antidouleurs doit être strictement encadré

Le problème des opiacés est l’accoutumance qu’ils créent chez les consommateurs de ces antidouleurs. Nos confrères du Monde racontent l’histoire d’une jeune femme de 34 ans, à qui les médecins avaient prescrit un traitement d’antalgiques codéinés, pour soulager ses douleurs à la suite d’une intervention chirurgicale il y a 6 ans. « Tout de suite j’ai accroché… La diminution de la douleur mais aussi un apaisement corporel, un bien-être. Mais j’ai arrêté à la fin du traitement », explique-t-elle. 

Mais la jeune femme est aujourd’hui devenue dépendante des opiacés, puisqu’elle prend, depuis 2 ans et chaque jour, la dose maximale autorisée. « C’est quelques mois plus tard, lors d’une crise de névralgie que j’ai recommencé ». « C’est devenu une béquille. Si j’avais mal quelque part, ou un coup de mou, ça me faisait du bien. D’abord de façon épisodique, puis régulière, puis tous les jours. En quelques mois, je suis devenue accro. Sans produit, j’étais en manque : des bouffées de chaleur, des douleurs musculaires, des pics de tension… ». Pour Nicolas Authier, « une vigilance extrême s’impose » pour la consommation d’opioïdes forts. 

Aurélie Giraud

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Près d'un adulte sur dix souffre de dépression

Près d'un adulte sur dix souffre de dépression

Le 16 octobre 2018.

Une étude du Bulletin épidémiologique hebdomadaire vient de publier les derniers chiffres concernant la dépression en France : un adulte sur dix (9,8%) souffre de ce trouble.

Les chiffres inquiétants de la progression de la dépression en France

Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) a publié,  le 16 octobre 2018, les derniers chiffres concernant la progression de la dépression en France. Résultats, près d’un adulte sur dix, âgés entre 18 et 75 ans, souffre ou a souffert de ce trouble au cours des douze derniers mois.

« C’est deux points de plus par rapport à 2010, après une période de stabilité entre 2005 et 2010 », note le BEH dans son rapport. Le plus inquiétant, c’est la progression de cette maladie qui touche de plus en plus, toujours selon l’étude du BEH, les étudiants, les femmes (13%) et les personnes à faibles revenus.

Des symptômes qui ne trompent pas

Attention, quand on parle de dépression, on est loin du simple épisode de déprime passager tout à fait normal. La dépression est caractérisée par des périodes durant au minimum quinze jours au cours desquelles la personne ressent une tristesse profonde, des angoisses, un désintérêt pour de nombreuses choses, des troubles du sommeil, des pensées morbides et des variations de poids. 

Peur de perdre son emploi, menaces physiques ou verbales, divorce… sont des facteurs potentiels du déclenchement d’une dépression. Cette dernière est d’ailleurs responsable de près de 45% des arrêts de travail. En tout, 1,3 million de patients ont été pris en charge dans un établissement autorisé en psychiatrie, soit 3,5% de plus qu’en 2010.

Maylis Choné

À lire aussi : Est-ce une déprime passagère ou une dépression ?

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Qualité de vie : les Français estiment qu’elle s’est dégradée en 20 ans

Qualité de vie : les Français estiment qu’elle s’est dégradée en 20 ans

Le 15 octobre 2018

Selon une récente étude menée de 1995 à 2016, les Français estiment que leur qualité de vie s’est dégradée en 20 ans. Des résultats à nuancer toutefois en fonction de l’âge.

Une enquête sur l’appréciation des patients de leur bien-être physique, social et psychologique

Une récente étude, publiée le 9 octobre dans le Journal of Epidemiology and Community Health et relayée par nos confrères du Figaro, révèle que les Français considèrent que leur qualité de vie s’est dégradée en 20 ans. Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont utilisé le même questionnaire sur la qualité de vie 3 fois sur une période de 20 ans, en 1995, 2003 et 2016. 

La particularité de ce questionnaire est qu’il est basé sur « l’appréciation des patients et non sur des mesures purement médicales » explique au Figaro Joël Coste, professeur d’épidémiologie et de biostatistique à l’université Paris-Descartes et co-auteur de l’étude. Ce qui permet d’intégrer « des aspects physiques, psychologiques et sociaux » à cette étude basée sur la santé en général, précise-t-il. Les personnes sondées ont été interrogées sur leur état de fatigue, leur capacité à faire des mouvements physiques, les douleurs ressenties ou encore sur le fait d’être enthousiaste, nerveux ou heureux.

