Archives de catégorie : ACTUALITES

Une expédition de chercheurs dans l’Himalaya pour étudier le mal des montagnes

RECHERCHE – Ils évalueront les effets de la haute altitude sur le corps humain…

Cinq semaines durant, cinq équipes de recherche internationales, accompagnés de cinquante volontaires, vont mener une expédition scientifique au cœur de l’Himalaya, au Népal. Objectif pour la partie française de l’expédition «Manaslu 2015»: étudier l’impact cérébral et cardiaque de la haute altitude et les altérations du sommeil qu’elle provoque. L’occasion de se pencher sur la question de l’intolérance à l’altitude, alors que les séjours en moyenne et haute altitude font de plus en plus d’adeptes et cause chaque année de graves accidents.

Etudier le mal des montagnes

Après des tests réalisés au niveau de la mer au Pays de Galles sur les volontaires il y a quelques semaines, chercheurs et volontaires français ont quitté Genève (Suisse) ce vendredi pour rejoindre le Népal. Les valeurs de référence obtenues seront comparées aux mêmes tests, réalisés cette fois-ci en haute montagne. 

Les équipes débuteront ce mardi leur ascension du Mont Manaslu (8.156m). Un trek qui fera grimper aux chercheurs et aux volontaires 5.000 mètres en une dizaine de jours et permettra aux équipes d’étudier les mécanismes de déclenchement du mal des montagnes.

«Un mal qui peut provoquer des maux de tête, des nausées, une fatigue inhabituelle et, dans les cas les plus graves en haute montagne, des œdèmes pulmonaire et cérébral», explique Samuel Vergès, chargé de recherche à l’Inserm et coordinateur de la partie française de l’expédition. Le mal des montagnes touche une personne sur deux au-dessus de 4 000 m, et trois sur quatre au-delà de 5 000 mètres d’altitude.

Tester une alternative au caisson hyperbare

Autre axe majeur de l’étude pour les chercheurs français: tester l’effet d’un masque à pression positive «minimisant les effets délétères de l’altitude» pour améliorer l’acclimatation à de telles hauteurs et qui «pourrait se (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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Équinoxe de printemps : Pourquoi la libido se réveille-t-elle ?

Des jours qui rallongent, une luminosité qui s’intensifie, un soleil qui réchauffe, autant de facteurs qui réveillent le désir amoureux. Explications

– Le corps, plus exposé à la lumière du soleil, sécrète de nouvelles hormones sexuelles – oestrogènes et testostérone – laissant la taciturne mélatonine ou hormone du sommeil au placard. On s’habille plus légèrement, on dévoile un carré de peau nue, avec l’effet de stimuler également l’hypothalamus, qui produit davantage encore d’hormones sexuelles, et donc plus de désir.

– Les yeux, moteur de l’envie amoureuse, sont à la fête face à une jolie fille. Les hommes sont érotisés par la vision du corps des femmes. Selon Boris Cyrulnik, une jeune femme légèrement vêtue se sent aussi plus sexy.

– Le fait de dénuder un corps au printemps, et plus encore l’été, libère davantage d’odeurs et de phéromones, signaux érotiques très forts. Selon Lucy Vincent, auteur de La Formule du désir (Albin Michel), « ces indices qui signalent la présence et la disponibilité du partenaire sexuel ont un effet sur les dopamines visant à porter l’attention sur des cibles sexuelles potentielles ».

– « La lumière agit sur le neurotransmetteur principal qui envoie des signaux aux testicules et aux ovaires, les organes sexuels », écrit aussi Lucy Vincent. Le cerveau reçoit alors un message de désir.

– Le soleil donne de l’énergie, rebooste le moral, fait oublier le stress et la fatigue. Les soirées se prolongent. En terrasse, les dîners qui s’éternisent sont propices au rapprochement des corps.

– Si incontestablement l’arrivée du printemps a une influence positive sur la libido, une étude norvégienne de l’université de Tromso prouve que les femmes sont plus titillées en avril et en mai, tandis que les hommes culminent, eux, en août. « Les femmes seraient plus influencées par l’intensité de la lumière du soleil », explique Arne Holte, l’auteur de l’étude.

– La (…)

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Un départ à la retraite à 72 ans pour les médecins d’hôpitaux publics

Un amendement du gouvernement prévoit la retraite à 72 ans pour les médecins des hôpitaux publics. Pour faire face au manque de praticiens, le gouvernement et certains syndicats de médecins hospitaliers souhaitent rallonger de quatre ans la limite d’âge de départ à la retraite.

