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On pourrait guérir tous les malades de l’hépatite C en France. Problème, ça coûterait 12 milliards

La découverte médicale tombe mal, à l’heure où le gouvernement annonce dix milliards d’euros d’économie sur les dépenses de l’assurance maladie. Cette avancée thérapeutique concerne le virus de l’hépatite C (VHC), dont l’OMS estime à 150 millions le nombre des personnes infectées à travers le monde.

En France, ils seraient environ 370.000 porteurs d’anticorps «anti-VHC», témoins biologiques d’un contact avec ce virus transmissible par le sang.  Un fois introduit dans l’organisme, ce virus peut y déclencher une infection chronique pouvant évoluer vers une cirrhose puis un cancer du foie. On dénombre chaque année en France environ 2.600 décès prématurés dus à une infection par le VHC.  

Une  vaste entreprise nationale  de dépistage des personnes infectées est  en cours. C’est ainsi qu’en  2011, plus de 2,6 millions de dépistage («sérologies anti-VHC») ont été réalisées en France entière et remboursées par l’ensemble des régimes d’assurance maladie.

On retrouve le virus actif dans le sang chez les deux-tiers des personnes ayant des anticorps. Ce sont elles qui peuvent bénéficier de la nouvelle thérapeutique qui commence à être commercialisée. Il s’agit du sofosbuvir, un nouvel antiviral capable de faire disparaître le virus en quelques semaines de l’organisme infecté.  

Les derniers essais cliniques menés dans ce domaine démontrent qu’associé à une autre spécialité pharmaceutique cette nouvelle molécule permet de guérir 90% des personnes traitées.

Découvert en 2010 au sein de la start-up Pharmasset (fondée en 2008 par deux universitaires américains), le sofosbuvir est aujourd’hui commercialisé (sous la marque Sovaldi ®)  par la firme américaine pharmaceutique Gilead Sciences. Cette dernière a acheté Pharmasset pour 11 milliards de dollars en 2011.  Une acquisition cohérente: Gilead est spécialisée dans les antiviraux dont le Truvada, médicament destinés aux personnes infectées par le VIH ou en situation de l’être.

Aujourd’hui Gilead place de considérables espoirs financiers dans la commercialisation de son nouveau produit. Autorisé par la Food and Drug Administration américaine fin 2013, le Sovaldi ® est aujourd’hui disponible en France en milieu hospitalier. Depuis janvier, il est réservé «à titre temporaire» pour certains malades atteints d’infection virale C chronique: ceux qui souffrent d’une maladie à un stade avancé pour lesquels il n’existe pas d’alternatives thérapeutiques appropriées et ceux qui sont inscrits sur une liste d’attente pour une greffe de foie. Ou encore ceux qui ont bénéficié d’une telle greffe mais chez lesquels une nouvelle infection du VHC, agressive, est en cours.

Cette situation de restriction ne pourra s’éterniser. Tous les éléments disponibles convergent pour confirmer la considérable supériorité de cette molécule sur les associations médicamenteuses précédentes, à base d’interféron. Certains spécialistes de virologie en viennent même, comme dans le cas du sida et des antirétroviraux, à évoquer la perspective d’une éradication du VHC. Reste toutefois, là encore, l’obstacle considérable du prix.   

Aujourd’hui  le Sovaldi ® est commercialisé en France à hauteur d’environ 60.000 euros le traitement de douze semaines. Auquel il faut ajouter une autre spécialité pharmaceutique onéreuse. Soit près de 90.000 euros pour un seul traitement. Cette situation commence à bouleverser les budgets des pharmacies hospitalières et conduit immanquablement à une forme de rationnement.

Des médecins (comme le Pr Yazdan Yazdanpanah, service de maladies infectieuses, hôpital Bichat-Claude-Bernard, Paris) élaborent des modèles mathématiques pour préciser quant les bénéfices attendus de ce nouveau traitement peuvent être économiquement supérieurs à son prix actuel. Il faut alors comparer le surcoût majeur induit par ce nouveau traitement aux dépenses ultérieures qu’il permettrait de prévenir, qu’il s’agisse de prise en charge des cirrhoses hépatiques ou des transplantation de foie (estimées à 60 000 euros l’unité). Il n’en reste pas moins que ce sont là des équations à de multiples inconnues et qu’en toute hypothèse les coûts actuels du médicament interdisent de proposer ce traitement efficace à toutes celles et ceux dont l’état de santé le justifierait. 

Ce qui n’a rien de scandaleux a priori mais qui, en démocratie, mériterait amplement un débat public.

