Une pause saine et gourmande avec Gayelord Hauser

Faire rimer diététique et saveur est un véritable challenge. Avec ses nouveaux produits aussi bons que sains, la marque Gayelord Hauser relève ce défi haut la main et nous prouve qu’il est possible de contenter ses papilles tout en préservant son capital beauté et santé.

C’est le cas avec les superfruits – goji, mulberry, cranberry, acerola et açaï – que Gayelord Hauser nous propose sous toutes les formes pour combler toutes nos envies.

A croquer et présentés dans des sachets refermables très pratiques, ces superfruits aux saveurs acidulées se dégustent comme de petites douceurs sucrées après le sport, à l’heure du goûter ou en cas de baisse d’énergie.

En compotes sans sucres ajoutés, ils accompagneront idéalement un fromage blanc ou un yaourt et sous forme de boisson, ils remplaceront les jus de fruits classiques.

Même les plus gourmands seront séduits par les Cookies aux pépites de chocolat, version diététique de ce biscuit incontournable dont on retrouve le goût authentique pour seulement 46 kcalories par biscuit contre 86 kcalories pour la recette originale. Sources de fer, ces cookies participent aussi au bon fonctionnement du métabolisme énergétique ainsi que du système immunitaire.

A découvrir aussi dans la gamme, des Biscuits et des Barres de son d’avoine, sources de fibres, de satiété et de plaisir.

(Disponibles en GMS au rayon diététique. En savoir plus : www.gayelord-hauser.fr et conseils diététiques au 0810 160 160. Cookies Pépites de chocolat, prix indicatif : 2,65 €)


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Calculs rénaux : le risque est accru pour les amateurs de sodas

Selon une méga étude réalisée auprès de 200 000 personnes, le risque de calculs rénaux serait augmenté de 23 % pour les personnes buvant régulièrement des sodas

Selon une méga étude réalisée auprès de 200 000 personnes, le risque de calculs rénaux serait augmenté de 23 % pour les personnes buvant régulièrement des sodas

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Outre les effets néfastes sur la santé en terme de surpoids, la consommation de sodas augmenterait de 25 % les risques de calculs rénaux, selon une nouvelle étude américaine. Cette recherche, parue dans la revue Clinical Journal of the American Society of Nephrology, montre également que d’autres boissons comme le café ou encore le thé réduiraient ce risque. Le développement ou non de calculs rénaux serait donc lié au type de boissons consommées.

Pour parvenir à ces résultats, les scientifiques ont invité près de 200 000 personnes à répondre à un questionnaire sur leurs habitudes en terme de consommation de boissons. L’analyse des données recueillies sur près de 8 ans a permis de montrer que les personnes consommant au moins une boisson très sucrée comme par exemple du soda par jour avaient un risque de calculs rénaux de 23 % plus élevé que les personnes qui buvaient ce type de boisson moins d’une fois par semaine. A l’inverse, la consommation de boisson comme le thé, le café ou encore le jus d’orange réduirait ce risque au niveau rénal.

Selon les chercheurs du Brigham and Women’s Hospital de Boston qui ont travaillé sur cette étude, la survenue de calculs rénaux pourrait dépendre du type de boisson consommé, le risque étant le plus élevé pour les boissons les plus sucrées.

Des études antérieures avaient déjà établis l’association entre la consommation de sodas et la survenue de calculs rénaux. Mais ce n’est pas tout. La consommation excessive et/ou régulière de ces boissons très sucrées pourraient aussi contribuer au développement de pathologies comme l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires, le cancer de la prostate et même… augmenter le risque de dépression. Ce serait aussi pas moins de 180 000 décès dans le monde qui surviendraient en raison de l’absorption de sodas, selon une étude de l’École de Santé publique de l’Université de Harvard dont les résultats ont été présentés en mars 2013 dans le cadre du congrès de l’Association américaine des maladies du cœur.

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On adore… Le Soin Oligomer® Spa Phytomer

L’Oligomer, est une découverte majeure et fondatrice de la marque Phytomer.

