Archives de catégorie : DOSSIERS

5 bonnes raisons de dévoiler ses sentiments aux gens qu’on aime

Le24/04/2016,

Attentats, haine de l’autre, addiction aux smartphones et aux réseaux sociaux… Nous vivons une époque difficile pour les rapports humains !

Pourquoi ne pas lever les yeux du téléphone, s’arrêter un instant pour aller dire à ceux qu’on aime, qu’on les aime ?

1/ Au cas où ils ne le sauraient pas (ce n’est pas forcément évident !)

2/ Parce que personne n’est éternel

3/ Parce que le dire rend heureux celui qui l’entend et celui qui le dit !

4/ Parce que rien ni personne n’est acquis

5/ Pour que, dans les moments difficiles, ils sachent qu’ils ne sont pas seuls

Alors, allez-y ! Dites-leur !

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Mon coach douleur, une application pour améliorer son quotidien

Le 23/04/2016.

Accompagner les personnes qui souffrent d’un cancer, c’est la mission que s’est donnée le laboratoire Takeda, qui a lancé une nouvelle application mobile pour gérer la douleur au quotidien.

Venir apaiser les patients

Le nombre de personnes victimes de cancer ne cesse d’augmenter : en 2015, le nombre de nouveaux cas de cancer en France a été estimé à 385 000. Et 1 patient sur 2 souffre de douleurs cancéreuses. C’est pourquoi le laboratoire Takeda a lancé une nouvelle application mobile, pour permettre aux patients d’être accompagnés face à cette douleur. Objectif : éviter l’isolement, la dépression et le stress liés à la maladie.

1ère application destinée aux patients souffrant de douleurs cancéreuses, et aux professionnels qui les prennent en charge, « Mon coach douleur » peut devenir un outil très utile. Le patient peut décrire sa douleur, sa durée, ses répercussions sur son quotidien, noter la prise de traitements, gérer ses rendez-vous médicaux et obtenir des informations sur la douleur liée au cancer ou sur les cancers eux-mêmes.

Une application gratuite

Cette application gratuite a été pensée par des médecins, des cancérologues, des radiothérapeutes et des spécialistes de la douleur, afin de répondre aux mieux aux demandes des patients. Grâce à cet outil, le patient pourra décrire avec précision à son médecin la douleur qu’il a ressentie, il pourra même imprimer la synthèses de ce qu’il a vécu pour analyser avec précision son état jour après jour.

Souffrir quand on est malade peut aggraver une situation déjà compliquée, ne pas comprendre sa douleur peut provoquer beaucoup d’anxiété et être extrêmement nuisible à terme. L’idée de cette application est donc plutôt intéressante et permettra à de nombreux malades de se sentir moins seuls et mieux accompagnés dans leur parcours du combattant.

À lire aussi : Quand on a mal tout le temps…

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Implant cérébral : un tétraplégique retrouve l’usage de son bras

Le 22/04/2016

Un jeune américain, tétraplégique depuis 2010 à la suite d’un malheureux plongeon qui lui a brisé le coup, a réussi à reprendre une partie du contrôle de son bras, grâce à un implant cérébral. Une prouesse scientifique riche de promesses.

Une avancée scientifique spectaculaire

Jamais Ian Burkhart, un Américain de 24 ans paralysé depuis six ans, n’aurait pu penser pouvoir à nouveau se servir de son bras et de sa main. Et pourtant… Des chercheurs de l’Institut de technologie Battelle Memorial à Columbus et de l’Université d’État de l’Ohio, sont parvenus à mettre au point un dispositif capable de rétablir la communication entre son cerveau et ses muscles, sans passer par la moelle épinière.

Pour cela, le jeune patient a accepté de se faire placer dans le cerveau un implant composé de 96 électrodes. Cette petite puce de 1,5 millimètre, placée dans le cortex moteur du cerveau, transmet les pensées du patient à un logiciel, qui les décode et les envoie à des bracelets qui stimulent électriquement les muscles du bras.

Cette avancée totalement révolutionnaire n’est pas de la science fiction. Ian Burkhart est parvenu à se servir de son bras, pour jouer à un jeu vidéo ou pour transvaser de l’eau d’une bouteille à un verre.

