Archives de catégorie : ACTUALITES

Allergies : le pollen de bouleau très présent, l’alerte rouge mise en place

Les beaux jours arrivent enfin en France mais avec eux les pollens. Un problème pour les personnes allergiques.

Le retour du soleil ne fait pas que des heureux. En effet avec l’arrivée de températures plus clémentes sur la France, la teneur de l’air en pollen de bouleau a explosé comme l’a annoncé ce lundi le Réseau national de Surveillance aérobiologique (RNSA) dans son bulletin hebdomadaire. De quoi compliquer la vie de tous les jours de bon nombre de personnes allergiques. Les pollens de cet arbre « seront présents sur l’ensemble du territoire et provoqueront un risque allergique élevé à très élevé« , selon cette association spécialisée dans la surveillance des allergies par pollens, qui dispose d’un réseau national de 77 capteurs pour réaliser ses prévisions.

Les pluies prévues en début de semaine seront une « bénédiction pour les allergiques » et apporteront « un léger répit« . Mais les pollens reviendront « en force une fois les nuages dissipés » anticipe le RNSA. Les pollens de peuplier, de charme et de saule seront aussi présents mais avec un risque allergique « faible » tandis que ceux de frêne présentent un risque « moyen« . Les pollens de chêne seront eux très présents sur la côte Atlantique de Bordeaux à Bayonne avec un risque allergique élevé tandis que ceux de platane s’imposeront sur tout le sud du territoire.

Ces deux pollens seront de plus en plus présents sur l’ensemble de la France alors que les pollens de graminées devraient rester faiblement présents cette semaine. Les pollens présents dans l’air peuvent provoquer des réactions allergiques chez des personnes prédisposées, voire des personnes non prédisposées. Les réactions varient en fonction du type de pollen, de la quantité émise et semblent en augmentation depuis 20 ans. En France, entre 10 et 20% de la population seraient allergiques à des pollens.

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Des primes à la performance versées aux médecins

Des primes à la performance versées aux médecins

Crédits photo : ©Fotolia

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Les primes à la performance vont devenir réalité pour plus de 75 000 médecins en France rapporte le quotidien économique « Les Echos »

Cette prime est versée aux médecins qui ont réalisé au moins 50% des objectifs qui leur avaient été fixés. Des objectifs en matière de prévention, de prescription, de modernisation du cabinet médical, de réduction des prescriptions d’antibiotiques ou d’arrêts de travail, de préférence aux médicaments génériques…

Au total jusqu’à 26 critères à respecter même si aucun n’est spécifiquement obligatoire. Chaque indicateur atteint permet d’acquérir des points, jusqu’à 1 300 points au maximum. Le point valant environ 7 €, la prime peut atteindre jusqu’à 9 120 € au maximum.

Et selon « Les Echos », cette prime exceptionnelle sera versée dès cette semaine à 75.400 praticiens libéraux. En moyenne, un généraliste qui a plus de 200 patients va ainsi recevoir 5400 euros de prime. A noter que 10% ont décroché la prime maximale

Enfin on retiendra que cette prime représente une dépense de 282 millions d’euros pour les caisses de l’Assurance-Maladie

Une dépense supplémentaire importante pour la Sécu mais qui à terme devrait lui permettre de faire des économies via l’amélioration de la prévention et la progression des médicaments génériques


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Le régime méditerranéen : que du bon pour votre santé !

huileolive

« Le régime méditerranéen : que du bon pour votre santé ! » par le Docteur Erard de Hemricourt. Ceux qui s’intéressent un tant soit peu à leur santé et leur alimentation savent qu’il existe des aliments à privilégier et d’autres à éviter. C’est le principe même du régime méditerranéen dont les acquis avaient déjà été confirmés dans le passé en particulier par la célèbre étude dite de Lyon qui évaluait l’impact de ce type de nutrition dans la prévention secondaire d’événements cardiovasculaires.

D’après cette étude, un régime méditerranéen typiquement constitué de beaucoup de fruits et légumes, de noix, d’huile d’olive, de viande blanche et de poisson et de peu de viande rouge, d’alcool ou de produits laitiers permettait de réduire de manière importante tout risque d’événements cardiovasculaires en prévention secondaire, c’est-à-dire après la survenue d’un problème médical.