Ce concentré d’eau de mer qui renferme 104 oligo-éléments nécessaires à la vitalité de l’organisme est une exclusivité mondiale et son secret de fabrication demeure jalousement gardé par la marque depuis plus de 40 ans.

C’est autour de cet actif qui transmet à la peau les propriétés reminéralisantes et fortifiantes de l’eau de mer qu’a été développé ce nouveau protocole de soin. Ré-énergisant pour la peau, ce soin l’est tout autant pour le corps grâce à un modelage profondément ressourçant et relaxant mis au point en collaboration avec un ostéopathe.

Pour préparer la peau, l’adoucir et lui apporter d’ores et déjà les bienfaits reminéralisants de l’Oligomer, le soin démarre avec une exfoliation du corps (30 minutes) à l’aide de la Crème de Gommage Corps à la Fleur d’Oligomer, un exfoliant sans rinçage.

Après une exfoliation minutieuse de tout le corps, l’esthéticienne poursuit avec un modelage pratiqué avec le Concentré de modelage biphasé à l’Oligomer, une prouesse formulatoire à base d’huiles marines qui assure glisse, légèreté et confort tout au long du modelage.

Pendant une heure complète, ce sont alors 65 manoeuvres, des techniques de modelage appuyé sur les chaînes musculaires, qui vont délicieusement rythmer le soin.

Jambes, pieds, mains, ventre, dos, cuir chevelu, ce sont toutes les parties du corps qui se délient petit à petit sous les mains expertes de l’esthéticienne et une sensation de relâchement exceptionnelle qui vous envahit.

Et non seulement les tensions sont libérées mais c’est toute la circulation de l’énergie qui est rétablie avec à la clé, beaucoup de bien-être et un corps véritablement défatigué.

Oligomer Spa de Phytomer, ce sont 90 minutes à s’accorder avec plaisir ou bien à offrir pour retrouver une peau nourrie et un corps profondément et durablement ressourcé.

(Soin Oligomer® Spa Phytomer. Disponible à l’institut Escale Essentielle, 23 rue Henri Rochefort 75017 Paris et dans les 600 spas et instituts de beauté Phytomer. Tél. lecteurs : 02 23 18 31 31 et info sur : www.phytomer.com. Durée 90 minutes, prix indicatif : de 90 € à 110 €)


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Création de cellules souches embryonnaires humaines : une première !

Une équipe américaine vient de réaliser l'exploit de créer, grâce au clonage, les premières cellules souches embryonnaires humaines.

Une équipe américaine vient de réaliser l’exploit de créer, grâce au clonage, les premières cellules souches embryonnaires humaines.

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Des scientifiques américains viennent de réussir un exploit. Ils sont parvenus à créer, grâce au clonage, des cellules embryonnaires à partir de cellules adultes et non plus à partir de cellules d’embryon. Jusqu’à présent, cette technique qui avait été utilisée avec succès chez les animaux, donnant naissance à la première brebis clonée de l’histoire appelée Dolly avait toujours échoué chez les êtres-humains.

L’équipe de Shoukrat Mitalipov de l’Université des sciences et de la santé et du Centre national de recherche sur le primate de l’Oregon viennent de montrer qu’il est possible de créer des cellules souches embryonnaires à partir de donneurs humains adultes. La technique qui est la même que celle qui avait été utilisée pour créer la brebis Dolly, a consisté à transplanter du matériel génétique d’une cellule de peau adulte dans un ovocyte dont l’ADN avait été retiré. En cultivant les cellules obtenues à partir de cet embryon cloné et en les cultivant dans un milieu adapté, les scientifiques ont été capables de les transformer en cellules cardiaques qui se sont mises à battre spontanément.

Grâce à ce procédé, il devient donc possible de « refabriquer » des neurones, des cellules de muscles ou de coeur à partir de cellules souches d’un individu adulte. L’espoir est de remplacer les cellules endommagées ou détruites par les accidents de la vie ou la maladie par de nouvelles cellules issues du clonage et d’éviter également le phénomène de rejet comme c’est le cas lors d’une greffe.