Aider les personnes à retrouver le contrôle

Pour la communauté scientifique, cette expérimentation est riche de promesses. « Cela ouvre vraiment beaucoup de nouvelles portes vers des mouvements plus complexes », a précisé le Pr Chad Bouton, lors d’une conférence de presse du Feinstein Institute pour la recherche médicale aux États-Unis. « Ce que nous cherchons à faire, c’est aider ces personnes à retrouver le contrôle sur leur corps. »

Ces expérimentations sont vertueuses pour les patients, puisqu’à force d’exercices, leurs muscles atrophiés se renforcent et deviennent plus sensibles à la stimulation électrique. Prochaine étape pour les chercheurs : débarrasser Ian Burkhart des fils qui relient les bracelets de son bras à l’ordinateur et la puce de son cerveau. Peut-être pourra-t-il, à terme, retrouver l’usage de ses deux bras…

À lire aussi : Cécité : le premier implant rétinien posé avec succès

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Courir est bon pour le mental, voici pourquoi

Le 21 avril 2016.
 

Courir est bon pour la santé mentale, de nombreuses études le prouvent. Encore faut-il savoir courir, et ne pas trop forcer. 

Il faut courir au moins une demie-heure 

D’abord, il faut savoir courir. Courir vite, mais pas longtemps, ne sert à rien ! En effet, ce n’est qu’au bout d’une demie-heure de course à pied, à un rythme raisonnable pour ne pas être essoufflé trop rapidement, que le corps se met à sécréter des endorphines.

Les endorphines sont des hormones sécrétées par notre organisme dans certaines situations, comme par exemple, pendant et après une relation sexuelle de qualité, ou donc, pendant et après un effort sportif. Ces endorphines inondent le cerveau et… lui font du bien ! C’est ça, cette sorte d’extase, ou en tout cas, de bien-être, qui survient après une étreinte ou un bon jogging. Par ailleurs, pendant la course à pied, pour peu que l’effort demandé soit tout de même suffisamment exigeant, l’esprit est concentré sur l’objectif à atteindre, sur la respiration, sur le rythme. On profite également du paysage, de l’air que l’on respire… 

 

Trop courir peut être pire que ne pas courir ! 

Mais attention ! Trop courir peut produire l’effet inverse ! Chez ceux qui en font trop, les endorphines sécrétées pendant et après l’effort ne suffisent pas à les contenter. Ils sont alors tentés de se remettre à courir, et ne trouvent plus l’extase ou le bien-être que le sport leur procurait avant. On pourrait dire « trop d’effort tue l’effort ». Ensuite, trop courir provoque toute une série de traumatismes : pieds, colonne vertébrale, muscles, tous ces organes souffrent d’être trop sollicités. Les pathologies liées à l’excès de sport ne sont pas une légende !

Si vous aimez courir, ou envisagez de vous y mettre, faites le progressivement, et avec modération ! 

À lire aussi : Sport et santé

 

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Ondes éléctroménagnétiques : dangers et solutions

Le 19 avril 2016.

Les ondes électromagnétiques sont-elles dangereuses ? En tout cas certaines personnes y sont sensibles. Une conférence à Paris fait le point sur les dangers réels, les idées reçues, et les solutions pour se protéger. 

Des solutions simples pour se protéger des ondes électromagnétiques

Jeudi 21 avril, une conférence dont PasseportSanté.net est partenaire fera le point sur les connaissances actuelles en matière d’éléctromagnétisme. Rappelons que nous baignons dans les ondes, que ce soit celles du four à micro-ondes, de nos smartphones, des WiFi domestiques, les lignes à haute tension, etc… 

Plusieurs études confirment que des personnes sont plus sensibles aux ondes que les autres, mais que nous sommes tous impactés par les effets de ces ondes, qui peuvent provoquer ou favoriser certaines maladies. 

Electromagnétisme : une conférence à Paris pour faire le point

La conférence en question aura lieu à 19h30 à l’Espace Notre Dame des Champs, 92 boulevard du Montparnasse, dans le 14e arrondissement. Le docteur Béatrice Milbert, et le journaliste scientifique Charles-Maxence Layet, résumeront les découvertes récentes en matière d’éléctromagnétisme, et les solutions pour se protéger. Entrée payante (9 euros). Renseignements et inscriptions : [email protected], 01 55 93 12 22.

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Voici la meilleure façon de se laver les mains

Le 18 avril 2016.

Plusieurs méthodes existent pour se laver les mains efficacement. Une étude a comparé ces différentes méthodes entre-elles, et désigné la plus efficace. 

Un lavage de mains efficace prend du temps 

Déjà, il faut accepter que se laver les mains prend du temps. La méthode la plus efficace, selon l’étude réalisée par des chercheurs anglais, et publiée dans la revue scientifique Infection Control & Hospital Epidemiology, prend 42,5 secondes. La méthode qui prend « seulement » 35 secondes est moins efficace. 