Aux Etats-Unis le coût est, selon la durée, compris entre 84.000 et 168.000 dollars. L’impact attendu sur l’équilibre financier des systèmes de santé commence à alimenter différentes controverses. Des associations de défense de patients dénoncent ici la cupidité de la firme pharmaceutique. Il semble que le Royaume-Uni soit parvenu à négocier des prix plus bas, de l’ordre de 35.000 £ (42.000 euros) les douze semaines.

Cette équation semble impossible à résoudre dès lors que l’on tient le prix du médicament comme une donnée fixe. Or ce prix est le fruit d’une négociation entre la firme et le gouvernement dans le cadre du Comité économique des produits de santé. Une négociation au terme de laquelle la firme à l’assurance de disposer d’un marché national substantiel compte-tenu de la couverture de la Sécurité sociale. Cette négociation est en cours pour le Sovaldi ®.

A quoi aboutira-t-elle ? La problématique dépasse ce seul antiviral. On la retrouve notamment avec la quasi-totalité des nouvelles molécules anticancéreuses. En toute logique elle réclame une remise à plat et une transparence sur l’ensemble du dispositif de fixation des prix des spécialités pharmaceutiques. A fortiori quand on cherche, comme aujourd’hui le gouvernement, à faire des économies drastiques sur le budget médicament de l’assurance maladie. 

Jean-Yves Nau


A votre santé! – Slate.fr

So’Senz, le naturel pour tous


Née de la passion de la nature, la marque So’Senz propose des cosmétiques mais aussi des séjours Bien-être et des accessoires pour tous qui ont pour point commun d’allier la beauté et le bien-être de l’être humain à la nature.

La gamme de cosmétique est quant à elle formulée à 99,5% avec des ingrédients d’origine naturelle et est 100% fabrication française. Elle a été développée avec un laboratoire situé à Vichy qui depuis 1997 apporte des réponses sur mesure en termes de choix d’actifs, de parfums, de textures.

Tous les produits So’Senz sont certifiés Ecocert Greenlife. Ils sont donc sans conservateur de synthèse non autorisé (parabène, phenoxyethanol, EDTA, DMDM), sans OGM et sans éther de glycol, sans produit issu de la pétrochimi, sans silicone, sans parfum de synthèse, sans colorant et non testés sur les animaux.

So’Senz veut à travers sa marque, contribuer au respect de l’environnement et de la nature tout en proposant des produits à forte concentration en principes actifs pour un maximum d’efficacité et dotés de textures raffinées.

Déclinée en deux familles de produits, l’une dédiée aux femmes et l’autre aux hommes, cette gamme ne fait en revance aucune différence de carnation. Elle sublime toutes les couleurs naturellement.

Dans la ligne pour femmes, trois produits ont été développés avec deux soins de jour et de nuit, Lumière de Jour et Lumière de Nuit, et un Sérum Lumière, un sérum chargé de régénérer, d’apaiser et d’atténuer les signes de l’âge.

Pour les hommes, c’est un Sérum Après-Rasage, un concentré d’actifs hydratants, apaisants et anti-âge, qui est complété par un Soin Visage Homme, bain d’hydratation matifiant.

(Disponible uniquement sur www.sosenz.fr. A partir de 37 €)


Beauté Addict : Le portail des passionnés de beauté

L’Eau de Rochas dans tous ses états pour les fêtes

En 1931, Marcel Rochas qui avait fondé cinq ans plus tôt sa maison de couture, s’installe dans l’hôtel particulier du 12 avenue Matignon.

Marcel Rochas habillera alors les actrices d’Hollywood de l’entre-deux guerre et notamment la plantureuse Mae West pour qui il inventera une guêpière en dentelle noire.

L’histoire de la Maison Rochas rime aussi avec parfums puisqu’en 1944, Marcel Rochas confie à Edmond Roudnitska la composition d’une oeuvre magistrale : un chypré-fruité qui sera baptisé Femme et dédié à sa jeune femme Hélène.

Puis verront le jour Chiffon en 1947, Moustache en 1949 et la célèbre Eau de Rochas en 1970.

A l’occasion des fêtes et en hommage au couturier, les parfums Eau de Rochas, Eau Sensuelle de Rochas et Eau de Rochas Fraîche revêtent une tenue d’apparat et se glissent au sein d’un sac-étui décoré de la silhouette caractéristique du flacon.

Sur la face opposée de l’étui, cette même silhouette laisse cette fois apparaître la façade du fameux 12 avenue Matignon comme dédicacée à la main par le couturier.

Un joli hommage à Marcel Rochas, à ce parfum mythique qu’est l’Eau de Rochas et à ses petites soeurs, l’Eau Sensuelle de Rochas et l’Eau de Rochas Fraîche.