En théorie, les chirurgiens peuvent opérer jusqu’à 68 ans s’ils ont le feu vert du ministère de la Santé. « Rares sont les chirurgiens dans les hôpitaux qui continuent de travailler au bloc opératoire à cet âge. Dans cet hôpital, ceux qui restent au-delà de 65 ans ne peuvent plus être chef de service », explique au micro de France 2 André-Gwenaël Pors, directeur du centre hospitalier de Laval.
Selon le gouvernement, reculer la date de départ en retraite pourrait limiter le recours aux médecins intérimaires qui coûtent très cher à l’hôpital.

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Les hommes plus narcissiques que les femmes ? C’est prouvé !

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Une étude parue jeudi dans la revue américaine Psychological Bulletin montre que les hommes auraient tendance à être plus narcissique dont les traits caractéristiques sont la volonté de pouvoir, l’idée que tout est dû et l’exhibitionnisme que les femmes. Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs américains ont analysé les résultats de 355 études portant sur plus de 470 000 personnes.

Selon ces travaux, la plus grande différence entre les hommes et les femmes au niveau du narcissisme reposerait sur le trait caractéristique « tout vous est dû ». La gente masculine aurait en effet davantage tendance à réclamer ses privilèges. Les hommes seraient également « plus susceptibles de prendre l’ascendant sur les autres » mais aussi d’imposer leur autorité, d’aimer dominer et d’être égocentriques.

Pour comprendre ces comportements différents, les scientifiques expliquent que les individus auraient tendance à intégrer des rôles liés aux genres dès leur plus jeune âge, et quitter ces attentes de rôles pourrait créer des réactions hostiles. L’agressivité et l’autoritarisme serait ainsi très critiqués chez les femmes mais pas chez les hommes dont les épanchements narcissiques ne posent aucun problème.

Ce narcissisme chez les hommes, selon certaines analyses historiques existerait depuis de nombreuses années. Par contre, les hommes comme les femmes auraient autant besoin d’être admiré, feraient preuve d’autant de vanité et d’un manque d’empathie.

Les hommes seraient plus narcissiques que les femmes

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Une greffe de neurones pour réparer le cerveau d’une souris

© A. Gaillard, Inserm

© A. Gaillard, Inserm

C’est une première mondiale et elle a été réalisée par une équipe franco-belge : l’équipe d’Afsaneh Gaillard (Unité Inserm 1084, Laboratoire de neurosciences expérimentales et cliniques, Université de Poitiers) en collaboration avec l’Institut de recherche interdisciplinaire en biologie humaine et moléculaire de Bruxelles. Ils ont réussi à réparer le cerveau d’une souris adulte grâce à une greffe des neurones corticaux dérivés de cellules souches embryonnaires.

Le cortex cérébral est une des structures les plus complexes de notre cerveau, il est composé d’une centaine de type de neurones organisés en 6 couches et en de nombreuses aires distinctes sur le plan neuroanatomique et fonctionnel.

Les lésions cérébrales, qu’elles soient d’origine traumatique ou neurodégénérative, entrainent une mort cellulaire associée à des déficits fonctionnels importants. Afin de pallier les capacités limitées de régénération spontanée des neurones du système nerveux central adulte, les stratégies de remplacement cellulaire par transplantation de tissu embryonnaire présentent un potentiel intéressant.

Un défi majeur pour la réparation du cerveau est d’obtenir des neurones corticaux de couche et d’aire appropriées afin de rétablir de façon spécifique les voies corticales lésées.

Les résultats obtenus par les équipes d’Afsaneh Gaillard et de Pierre Vanderhaeghen de l’Institut de Recherche Interdisciplinaire en Biologie humaine et moléculaire de Bruxelles démontrent, pour la première fois, chez la souris, que les cellules souches pluripotentes différenciées en neurones corticaux permettent de rétablir les circuits corticaux lésés adulte sur le plan neuroanatomique et fonctionnel.

Ces résultats suggèrent par ailleurs que la restauration des voies lésées n’est possible que par des neurones de même type que la région lésée.

Cette étude constitue une étape importante dans le développement de thérapie cellulaire appliqué au cortex cérébral.

