La ministre fédérale de la Santé, Jane Philpott, a officiellement lancé, le 24 octobre, un processus de consultation qui doit mener à la publication du nouveau guide alimentaire canadien en 2019. La dernière mise à jour du guide remonte à 2007.
À la suite de cette consultation, le ministère publiera à la fin de l’année 2017 un rapport stratégique sur les directives alimentaires à l’intention des professionnels de la santé et des responsables des politiques.
Suivra ensuite, vers la fin de 2018, le nouveau modèle d’alimentation saine, tant en matière de quantités que de types d’aliments recommandés.
« Il faut que ce soit pertinent. Il faut que ce soit pratique et dans un langage simple, facile à comprendre et à mémoriser. Il doit y avoir des messages que les gens peuvent saisir en un coup d’œil : moins de gras saturés et plus de fibres, moins de viande et plus de légumes, moins d’aliments transformés, soyez plus actifs, bougez
», a illustré la ministre, dans son allocution devant le Congrès canadien sur la santé cardiovasculaire.
La ministre a également rappelé que de nouvelles normes en matière d’étiquetage de certains produits seront imposées, notamment pour mieux identifier les sucres ajoutés.
Pour ce qui est d’une taxe sur les boissons sucrées, revendiquée par certains groupes, la ministre n’est pas prête à en imposer une, du moins pour l’instant.
Aux États-Unis, un nouveau guide alimentaire a été lancé en janvier 2016.
Psychomédia avec sources : Santé Canada, La Presse canadienne (Le Devoir).
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Elle agit aussi sur les tissus voisins en stimulant les fibroblastes, cellules responsables de la formation des fibres de la peau, et notamment du collagène. Son usage demande toutefois des précautions, car ses racines contiennent des alcaloïdes appelés pyrrolizidines. À forte dose ou en usage prolongé, ces substances peuvent endommager sérieusement le foie.
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