(Editions de Noël, Eau de Rochas, Eau de Rochas Sensuelle et Eau de Rochas Fraîche, Rochas. Disponibles en parfumeries et grands magasins. Vaporisateur 100ml, prix indicatif : 67 €)

Publié le 20 décembre 2013

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Colorants, conservateurs: tous les additifs à surveiller

Des boissons aux crèmes glacées en passant par des biscuits et des charcuteries, les additifs sont partout. Si certains sont parfaitement naturels et inoffensifs, d’autres laissent planer des doutes, voire sont carrément nocifs à haute dose. Reconnaissez-les pour mieux les éviter.

L’aspartame et les colorants caramels

L’aspartame (E 951)
Un édulcorant de synthèse, utilisé dans la plupart des produits allégés. « Il est hautement sujet à controverses notamment compte tenu de l’ancienneté des études toxicologiques ayant défini la DJA (dose journalière admissible) et des récentes études, notamment sur la femme enceinte, qui ont relancé le débat, souligne le docteur Chevallier. Les autorités de santé doivent donner leur avis à ce sujet avant l’été. »
On les trouve surtout dans : les sodas light, les produits allégés : yaourts, crèmes desserts, barres de régimes…
Pour les limiter ou les éviter : privilégiez les sucres naturels : miel, sirop d’érable et d’agave, sucre complet ou rapadura… Ou réapprenez peu à peu à boire vos boissons sans sucre !
Les colorants caramels (E 150 b, c et d)
Dans la famille des caramels, les E 150 b, c et d n’ont rien à voir avec le caramel qu’on cuit dans une casserole. « Il s’agit de recettes de synthèse. Ils peuvent entraîner des troubles digestifs entre autres, explique le docteur Chevallier. L’Etat de Californie a également imposé la réduction des concentrations en E 150 d dans les boissons, pourquoi ne pas s’aligner en Europe ? » L’EFSA vient de revoir leurs DJA (doses journalières admissibles) : 300 mg par kilo de poids et par jour, avec une limite fixée à 100 mg pour le colorant E 150c. Une quantité pas si difficile à atteindre pour les gros consommateurs de certains produits. L’EFSA a également recommandé aux industriels de maintenir leurs niveaux aussi bas que possible. Le colorant E 150 a est quant à lui bien obtenu à partir de sucre.
On les trouve surtout dans : sodas, confiseries, soupes, vinaigres, sauces sojas, certaines bières…
Pour les limiter ou les éviter : les traquer sur les étiquettes.

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Fruits au sirop : peut-il y avoir des colorants ou des additifs ?

Colorants et parabens

Certains colorants
En particulier les E 102, E 104, E 110, E 122, E 124 et E 129. Lorsqu’ils sont associés à (…) Lire la suite sur Topsanté

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Cancer colorectal : 40% des cancers seraient évités avec une coloscopie tous les dix ans

Selon une étude américaine récemment publiée, le fait de réaliser une coloscopie tous les dix ans dès l’âge de 50 ans permettrait d’éviter jusqu’à 40% des cancers colorectaux.

La rectosigmoïdoscopie est un examen qui permet de n’explorer que la partie inférieure du colon. Or, selon une étude parue la semaine dernière dans la revue New England Journal of Medicine, cet examen reste insuffisant pour éviter tous les cancers du côlon, contrairement à la coloscopie qui examine la totalité du gros intestin.

En effet, jusqu’alors, aucune étude n’avait permis d’établir clairement l’efficacité de la coloscopie pour dépister les risques de cancer de la partie supérieure (proximale) du colon. Comme le souligne le Dr Shuji Ogino, épidémiologiste de la faculté de santé publique de Harvard, « la coloscopie est le test de dépistage le plus effectué aux États-Unis mais il n’y avait pas de preuves suffisantes jusqu’alors pour déterminer dans quelle proportion il réduit le risque de cancer du colon proximal, et la fréquence nécessaire à laquelle cette procédure doit être faite ».

Mais la nouvelle étude réalisée par le Dr Ogino et ses collègues « apporte des preuves solides que la coloscopie est une technique efficace de prévention du cancer du colon distal et proximal, alors que la rectosigmoïdoscopie est insuffisante pour éviter le cancer du colon proximal ».

Se faire dépister pour réduire le risque

Pour arriver à cette conclusion, les auteurs ont étudié les données récoltées auprès de 88.902 participants à deux études menées tous les deux ans de 1988 à 2008. Chez ces personnes, les scientifiques ont également porté leur attention sur les 1.815 cas de cancer colorectal qui se sont déclarés et sur les 474 décès qui en ont résulté. En comparant ces données avec les coloscopies et rectosigmoïdoscopies effectuées, ils ont pu constater que la coloscopie, comme la rectosigmoïdoscopie, permettaient de réduire le risque de développer un (…)

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Tous ces aliments dont on ne se méfie pas assez (et qui peuvent pourtant nous tuer)

On consomme certains d’entre eux sans se douter du risque que l’on court. Voici une liste non exhaustive de produits que vous ne regarderez plus de la même façon.