Les seniors seraient plus heureux que les jeunes travailleurs

Il ressort de cette étude que les travailleurs âgés de 35 à 54 ans seraient les plus touchés par cette dégradation de leur qualité de vie. Pour le professeur Coste, « On peut y voir un impact de la crise de 2008 qui a frappé de plein fouet ces catégories de la population. (…) Chez les jeunes, la dégradation déjà amorcée entre 1995 et 2003 s’accélère depuis ».

À l’inverse, les personnes âgées de 65 à 84 ans ont noté une amélioration globale de leur qualité de vie. « Chez les plus de 65 ans on voit plutôt une stagnation ou des évolutions positives selon les dimensions considérées » explique le professeur.

Aurélie Giraud

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Le cancer de la bouche pourrait être lié à la pollution de l 'air

Le cancer de la bouche pourrait être lié à la pollution de l 'air

Le 12 octobre 2018.

Une étude récente menée par des chercheurs de Taïwan vient de prouver que les différents cancers de la bouche, en nette augmentation, pourraient être liés à la pollution atmosphérique.

La pollution de l’air cause de nombreux cancers de la bouche

Une étude inédite menée par des chercheurs de Taïwan et publiée dans le Journal of Investigative Medicine révèle le lien inquiétant entre la pollution dans l’air – et plus particulièrement la présence de particules fines PM2,5 – et le nombre croissant de cancers de la bouche dans les pays les plus pollués : l’Océanie, l’Amérique du Nord et l’Europe trônent en tête du classement. 

« Cette étude, avec un échantillon important, est la première à associer le cancer de la bouche aux particules fines PM2,5 (…) » explique le Dr Michael McPhaul, coauteur de l’étude avant d’ajouter « Ces résultats s’ajoutent aux preuves de plus en plus nombreuses des effets néfastes des PM2,5 sur la santé humaine ». Jusqu’à présent, on savait que ce type de cancer pouvait être causé par le tabac, l’alcool, le papillomavirus humain et la mastication du bétel dans certaines zones de la planète. La pollution s’ajoute à la liste.

L’étude porte sur un échantillon très large

Les scientifiques se sont lancés dans une étude portant sur un échantillon de 482.659 hommes de 40 ans et plus et sur les données concernant la qualité de l’air récoltées dans 66 stations de surveillance de Taïwan en 2009. Tous les autres facteurs de risque cités plus haut ont été écartés. Parmi les volontaires, classés en quatre groupes selon leur lieu de résidence et le niveau d’exposition aux particules fines, 1.6217 cas de cancer de la bouche ont été dénombrés.

Les résultats sont très clairs : les hommes exposés aux plus hauts niveaux de PM2,5 (lorsque les concentrations sont supérieures ou égales à 40,37 μg/m3) avaient 43% en plus de risque de développer un cancer de la bouche par rapport aux hommes vivant dans les zones dont la concentration de particules fines avoisinait les 26,74 μg/m3 de PM2,5.

Maylis Choné

Pollution de l’air : des effets sur la santé

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Éjaculer plus de 4 fois par semaine augmenterait le risque de cancer de la prostate

Éjaculer plus de 4 fois par semaine augmenterait le risque de cancer de la prostate

Le 12 octobre 2018.

Une récente étude chinoise, publiée dans le Journal of Sexual Medecine, révèle un lien entre le nombre élevé d’éjaculations par semaine et le risque de développer un cancer de la prostate.

Diminuer la fréquence d’éjaculations hebdomadaire réduit les risques de cancer de la prostate

Alors que de nombreuses études prouvaient que l’éjaculation était un moyen de prévention du cancer de la prostate, cette nouvelle recherche vient contredire ces affirmations. Pour arriver à cette conclusion, les recherches se sont basées sur 22 études avec la participation de 55.490 personnes.

Les chercheurs ont donc observé que pour réduire les risques de cancer de la prostate, la fréquence d’éjaculation devrait se situer entre 2 et 4 éjaculations par semaine. L’hyperactivité sexuelle n’est donc plus protectrice.

D’autres facteurs sont pointés du doigt : le nombre de partenaires sexuelles et l’âge au premier rapport

Plus les partenaires sexuelles sont nombreuses, plus les hommes se trouvent exposés au risque de cancer de la prostate. Avoir plus de 10 partenaires féminines multiplierait  par 1,10 le risque de contracter le cancer de la prostate. Alors que reculer l’âge du premier rapport sexuel à un âge avancé, diminuerait le risque de 4% tous les cinq ans.