La méthode la plus longue est celle recommandée par l’OMS (organisation mondiale de la Santé), mais aussi, la plus efficace pour éliminer les microbes. Elle ne les élimine pas tous, loin s’en faut ! Mais elle en élimine plus que la méthode plus simple, en trois étapes, recommandée dans les hôpitaux américains. 

Le lavage de mains n’élimine pas tous les microbes

La méthode la plus efficace exige d’abord de se mouiller les mains entièrement avec de l’eau.

Ensuite, il faut se couvrir les mains de savon, en les faisant mousser. Puis, se frotter les mains l’une contre l’autre. Puis, se laver le revers de la main avec l’autre. Puis, se laver entre les doigts, en passant les doigts de l’autre main à l’intérieur. 

Les doigts font l’objet de soins particuliers. Il faut se laver l’arrière des doigts en les frottant dans la paume de l’autre main, pleine de savon. De même, le pouce, très utilisé, doit aussi être lavé en le frottant dans la paume de l’autre main. Enfin, on se lave la face des doigts restants, tout comme leur dos et le pouce, toujours en les frottant dans la paume de la main opposée. 

Tout cela prend moins de 45 secondes, si l’on procède méthodiquement ! Bien entendu, il faut rincer et sécher abondamment, après lavage des mains… Mais sachez en tout cas qu’un lavage des mains, même méthodique, ne réduit que de… 21 % le nombre de microbes qui se trouvent dessus ! 

À lire aussi : 9 gestes à adopter pour une bonne hygiène corporelle

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Epilation intégrale : ce qu’il faut savoir avant

Les femmes qui ont choisi l’épilation totale y voient de nombreux avantages, c’est doux, c’est c’est joli et ça sent bon. Lorsqu’on est jeune, l’épilation intégrale peut faire paraître le sexe plus mignon et plus juvénile, voire plus érotique. Encore faut-il savoir que selon l’étude engagée par Nad’s, 12 % des hommes seulement préfèrent l’épilation intégrale. Les femmes de moins de 25 ans s’épilent intégralement le pubis dans 45% des cas. Si on s’intéresse aux Françaises tous âges confondus, le chiffre tombe à 14%.
Le maillot brésilien ( le fameux triangle, sans les poils sur le côté ou sur les lèvres) plaît davantage aux hommes et aux femmes. Par ailleurs, au fil du temps, les tissus perdent de leur souplesse et de leur élasticité, y compris au niveau de la vulve. Les poils qui masquaient les lèvres ne sont plus là pour faire écran.

La question du plaisir

Certaines femmes vous diront que, totalement dépourvues de poils et « mises à nu » , elles voient leurs sensations augmenter, elles se sentent plus offertes, ce qui potentialise leur plaisir. Mais d’autres peuvent ressentir davantage les frottements sans leur petit coussinet velu pour amortir les frictions. C’est donc une affaire très personnelle.

 Un pubis à fleur de peau

La peau au niveau du pubis est plus épaisse que celle des muqueuses. Elle demeure toutefois plus fine que celle du ventre ou des cuisses. Le fait de la raser ou de l’épiler régulièrement peut donc finir par l’agresser si l’opération n’est pas effectuée correctement.
Conséquences : la peau à vif, des boutons parfois infectés et douloureux, des traces anciennes de petits abcès percés… Selon le Dr Marie-Claude Benattar, gynécologue, auteur du Petit manuel des soins intimes pour les femmes, « le rasoir crée des mini-entailles où s’engouffrent les microbes à l’origine de minuscules abcès purulents. L’épilateur électrique et la cire arrachent les poils et créent aussi des brèches. La crème dépilatoire qui dissout les poils s’avère la méthode la plus douce et la moins onéreuse. Mais attention au temps de pose et à la proximité des grandes lèvres qui peuvent facilement être brûlées. Même la tondeuse que beaucoup utilisent peut blesser. »

 Et le laser ?

L’épilation définitive au laser peut aussi entraîner des risques de brûlures voire de décoloration de la peau. Avec un médecin expérimenté, c’est heureusement peu fréquent. Le pigment qui colore les poils (la mélanine) absorbe la lumière laser dont la longueur d’onde est proche. La lumière est alors transformée en chaleur et la racine du poil détruite. Voilà pourquoi l’épilation laser est surtout efficace sur les poils pigmentés (noirs ou bruns). En cas de toison blanche, blonde ou de poils trop fins, il est inutile de tenter l’aventure.