Il restait à ce jour à montrer l’intérêt d’un tel régime non plus en prévention secondaire mais en prévention primaire, chez des individus n’ayant pas encore développé de problèmes cardiaques. C’est ce que vient de faire l’équipe du Docteur Ramon Estruch dans un article publié le mois dernier dans la revue ‘New England Journal of Medicine’ (Ramón Estruch et al. Primary Prevention of Cardiovascular Disease with a Mediterranean Diet. New England Journal of Medicine, 368 ;14 -2013).

L’étude PREDIMED, c’est son nom, avait pour but justement d’évaluer l’impact du régime méditerranéen sur un ensemble d’individus n’ayant pas souffert de pathologie cardiovasculaire mais présentant par contre des facteurs de risques tels que diabète de type II ou une association d’au moins trois facteurs parmi les suivants : tabagisme, hypertension, élévation des LDL, diminution des HDL, excès de poids ou obésité.

Précisons également que cette étude espagnole, a reposé sur un ensemble de 7447 personnes âgées de 55 à 80 ans et que celle-ci a été randomisée et multicentrique (plusieurs centres médicaux). L’ensemble de la population étudiée a été réparti de manière égale en trois groupes en fonction du type d’alimentation consommée : soit un régime méditerranéen supplémenté en huile d’olive, soit un régime méditerranéen supplémenté en noix, soit un régime dit de contrôle (où il était simplement recommandé de réduire la consommation de graisses).

Le critère d’analyse principal, et c’est là un élément crucial de ce type d’étude, n’était pas la réduction du taux de cholestérol ou de l’hypertension mais bien un événement réel et concret comme la survenue d’un infarctus, d’un accident vasculaire cérébral ou d’un décès d’origine cardiovasculaire. L’étude a été stoppée au bout d’une médiane de 4,8 ans, officiellement en raison de l’impact positif net et réel de l’alimentation sur la santé des individus suivis.

En effet, d’après les résultats récoltés au bout de la période d’étude, les régimes supplémentés soit en huile d’olive soit en noix ont entraîné une réduction de 3 événements cardiovasculaires majeurs par rapport au groupe de contrôle (rapportés à un total de 1000 personnes/années). Ce chiffre absolu, peu significatif, ne doit pas cacher la réduction relative, beaucoup plus significative de 30 % ! Cela signifie tout simplement que les individus qui consomment un régime méditerranéen particulier (soit le premier type soit le second) s’exposent à une réduction de 30 % de souffrir d’un événement cardiaque majeur.

D’après les commentaires de l’auteur, ce résultat pourrait expliquer pourquoi la mortalité cardiovasculaire rencontrée dans les pays du bassin méditerranéen est nettement moindre comparativement aux pays d’Europe du Nord.

Bien que le nombre d’événements cardiovasculaires majeurs ait été assez limité et tenant compte d’une durée d’étude assez brève (seulement 5 ans), les résultats actuels ne peuvent qu’encourager l’ensemble de la population à faire attention à leur type d’alimentation et éviter au maximum tous les pièges de la nutrition ‘moderne’.

Et comme le dit lui-même le Dr Estruch : « Nous recommandons à tous nos patients à haut risque cardiovasculaire de consommer un régime méditerranéen classique. Un régime pauvre en graisse n’est pas la bonne protection contre les maladies cardiovasculaires, même chez les patients obèses. Selon nos données, un régime méditerranéen traditionnel est beaucoup plus utile ».

Docteur Erard de Hemricourt pour News Santé ©2013 – Tous droits réservés
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Photo ©Véronique PAGNIER/One Work


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Trop d’examens médicaux selon l’Académie de Médecine

carte-vitale2012Trop d’examens médicaux, dont certains sont parfois inutiles, sont réalisés chaque année en France. Tel est le message délivré par l’Académie de Médecine dans son rapport « Améliorer la pertinence des stratégies médicales ».

« Si les progrès sont constants et souvent spectaculaires, l’inflation des dépenses est continue » mettent en garde les sages de l’Académie.

Leur bilan sans concession entend dénoncer ces trop nombreuses dérives qui sont une  » source d’inflation de dépenses pour la collectivité » et n’apportent pas de « bénéfices aux patients ».

L’Académie déplore par exemple les bilans de santé gratuits qui ne modifient ni la morbidité ni la mortalité,  l’inutilité des examens biologiques répétés, la banalisation des échographies réalisées parfois sans recherche spécifique et le recours un peu trop systématique aux ordonnances de médicaments, à l’imagerie lourde ou bien encore à certaines interventions chirurgicales.

Sont également pointés du doigt le principe de précaution et le risque de judiciarisation souvent mis en avant pour justifier la multiplication des actes afin de faire face à d’éventuels recours juridiques.