Pour des raisons éthiques, la plupart des laboratoires avait abandonné cette technique de création de cellules souches à partir du clonage.

Une autre approche pour créer des cellules souches existe. Elle a été mise au point par le Pr Shinya Yamanaka de l’université de Kyoto, qui a obtenu le Prix Nobel de médecine en 2012. Il a réussi à fabriquer chez la souris à partir de cellules de la peau, des cellules souches nommées iPS (induced Pluripotent Stem cells). L’approche est différente puisque ce procédé ne passe pas par le clonage mais grâce à la mise en présence de cellule de la peau et de certains gènes, les cellules adultes redeviennent des cellules souches. Cette nouvelle cellule pourra ensuite se transformer en d’autres cellules.

Alors, cellules souches iPS ou cellules souches issues du clonage ? En l’état actuel des recherches, ni l’une ni l’autre des approches n’a fait ses preuves en clinique. D’un côté comme de l’autre, il faut s’assurer que ces cellules souches fabriquées « artificiellement » puissent se développer normalement et ne présentent aucun danger sur le long terme. Ces deux techniques sont toutefois porteuses d’espoir au niveau thérapeutique mais aussi de craintes principalement au niveau du clonage. Si on parvient en effet à fabriquer de nouvelles cellules de foie, de coeur, etc à partir du clonage, pourra-t-on un jour créer un être-humain entier cloné comme pour la brebis Dolly ? Pour le moment, cela semble digne d’un bon film de science-fiction… mais jusqu’où ira-t-on et quels en seront les conséquences ?

Une équipe américaine vient de réaliser l'exploit de créer, grâce au clonage, les premières cellules souches embryonnaires humaines.

Une équipe américaine vient de réaliser l’exploit de créer, grâce au clonage, les premières cellules souches embryonnaires humaines.

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BigMoustache.com, le nouveau spécialiste du rasage online

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Au Masculin

Publié le 17 mai 2013

Big Moustache c’est l’idée géniale de cinq copains qui ont imaginé un service simple et transparent pour à la fois dénoncer et révolutionner le mode de consommation actuel d’un des produits de leur quotidien : le rasoir.

Le concept de Big Moustache lancé en mars 2013, c’est donc de proposer des rasoirs et des lames de qualité, livrées à domicile chaque mois, deux à trois fois moins chères que les marques et tout cela sans engagement.

Fini les lames usées qui irritent la peau, terminé les files d’attente au supermarché et pour les femmes, adieu la « jungle » du rayon rasoir. Avec Big Mousatche, aucune chance de se tromper de modèle. C’est une lame neuve qui est toujours de côté et que l’on paie à son juste prix (à partir de 2 euros par mois) en l’absence de frais marketing et de marge de distributeur.

Le paiement s’effectue en ligne et le premier pli envoyé contient un manche et son pack de lames. Chaque mois, après prélèvement automatique à date anniversaire, un nouveau pack de lames est envoyé à la maison sous enveloppe.

Pour découvrir en image le concept de Big Moustache, c’est ici :

Big Moustache change ainsi la donne et simplifie le quotidien de tous les terriens mal rasés. Tout simple…mais il fallait y penser !

www.bigmoustache.com


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L’Osphena est-il un viagra féminin ?

Présenté comme le viagra féminin, l’Osphena vient d’obtenir l’agrément des autorités américaines. Mais ce médicament s’adresse à des femmes de plus de 50 ans qui subissent les effets de la ménopause.

Il vient d’obtenir l’autorisation de la Food and Drug Admistration (FDA) et suscite beaucoup d’intérêt de l’autre côté de l’atlantique. L’Osphena est indiqué dans le traitement des femmes ménopausées qui souffrent de dyspareunie, c’est-à-dire de fortes douleurs lors des rapports sexuels. Mais déjà la presse l’a surnommé le viagra féminin.