Les hommes sont capables de tout ignorer des règles de survie pourtant basiques. Nous poussons les limites de notre corps jusqu’à frôler la mort avec des exigences physiques (ultra-marathons dans le désert, record d’apnée sous l’eau) mais aussi gustatives. Quels sont ces aliments mortels que nous avons l’habitude de déguster ?

Nous avons tous dans notre entourage une personnage allergique aux cacahuètes. Gonflement de lèvres, urticaire, vomissements, nausées, toute personne allergique à l’arachide sait combien il peut être dangereux de manger une simple cacahuète. Il ne faut que quelques minutes pour voir apparaître les premières réactions. Selon Le Figaro, 500 000 Français seraient concernés, soit 1% de la population.

Peuvent-ils être aussi dangereux que les cacahuètes ? Selon l’American Academy of Pediatrics (AAP), la réponse est oui ! Il y a quelques années, l’organisation les a classés comme étant susceptible de provoquer des étouffements. La forme des hot dogs les rend surtout mortels pour les enfants. L’AAP a même recommandé que le hot dog adopte une nouvelle forme afin de sauver des vies ! 

Tout le monde aime la tarte à la rhubarbe, ou, moins acide, la tarte à la rhubarbe et aux fraises. Ce qu’il faut retenir quand on cuisine la rhubarbe, c’est utiliser seulement la tige, et jamais les feuilles vertes. Si elles sont consommées en quantités importantes, les feuilles de rhubarbe peuvent empoisonner, provoquer des convulsions et des problèmes respiratoires graves, d’après thefw.

Ce fromage italien de Sardaigne, qui signifie « fromage pourri » est connu pour être infesté par des larves vivantes. Il est amené à un stade ultérieur de fermentation par l’action digestive des larves de la mouche du fromage. Elles y engendrent un niveau avancé de (…)lire la suite sur Atlantico

Aliments industriels : les Français de plus en plus méfiants
Non, les carottes ne rendent pas aimables… Tous ces aliments à qui on prête des vertus qu’ils n’ont pas
Ces symptômes peu connus qui montrent votre manque de vitamines


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Le sexe dans tous les États

INFOGRAPHIE – Les contours de la vie intime évoluent aux quatre coins de la planète, révèle le récent Atlas mondial des sexualités.

Les Grecs sont les champions d’Europe du nombre de rapports sexuels par mois(11,5) devant les Français qui se classent sixièmes avec 10 rapports mensuels. Un Norvégien sur quatre a déjà expérimenté le triolisme (sexe à trois). Ces données peuvent sembler amusantes, voire anecdotiques, d’autant que les déclarations sur l’intimité sexuelle sont toujours à prendre avec des pincettes. Mais ces chiffres ont le mérite de faciliter les comparaisons. L’Atlas mondial des sexualités qui vient de paraître aux éditions Autrement regorge ainsi d’informations efficacement mises en cartes et d’infographies parfois surprenantes. Par exemple sur la prostitution: en Italie, celle-ci est largement dominée par les migrations avec plus de neuf travailleuses du sexe sur dix venant d’un pays étranger, contre une sur cinq en Angleterre.

• Acculturation sexuelle

La dernière étude vraiment robuste au niveau international a été réalisée en 2006 auprès de 27.500 personnes âgées de 40 à 80 ans, issues de 29 pays dont la France, sous la houlette des sociologues de l’université de Chicago. Elle montre que la satisfaction sexuelle est d’autant plus forte que l’égalité des sexes est la règle dans un pays. La France est plutôt bien placée avec la moitié des Français heureux dans leur relation de couple et environ 3 sur 4 satisfaits dans leur relation sexuelle. Les plus mal lotis sur ces deux critères étaient les Japonais (en bas à gauche sur l’infographie) cependant que les Autrichiens étaient les plus heureux en couple et sexuellement (en haut à droite). Il existe aussi des phénomènes d’acculturation susceptibles de modifier le comportement sexuel. A L’université du Texas, le Pr Cindy Meston a montré que les étudiants américains d’origine asiatique avaient des comportements sexuels plus conservateurs que ceux d’origine hispanique. L’étude montrait aussi (…)

Lire la suite sur Figaro.frLes rencontres en ligne font des mariages plus heureux
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Prendre de l’aspirine tous les jours réduit le risque de cancer

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Un traitement révolutionnaire contre tous les virus

Des chercheurs du prestigieux MIT, Massachussetts Insitute of Technology, avancent sur la mise au point d’un traitement révolutionnaire qui serait efficace contre tous les virus, rapport le magazine Time. Le traitement appelé Draco, pour double-stranded RNA activated caspase oligomerizers, pourrait être aussi efficace contre les virus que les …
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