Autre crainte le consumérisme médical, une tendance de plus en plus forte au sein de la population qui peut se traduire par des formules du type « j’ai payé, j’y ai droit » ou par une exigence de rapidité qui peut précipiter certaines prescriptions sans une évaluation sérieuse de leur pertinence.

L’intégralité de ce rapport qui comporte notamment de nombreuses recommandations sur le sujet est à découvrir ici (document en version PDF)


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Mon enfant est-il dyspraxique ?

Mon enfant est-il dyspraxique ? Quels sont les signaux d’alerte ? Quelles conséquences sur la scolarité ? Comment l’aider ?

Le 29 mars dernier, l’école du CERENE a organisé une conférence animée par Hervé Glasel, Neuropsychologue, consacrée à la dyspraxie. Ce trouble des apprentissages est certainement l’un des moins connus du grand public.

Les enfants dyspraxiques éprouvent des difficultés à réaliser des actions dans l’espace dans une intention précise. Un trouble empêche l’enfant de faire le lien entre son projet et sa réalisation. Par exemple : lacer ses lacets, utiliser une fourchette, mais aussi dessiner, écrire, manier le compas, la règle, le stylo…

La dyspraxie pose des difficultés à l’enfant dès la maternelle, qui sont 3 années où les travaux manuels, le dessin, la manipulation font partie du quotidien des plus jeunes.

C’est d’ailleurs l’un des premiers signaux qui alerte les parents : un enfant dyspraxique est bien souvent malheureux dès la maternelle, tandis que ses petits copains s’amusent à longueur de journée à jouer avec leurs mains.

Quels signaux permettent de détecter une dyspraxie ?

Les signes caractéristiques de la dyspraxie sont les suivants :

•lenteur et/ou imprécision dans l’exécution des gestes.
•Grande variabilité dans la réalisation de gestes et d’intentions. L’enfant est parfois maladroit et parfois adroit. Un enfant dyspraxique peut réaliser parfaitement une tâche, à condition toutefois qu’il mobilise absolument toutes ses ressources attentionnelles pour y parvenir. Bien entendu, cela demande un effort épuisant et place l’enfant en situation de « double tâche » lorsqu’il écrit. Typiquement, l’enfant dyspraxique ne pourra pas être à la fois lisible et irréprochable en orthographe. Ecrire lui demande un tel effort de concentration, qu’il choisira soit d’être lisible et l’orthographe s’effondre, soit d’écrire sans faute d’orthographe et la lisibilité s’efface.
•Difficulté à s’habiller, tenir ses couverts, écrire.

Globalement, les parents et les enseignants constatent que l’enfant dyspraxique est très maladroit, pataud, peu efficace dès qu’il agit dans l’espace.

A contrario, certaines difficultés proviennent de facteurs totalement étrangers à la dyspraxie :

•l’enfant a du mal à tenir un stylo, sa difficulté peut être d’origine mécanique ;
•il a du mal à faire du vélo, il a peut-être tout simplement de la difficulté à trouver son équilibre ;
•de même, un enfant qui ne sait pas faire ses lacets à 9-10 ans ou qui est brouillon n’est pas non plus forcément dyspraxique.

Mon enfant est dyspraxique, comment l’aider ?

Même si un entraînement quotidien léger est recommandé, la répétition des gestes qui posent des difficultés n’est pas une solution pour la prise en charge de la dyspraxie chez l’enfant. Au contraire, elle va placer l’enfant en situation d’échec permanent.

Pour aider son enfant tout au long de sa scolarité, quelques outils et astuces sont très utiles : préférer l’ordinateur plutôt que le crayon et le papier pour suivre la classe, s’appuyer sur des logiciels tels que Geogebra pour la géographie, utiliser des audiobooks….

Hervé Glasel tient à rassurer les parents d’enfants dyspraxiques : « L’adulte ancien dyspraxique n’a pas du tout les mêmes difficultés que l’enfant dyspraxique, pour deux raisons. La première : l’adulte ou l’adolescent dyspraxique choisira un métier qui ne fera pas appel à des travaux manuels. Seconde raison : sa maturation générale, en particulier des fonctions exécutives, vont lui permettre de réaliser des gestes plus facilement. »

« Mais attention à ne pas diagnostiquer la dyspraxie trop souvent, comme c’est un peu le cas aujourd’hui, prévient Hervé Glasel. La maladresse n’est pas un trouble en soi. De plus, un enfant peut être maladroit car il présente un trouble moteur, ce qui n’a rien à voir avec les troubles des apprentissages ! »

Communiqué presse école du CERENE


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Une enquête pour évaluer les effets du distilbène

Une enquête vient d’être lancée par le réseau DES France et la Mutualité française pour évaluer les conséquences du distilbène et c’est une première en France. Réalisée sur 3 générations grâce à un questionnaire en ligne, cette étude devrait permettre de connaître les effets de la prise de ce médicament pour les mères traitées, mais aussi sur leurs enfants exposés à ce produit dans le ventre maternel et leurs petits-enfants.