Qu’en est-il exactement ? En fait, ce médicament contient des œstrogènes. Il permet d’assouplir les tissus et d’augmenter les sécrétions. Il s’adresse donc à des femmes atteintes, notamment, de sécheresse vaginale au moment de la ménopause. L’Osphena rend donc les rapports moins douloureux et les femmes éprouvent moins d’appréhension. En ce sens,  il peut agir de manière indirecte sur la libido. Mais il n’a aucun effet sur la composante psychologique du désir.

La comparaison avec  le viagra n’a pas lieu d’être dès lors que la pilule bleue permet d’améliorer les fonctions érectiles. Son action agit sur une mécanique alors que la sexualité féminine obéit à des stimuli  organiques et psychologiques.

En revanche, la prescription d’œstrogènes doit faire l’objet d’une surveillance médicale continue. Elle s’adresse à des femmes qui sont confrontées à des désordres hormonaux. Le traitement peut, en effet, engendrer des effets secondaires, comme la formation des caillots sanguins.

Avoir un chien à la maison, c’est bon pour la santé

Une étude de l’American Heart Association montre que la présence d’un chien réduit les risque de diabète et de maladies cardiovasculaires. Promener son chien quotidiennement améliore le bien-être émotionnel, le bien-être physique, la qualité de vie et la perception de soi. Ce rôle bénéfique se retrouve aussi bien chez les adolescents que les personnes âgées.

Les chercheurs de l’American Heart Association ont observé les données médicales de près de 5.200 Américains sur plusieurs années pour s’apercevoir que les possesseurs d’animaux de compagnie, et particulièrement des chiens, sont plus actifs que les personnes qui n’en possèdent pas.

« Avoir un chien est associé à un risque plus faible de maladie cardiovasculaire », a déclaré le docteur Glenn Levine. La raison est simple : ils promènent leur chien. Cette activité physique est primordiale en prévention primaire des maladies cardiovasculaires mais également en prévention secondaire. Elle intervient également dans le traitement de la dyspnée au cours de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). Elle joue un rôle fondamental pour éviter le gain de poids et elle réduit le risque de certains cancers (colorectal, sein, endomètre, poumon, prostate).

Des études épidémiologiques modernes ont montré que la pratique d’une activité physique diminue d’un tiers le risque de mortalité prématurée, améliore le bien-être émotionnel, le bien-être physique, la qualité de vie et la perception de soi. Il est également montré que la qualité de vie des malades chroniques se trouve améliorée, ainsi que celle de certaines catégories de handicaps, lorsque l’accompagnement est satisfaisant.

Du soleil pour vivre plus longtemps

Une nouvelle étude prétend que l’exposition au soleil améliorerait la santé en général, en plus de possiblement jouer un rôle positif sur l’espérance de vie.

Les chercheurs de l’Université d’Édimbourg ont démontré que lorsque notre peau est exposée aux rayons du soleil, un composé est libéré dans nos vaisseaux sanguins, contribuant à abaisser la pression artérielle.

Selon eux, les avantages de la réduction de la pression artérielle l’emportent de loin sur le risque de développer un cancer de la peau.

«Nous pensons que les avantages de la lumière du soleil pour la santé du cœur l’emportent sur le risque de cancer de la peau. Le travail que nous avons accompli fournit un mécanisme qui pourrait expliquer ce phénomène et également pourquoi les suppléments alimentaires de vitamine D à eux seuls ne peuvent pas compenser le manque de soleil», a expliqué le Dr Richard Weller, conférencier principal en dermatologie à l’Université d’Édimbourg

«Nous envisageons maintenant d’examiner les risques relatifs de maladies cardiaques et le cancer de la peau chez les personnes qui ont reçu différentes expositions solaires. Si cela confirme que la lumière du soleil réduit le taux de mortalité, toutes causes confondues, nous devrons reconsidérer nos conseils sur l’exposition au soleil.»