Selon les chercheurs, ces résultats peuvent s’expliquer par une plus grande exposition aux infections sexuellement transmissibles (IST). Ces nouveaux facteurs ne sont donc pas à prendre à la légère quand on sait que le cancer de la prostate touche environ 50.000 hommes en France chaque année. 

Anne-Flore Renard

Lire notre fiche : Le cancer de la prostate

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Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Un sexe de petite taille aurait des conséquences négatives sur la fertilité

Le 11 octobre 2018.

Une étude américaine, réalisée par des chercheurs de l’université d’Utah, révèle une corrélation entre la taille du pénis et l’infertilité.

Un sexe plus court pourrait provoquer des problèmes de fertilité

Cette nouvelle enquête, menée auprès de 815 participants, révèle que la taille du pénis aurait un impact sur les perspectives de fertilité. Ces résultats ont été présentés au cours de la conférence de l’American Society for Reproductive Medicine, qui s’est tenue jusqu’au 10 octobre dernier.

Les scientifiques ont démontré que les hommes présentant des signes d’infertilité avaient un pénis d’environ 12,5 cm en érection, contre une moyenne de 13,4 cm pour les hommes fertiles. Une différence d’1 centimètre seulement changerait ainsi la donne. Selon le directeur de l’étude, le docteur Austen Slade, « ce n’est peut-être pas une différence frappante mais il y a une réelle signification statistique ».

La taille du pénis serait-elle véritablement un handicap pour concevoir ?

Ces résultats sont à interpréter avec prudence. En effet, l’étude ne donne pas d’indication sur la taille « minimale » d’un pénis qui pourrait engendrer l’infertilité, et se garde bien également de donner des explications sur le fait qu’un pénis plus court serait moins fertile.

La fertilité masculine est en baisse constante depuis de nombreuses années. D’autres études révèlent que des facteurs tels que l’environnement, la consommation de tabac ou le stress, auraient également un impact sur la possibilité d’avoir un enfant.

Anne-Flore Renard

À lire aussi : Le micropénis

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Cabines de bronzage : le risque de cancer est avéré

Cabines de bronzage : le risque de cancer est avéré

Le 10 octobre 2018.

Dans un avis publié mercredi 10 octobre, l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses) demande la fermeture des cabines de bronzage, en raison du risque de cancer « avéré ». 

Les cabines de bronzages augmentent le risque de cancer de la peau

En plus de l’accélération du vieillissement de la peau, « l’exposition aux rayonnements ultraviolets artificiels constitue un risque avéré de cancers de la peau » peut-on lire sur le site de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses), qui a rendu un avis sur les dangers du bronzage artificiel en cabines de bronzage mercredi 10 octobre. 

L’Anses explique que les cabines de bronzage « sont des lieux d’exposition à des sources intenses d’UV qui sont beaucoup plus riches en UVA (qui pénètrent plus profondément le dermendlr) que la lumière naturelle » et augmente ainsi le risque de cancer de la peau. Le recours au moins une fois dans sa vie aux cabines de bronzage entraîne une « augmentation de 15% du risque de développer un mélanome cutané. Ce risque de mélanome augmente de 75% quand l’utilisation d’appareils de bronzage artificiel débute avant l’âge de 35 ans » souligne par ailleurs l’agence.

L’Anses demande la fermeture des cabines de bronzage 

En 2005, l’Anses préconisait de ne pas s’exposer aux UV artificiels. Selon l’Agence, en juillet 2009 déjà, « le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) a classé l’ensemble du spectre UV (UVA, UVB, UVC) ainsi que les appareils de bronzage comme ‘cancérogène certain pour l’Homme’ ». 

L’Anses, qui soulignait en 2012 que la réglementation sur l’utilisation des cabines de bronzage « constituait une réponse partielle et insuffisante au regard du risque avéré de cancers cutanés », va aujourd’hui plus loin. Elle recommande aux pouvoirs publics de « prendre toute mesure de nature à faire cesser l’exposition de la population aux UV artificiels », c’est-à-dire très clairement la fermeture des cabines de bronzage, comme le demandent les dermatologues depuis 2015 ainsi que l’Académie de médecine. 

L’Anses rappelle enfin que l’exposition aux ultraviolets artificiels comme naturels représente un « facteur de risque majeur dans le développement des cancers de la peau » ; il est donc très important aussi de limiter son exposition au soleil.

Aurélie Giraud

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