Afin de réaliser cette enquête et permettre une comparaison, un groupe de femmes âgées entre 36 et 63 ans et non exposé au DES in utéro a également été invité à répondre au questionnaire. Afin d’évaluer le risque de cancer du sein, l’épidémiologiste Emmanuel Devouche aimerait également regrouper au moins 2.000 filles DES.

Le distilbène est une hormone féminine qui a été prescrite jusqu’en 1977 en France dans la prévention des fausses couches, mais aussi pour arrêter la montée de lait, ou en cas de retard de règles comme pilule du lendemain.

Quelques 160 000 enfants dont la mère avait été traitée par ce médicament sont nés dans ces années là et les conséquences ont été terribles. Cette hormone a en effet entraîné des malformations génitales chez 80 000 des filles DES exposées à ce médicament dans le ventre de la mère, mais aussi des cancers du col de l’utérus et du vagin, des difficultés de reproduction ou encore des ménopauses précoces. D’autres études ont également montré un doublement du cancer du sein en cas de doses importantes absorbées.

Il n y a pas que les filles DES qui ont subit de plein fouet les conséquences du traitement de leur mère par le distilbène. Chez les garçons aussi, les effets ont été négatifs : des anomalies de la verge ont pu être observé et à la 3ème génération, des rétrécissements de l’oesophage.

Le distilbène, utilisé principalement contre les fausses couches dans les années 50/70 a eu beaucoup de conséquences. Une enquête vient d'être lancé pour faire le point sur les effets de ce médicament.

Le distilbène, utilisé principalement contre les fausses couches dans les années 50/70 a eu beaucoup de conséquences. Une enquête vient d’être lancé pour faire le point sur les effets de ce médicament.

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Le calendrier vaccinal s’allège nettement  en 2013

INFOGRAPHIE – Il prévoit moins d’injections pour les nourrissons et des rappels à âge fixe pour les adultes.

La simplification du calendrier vaccinal 2013 est l’aboutissement de quatre années de travail du Haut Conseil de la santé publique (HCSP). Le résultat est à la hauteur. «Le nouveau calendrier vaccinal proposé permet de diminuer le nombre d’injections chez les nourrissons et de prévoir des rappels de vaccination à âge fixe chez les adultes, modalité plus facile à mémoriser pour les patients et pour les professionnels de santé», pouvait-t-on lire lundi sur le site du HCSP. Avec une ambition affichée: «Ceci devrait améliorer l’acceptabilité des vaccinations par les médecins et en conséquence la couverture vaccinale tout en assurant une protection tout au long de la vie.»

La première simplification concerne la vaccination contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la poliomyélite, les infections à Haemophilus influenzae b et l’hépatite B (vaccin hexavalent). Les nourrissons auront une dose de moins qu’avant. Le schéma «3 + 1» comportant trois injections et un rappel est désormais remplacé par le schéma «2 + 1», c’est-à-dire deux injections aux âges de 2 et 4 mois, suivies d’un rappel avancé à l’âge de 11 mois alors qu’il avait lieu auparavant à 16-18 mois.

Autre simplification, le ROR (vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole). Le nouveau calendrier recommande une première dose de ROR à l’âge de 12 mois pour tous les enfants et la deuxième entre 16 et 18 mois. Plus pratique que le calendrier vaccinal 2012 qui modulait encore l’âge de la vaccination en fonction du mode de garde. Précaution d’autant plus inutile que le risque de contracter la rougeole n’est pas plus élevé chez les nourrissons admis en collectivités et que vacciner à l’âge de 9 mois était moins efficace qu’à 12 mois.