L’épilation à la lumière pulsée utilise quasiment le même principe que le laser. Elle est pratiquée par les esthéticiennes en Institut de beauté. A cause de ses risques potentiels, la pratique a été réglementée, la cantonnant à un usage médical. En mars 2016, certains Instituts ont été condamnés par le tribunal de Paris à des amendes pour « pratique illégale de la médecine ».

 Une hygiène adaptée

Sur une peau totalement nue et sans poils, le savonnage devient plus agressif. Alors un seul mot d’ordre, se contenter de laisser couler l’eau savonneuse de la douche sur la peau, sans frotter le pubis ni appliquer de savon particulier pour la toilette intime. Le mieux est l’ennemi du bien. En se lavant une seule fois par jour de la sorte (et non deux ou trois fois), on respecte son écosystème vaginal. Après la toilette, mieux vaut porter une culotte à fond de coton pour éviter la macération et la transpiration.

A chacune donc de peser tous ces arguments en connaissance de cause avant de se lancer dans l’aventure.

10 raisons d’être heureux

Le 15/04/2016,

Vous pensez que vous serez plus heureux(se) lorsque vous aurez plus d’argent, lorsque vous aurez perdu du poids ou lorsque vous serez en vacances ?

Et si au contraire on avait tous des raisons d’être heureux, maintenant ?

1/ C’est vous qui décidez d’être heureux(se)

Être heureux dépend bien plus de vous que des conditions extérieures.

2/ Vous avez le pouvoir de rendre les autres heureux

Et le plus beau ? Cela vous rendra heureux à votre tour ! Alors parlez avec bienveillance, souriez, complimentez avec sincérité…

3/ Il n’est jamais trop tard pour trouver ce qui vous fait vibrer, ce qui vous anime, pour tomber amoureux(se)…

4/ Vous avez une famille et/ou des amis

Être entouré et pouvoir compter sur quelqu’un autre est, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Harvard, la clé pour vivre heureux et en bonne santé.

5/ Vous êtes en bonne santé

Vous faites donc partie des personnes les plus heureuses du monde !

6/ Vous passez de bons moments

Un fou rire, une conversation intéressante, un bon repas, être au chaud lorsqu’il pleut dehors… Ces petits moments ne font-ils pas toute la différence ?  

7/ Vous avez des projets, des objectifs, des rêves ou la foi

8/ Le passé, c’est du passé !

Allons de l’avant, acceptons ce qui ne peut être changé.

9/ Vous avez un toit sur votre tête, de la nourriture dans votre assiette

Plus d’argent ne vous rendra pas plus heureux si vous avez déjà le minimum.

10/ Vous avez entre 65 et 79 ans !

Vous faites alors partie de la tranche d’âge des gens les plus heureux !

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Pourquoi ferme-t-on les yeux quand on embrasse ?

Le 15/04/2016

Selon une étude britannique, publiée dans le Journal of Experimental Psychology : Human Perception and Performance, il serait possible d’expliquer scientifiquement pourquoi on ferme les yeux quand on fait un baiser.

Se concentrer sur le baiser

Une équipe de chercheurs de la Royal Holloway University de Londres a cherché à comprendre pourquoi les amoureux fermaient les yeux au moment de s’embrasser.

Le fait-on par mimétisme, par besoin d’intimité, par recherche de sensations ? C’est en effet pour multiplier les sensations du toucher que l’on se priverait de la vue, car la stimulation visuelle réduit la perception tactile.

Selon les chercheurs, le cerveau peine à se concentrer sur deux sens à la fois. On le constate avec les aveugles, qui ont un odorat et une ouïe bien plus subtiles que les nôtres… « Mettre de côté la vision laisse plus de ressources mentales pour se concentrer sur d’autres aspects de notre expérience », explique le Dr Polly Dalton, co-auteure de l’étude.

Des perspectives intéressantes

Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont demandé à 16 volontaires d’accepter d’avoir les pieds et les mains attachés. Des écouteurs leur empêchaient d’entendre ce qui se passait à l’extérieur. Les chercheurs leur ont demandé de se concentrer sur une tâche visuelle de faible ou de haut niveau. Plus la concentration visuelle était importante, moins ils étaient capables de dire s’ils avaient ressenti un contact au niveau de leurs mains.

Ces conclusions ouvrent la voie à de belles perspectives de recherches, notamment dans le cadre de la sécurité routière. « Nos recherches suggèrent par exemple que les conducteurs seront moins attentifs aux signaux d’alerte s’ils sont déjà en train de se concentrer sur une autre tâche visuelle comme regarder leur GPS pour suivre une direction », a expliqué Sandra Murphy, une autre responsable du projet.

À lire aussi : Le trouble de déficit de l’attention

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