Cette approche, n’est encore qu’expérimentale (uniquement chez la souris de laboratoire). De nombreuses recherches seront nécessaires avant une application clinique éventuelle chez l’homme. Néanmoins, pour les chercheurs, « le succès de nos expériences d’ingénierie cellulaire, permettant de générer des cellules nerveuses de façon contrôlée et illimitée, et de les transplanter, constitue une première mondiale. Ces travaux ouvrent de nouvelles voies d’approche de réparation du cerveau endommagé, notamment après accidents vasculaires ou traumatismes cérébraux », expliquent-ils.

Ce projet a été financé par Agence Nationale de la Recherche (ANR-09-MNPS-027-01).

Crédit/source : communiqué Inserm


News Santé

L’ocytocine en spray pour lutter contre l’obésité masculine ?

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Une étude menée par des chercheurs de la Harvard Medical School de Boston aux États-Unis vient de montrer les bénéfices de l’ocytocine, une hormone sécrétée au cours de l’allaitement ou pendant les rapports sexuels sur la perte de poids chez les hommes. Les conclusions de cette étude seront présentés au cours du 97ème Congrès annuel de l’Endocrine Society, à San Diego.

Le nom d’ocytocine, cette hormone synthétisée par l’hypothalamus et sécrétée par l’hypophyse postérieure signifie « accouchement rapide » en raison de son action dans la distanciation du col de l’utérus pendant le travail. Elle aurait d’autres fonctions comme celle par exemple de permettre la montée de lait grâce à une stimulation des mamelons. Récemment, des recherches ont suggéré qu’elle pourrait aussi avoir un rôle dans l’orgasme, la reconnaissance sociale, l’empathie, l’anxiété ou encore les comportements maternels. Des études contradictoires montrent qu’elle pourrait également agir en induisant des comportements « radicaux », voire violents pour la défense du groupe. Appelée quelquefois de façon abusive par les médias « hormone du plaisir » ou « hormone du bonheur », les données des recherches restent encore insuffisantes pour établir de façon définitive les limites de son action.

Une nouvelle étude publiée récemment vient encore élargir le champ d’action de cette hormone en lui prêtant des vertus dans la lutte contre le surpoids et l’obésité masculine. Pour parvenir à ces conclusions, les scientifiques ont administré à un groupe d’hommes bien-portants âgés de 27 ans en moyenne une pulvérisation d’ocytocine ou un placebo. Parmi ces 27 participants, 13 avaient un poids normal et 12 étaient en surpoids ou obèses. Une heure plus tard, les volontaires ont alors été invités à prendre un petit-déjeuner copieux. Le jour suivant, les scientifiques ont échangé l’ocytocine et les placebos pour comparer les résultats.

Les chercheurs ont constaté, après les avoir interrogé, que les participants avaient mangé les mêmes quantités au cours des trois jours précédents l’expérience.
Par contre leur apport calorique a été réduit en moyenne de 122 calories et leur apport en graisses a baissé de neuf grammes lorsqu’ils recevaient de l’ocytocine.
Pour expliquer ces résultats, les scientifiques ont émis l’hypothèse que sous l’effet de l’ocytocine, la graisse corporelle des sujets se transformait en carburant pour produire de l’énergie.

Ces résultats ouvrent de nouvelles perspectives dans la lutte contre l’obésité selon les auteurs de cette étude même si des travaux supplémentaires seront nécessaires pour confirmer ou infirmer ces résultats.

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Loi santé : les médecins divisés sur la généralisation du tiers payant

Près de 20 000 médecins doivent manifester dimanche 15 mars pour dénoncer le tiers payant, inscrit dans la loi Santé de Marisol Touraine. Ils jugent que le tiers payant pour tous, qui pourraient inciter certains patients à abuser du système, est ingérable pour les médecins.

« On a 400 mutuelles en France. Être obligé d’aller vérifier si nos actes ont été réglés ou pas en fin de créneau représente un surcroît de travail », assure au micro de France 3 le Dr Fabien Sultana.

Médecins, chirurgiens, pharmaciens, kinésithérapeutes, dentistes, plusieurs dizaines de syndicats appellent à manifester. A l’exception des praticiens hospitaliers, qui ont négocié pour corriger les excès de la loi de 2009 à l’hôpital public. Ils soutiennent donc cette nouvelle loi santé. L’intersyndicale des médecins hospitaliers considère que l’abandon de la loi Touraine porterait un préjudice considérable à l’hôpital public.