Un rappel coquelucheux vient maintenant s’ajouter au dTP (diphtérie, tétanos, poliomyélite) fait à l’âge de 6 ans. Le vaccin acellulaire qui a remplacé le (…)

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Bisphénol A : une pétition demande son interdiction dans les jouets

Cela fait des années que des associations de consommateurs dénoncent la présence de perturbateurs endocriniens et se battent pour leur interdiction dans les objets utilisés pour les enfants. Alors que le bisphénol A a été interdit dans les biberons, les jouets ne seraient pas encore soumis à une règlementation.

Devant ce flou législatif, une enquête de l’UFC-Que choisir avait alerté fin 2011 sur la présence de produits à la toxicité reconnue dans les jouets des tout-petits, notamment des dérivés du pétrole et des composés chimiques.

Aujourd’hui, c’est la Toile qui se mobilise en signant une pétition en ligne lancée par Women in Europe for a common future (WECF) un réseau d’organisations féminines internationales. « Les enfants sont en contact rapproché et permanent avec [les perturbateurs endocriniens comme le bisphénol A], explique la pétition. Ils sont susceptibles de les mettre à la bouche et leur peau est plus réceptive aux substances toxiques ».

Les auteurs de la pétition dénoncent aussi le manque de transparence dans l’étiquetage des jouets dont la composition n’est souvent pas indiquée. Ils demandent aux ministères de l’Ecologie et au ministère de la Santé de faire bouger la règlementation européenne pour interdire enfin les perturbateurs endocriniens.

Retrouvez cet article sur TopSante.com

Un quart des ados se sentent mal dans leur peau
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Grippe aviaire : le virus H7N9 fait 11 morts en Chine

La Commission de la santé et de la planification familiale chinoise a notifié à l’OMS 43 cas confirmés en laboratoire d’infection humaine par le virus grippal A(H7N9).

Parmi les cas figuraient un homme de 70 ans originaire du Jiangsu et tombé malade le 29 mars 2013, un homme de 74 ans originaire du Jiangsu et tombé malade le 2 avril 2013, un homme de 65 ans originaire du Zhejiang et tombé malade le 3 avril 2013, une femme de 76 ans originaire de Shanghai et tombée malade le 1er avril 2013, une femme de 81 ans originaire de Shanghai et tombée malade le 4 avril 2013, un homme de 74 ans originaire de Shanghai et tombé malade le 11 avril 2013, une femme de 83 ans originaire de Shanghai et tombée malade le 2 avril 2013, un homme de 68 ans originaire de Shanghai et tombé malade le 4 avril 2013, un homme de 31 ans originaire du Jiangsu et tombé malade le 31 mars 2013 et un homme de 56 ans originaire du Jiangsu et tombé malade le 3 avril 2013.

À ce jour, le nombre de cas d’infection par le virus grippal A(H7N9) confirmés en laboratoire en Chine atteint 43 au total, parmi lesquels 11 décès, 19 cas sévères et 9 cas bénins.

Près d’un millier de contacts proches des cas confirmés font l’objet d’une surveillance étroite. Le gouvernement chinois enquête activement sur cet événement et a relevé le niveau de surveillance. La guérison partielle d'un bébé du sida redonne espoir

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Manger sous le coup de l’émotion augmente le risque de surpoids

Manger sous le coup de l’émotion, surtout pour les femmes qui n’ont jamais fait de régime amaigrissant, serait associé à une augmentation par 3 à 5 du risque de surpoids selon l’étude Nutrinet. L’ »émotivité alimentaire » concerneraient plus particulièrement les femmes par rapport aux hommes (52 % versus 20 %).

Le but de l’étude Nutrinet était de comprendre pourquoi les femmes qui sont au régime mangent davantage sous le coup de l’émotion. De façon générale, il ressort que les personnes au régime mangent davantage lorsqu’elles vivent certaines émotions (71 %) que les femmes qui ne sont pas au régime (58 %) ou les personnes n’ayant jamais fait de régime amaigrissant (35 %).

L’étude montre également que ce sont les femmes qui n’ont jamais fait de régime amaigrissant qui ont le plus de risque de prendre du poids. Elles seraient 7 femmes sur 10 au régime à avoir tendance à manger sous le coup de l’émotion, et cette émotionalité serait associée à un risque multiplié par 3 à 5 de surpoids.

Pour le moment, il existe peu de donnée sur l’émotionalité alimentaire et on ne sait pas si son association avec la prise de poids est plus marquée dans certains groupes de personnes plutôt que dans d’autres.

Manger sous le coup de l'émotion est mauvais pour le surpoids

Manger sous le coup de l’émotion multiplierait par 3 à 5 le risque de surpoids.

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