Antibiotiques : un enjeu de développement durable

PAROLE D’EXPERT-Tous les mois dans Le Figaro , des membres de l’Académie des sciences répondent aux grandes questions de l’actualité scientifique. Aujourd’hui, Vincent Jarlier, bactériologiste. Université Paris-VI, Faculté de médecine Pierre et Marie Curie.

LA MENACE que représentent la résistance aux antibiotiques et son stade ultime, l’impasse thérapeutique (très peu ou plus d’antibiotiques encore efficaces), est évidente lorsqu’elle concerne de grandes maladies bactériennes contagieuses comme la tuberculose, la typhoïde ou les infections génitales à gonocoques. Elle est, en revanche, beaucoup moins visible quand elle concerne les bactéries commensales qui peuplent de manière permanente et normale notre tube digestif (environ 100 milliards par gramme de selles), notre rhinopharynx (environ 100 millions par millilitre de salive) et notre peau.

Les antibiotiques ont une caractéristique singulière: ils n’agissent pas sur l’organisme humain (au contraire des médicaments de l’hypertension, du diabète ) mais sur les bactéries du foyer infectieux, qui sont en général peu nombreuses (quelques millions en tout), ainsi que sur nos innombrables bactéries commensales.

Sous l’effet de l’antibiotique, les rares bactéries commensales qui ont développé des mécanismes de résistance (mutations, acquisition de gènes provenant d’autres bactéries) prolifèrent et remplacent les bactéries sensibles. Les bactéries ainsi «sélectionnées» peuvent être transmises à d’autres personnes (transmission croisée). Elles peuvent aussi transférer les gènes qui codent leurs mécanismes de résistance à des bactéries sensibles, qui deviennent résistantes à leur tour.

On sait, par exemple, que les bactéries intestinales résistantes diffusent au sein d’une même famille, d’un service hospitalier et dans les eaux des égouts, en particulier celles des hôpitaux, puis les stations d’épuration, dont les résidus sont utilisés comme fertilisants agricoles, et les effluents liquides déversés dans les cours (…)

Lire la suite sur Figaro.frMieux surveiller pour mieux réagir
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Du nouveau dans la gamme Weleda Bébé au Calendula

Parce que les mamans sont toujours plus exigeantes vis à vis des produits qu’elles utilisent pour leurs bébés, Weleda apporte une nouvelle réponse à leurs attentes avec une gamme de soins pour bébé revisitée et développée en collaboration avec une équipe de sages-femmes et de pharmaciens.

A base de calendula bio cultivé en biodynamie dans les propres jardins de Weleda en Allemagne et exempte de conservateur, d’huile minérale, de silicone, de parfum et de colorant de synthèse, cette nouvelle gamme Weleda Bébé protège, apaise et nourrit la peau des bébés. Elle peut même être utilisée dès les premiers jours de la vie.

Les formules du Bain Crème et de la Crème Lavante Corps et Cheveux restent les mêmes mais les quatre autres produits non rinçables de la gamme originale ont été reformulés.

Au programme, de nouvelles textures, plus de principes actifs avec notamment plus d’ingrédients bio, des formules allégées en huiles essentielles et de nouveaux parfums plus doux, plus en harmonie avec l’odeur de bébé, pour encore plus de respect de la peau fragile des bébés et de plaisir à l’utilisation.

Pour une meilleure identification de la gamme, les packagings ont quant à eux été tous retravaillés avec une mise en avant de la plante phare : le calendula.

Pour les mamans qui veulent apprendre à masser leur bébé avec l’Huile de Massage Douceur, Weleda propose depuis 2006 un Atelier Massage du Bébé à l’Espace Weleda à Paris. Guidées par une masseuse-kiné, les mamans apprennent à se mettre à l’écoute des besoins de leur bébé et à construire un lien de confiance avec lui.

(Gamme Bébé Calendula, Weleda. Disponible en pharmacies, parapharmacies, boutiques bio. A partir de 6,75 € la Crème Lavante Corps et Cheveux. Atelier Massage Bébé à l’Espace Weleda, 10 avenue Franklin Roosevelt 75008 Paris – Sur rendez-vous au 01 53 96 06 15)


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