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Afrique du Sud : première greffe de pénis réussie
Opposés au tiers payant, les médecins ne désarment pas
Les médecins justifient leur mobilisation contre le tiers payant
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Les médecins de nouveau en colère

Depuis des semaines,

les médecins libéraux, les chirurgiens, les infirmiers, s’opposent au projet de loi de santé qui prévoit la généralisation du tiers payant en 2017. Dès ce week-end, les syndicats appellent à fermer les cabinets. Une forte mobilisation est attendue dimanche dans les rues de Paris. Dans la région du Creusot, aux urgences de l’hôpital, entre 80 et 100 personnes viennent chaque jour pour se faire soigner. L’une des principales craintes des médecins est la perte d’autonomie du médecin face à la Sécurité sociale. « La Sécurité sociale va diriger tous les éléments. Elle nous contrôlera sur tout et nous remboursera au cas par cas. Si elle n’a pas envie de le faire, elle ne le fera pas », s’insurge un interne.

Un autre docteur exprime au micro de France 3 son inquiétude : « On sent quand même la tension. Les médecins généralistes en ont un peu ras-le-bol. Ça me fait peur, je ne me projette pas ». La crainte est partagée par l’ensemble du corps médical.

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Les professionnels de santé ferment leur cabinet ce week-end
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Infarctus, traumatisme crânien, trisomie 21: Une simple prise de sang suffit?

DEPISTAGE – Une méthode de dépistage qui a de nombreux atouts…

Il n’évoque pas grand-chose aux yeux du grand public, pourtant dans 60 à 70% des cas, c’est sur le diagnostic biologique que se fonde le médecin pour déterminer ce dont le patient est atteint. Une méthode de dépistage qui aurait de multiples vertus.

Comment ça marche?

«Avec une simple prise de sang, on peut rechercher des marqueurs biologiques qui indiquent la présence ou non d’une maladie ou d’une pathologie», explique le Pr Jean-Louis Beaudeux, biologiste médical à l’Hôpital Necker. Méconnue, cette méthode de test sanguin permet pourtant de détecter les insuffisances cardiaques ou respiratoires, l’infarctus du myocarde, la trisomie 21 et les traumatismes crâniens mineurs.

Le diagnostic biologique est-il risqué?

Pour dépister la trisomie 21, une femme enceinte doit subir une amniocentèse, un examen qui aujourd’hui encore provoque 1 à 2% de fausses couches. «Pourtant des tests biologique et radiologique réalisés durant le premier trimestre permettent de faire une première évaluation du risque de trisomie 21», poursuit le biologiste. Encore assez coûteux -environ 650 euros- et pas remboursé, ce test sanguin a l’avantage d’éviter une amniocentèse qui ne serait pas nécessaire puisque ce n’est qu’au-delà d’un certain seuil que la patiente sera éventuellement dirigée vers cette procédure. 

Le diagnostic est-il aussi efficace?

«On arrive avec la biologie à exclure ou confirmer un diagnostic, avec un rendu du résultat plus rapide», vante le Pr Beaudeux. Un atout précieux pour les équipes médicales, qui voient défiler chaque année aux urgences 150.000 personnes souffrant de traumatismes crâniens (TC) mineurs, pour lesquels «l’examen de référence reste le scanner cérébral», précise le professeur. Le problème, c’est que dans 90% des cas, cet examen ne révèle pas de lésions en cas de TC mineur.

Autre point négatif: «le scanner n’est pas (…) Lire la suite sur 20minutes.fr

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Fin de vie : le texte débattu à l’Assemblée

L’Assemblée a commencé à examiner le

texte sur la fin de vie. Aux abords du bâtiment, des dizaines de militants anti-euthanasie ont manifesté pour dire leur refus d’une loi trop floue qui n’irait pas assez loin : « La loi ne résoudra pas ce problème, pourquoi refaire un loi qui est inutile et qui introduit des zones de danger puisque il y a de nombreuses ambiguïtés » explique une membre du collectif « Soulager mais pas tuer ».

A l’opposé, des militants pro-euthanasie, membres de l’Association pour le droit à mourir dans la dignité, ont brandi des pancartes pour réclamer la liberté de choisir : « Je propose une loi comme celle de la Belgique ou de la suisse, c’est-à-dire décider un suicide assisté, quand il n’y a plus aucun espoir de guérison » explique une manifestante, au micro de France 3.

Un texte qui divise également à l’Assemblée.

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Fin de vie : l’appel de Sylvain Chamoux
Fin de vie : quatre questions sur « la sédation profonde et continue »
L’OMS est invitée à se prononcer sur la légalisation du cannabis
Fin de vie : l’appel de Sylvain Chamoux
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