Archives de catégorie : ACTUALITES

MOËLAN-SUR-MER: L’eau du robinet contaminée par l’Escherichia coli (E-Coli)

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L’eau du robinet consommée par les est contaminée par les habitants des communes de Moëlan-sur-Mer et Riec-sur-Belon contiendrait une source pathogène de la bactérie Escherichia coli (E-Coli).

Les services de l’Agence régionale de santé ont découvert que l’eau de Moëlan et Riec est contaminée par Escherichia coli (E-Coli), une bactérie non-mortelle, mais qui peut provoquer des gastro-entérites éventuellement hémorragiques pouvant être suivies de complications rénales sévères.

La préfecture du Finistère, qui a mis en place ce dimanche une cellule de crise, demande aux habitants des communes de Moëlan-sur-Mer et Riec-sur-Belon de ne plus boire l’eau du robinet.

Des distributions d’eau potable sont organisées ce dimanche entre 18 h et 20 h au centre culturel l’Ellipse de Moëlan et lundi de 10 h à 12 h aux services techniques de Riec, zone de Kermorvan.
Eau potable

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Bilan de l’épidémie de choléra au Bénin

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Le bilan provisoire de l’épidémie de choléra qui sévit dans le sud du Bénin est de sept morts sur les 150 cas dénombrés, a annoncé le ministre de la Santé, Akoko Kindé Gazar.

Au moins sept personnes ont péri dans l’épidémie de choléra qui s’est déclarée dans la zone sanitaire d’Allada-Zê-Toffo, dans le sud du Bénin, a annoncé le ministère de la Santé qui a assuré maîtriser l’épidémie aussi tôt que possible.

Cette maladie diarrhéique épidémique a très vite évolué dans le sud du Bénin « du fait de la non-déclaration de certains cas » en plus du « retard dans les prises de dispositions », a déclaré le Dr Didier Abgozognibé, un médecin de la zone infectée. Le ministère de la Santé a finalement pris les dispositions pour maîtriser cette épidémie de choléra.

Le choléra provoque de violentes diarrhées et de vomissements pouvant causer le décès du patient dans les trois jours en l’absence de traitement. La mortalité est plus élevée chez les personnes âgées, les enfants et les individus fragilisés.

Le traitement consiste essentiellement à compenser les pertes digestives d’eau et d’électrolytes. L’antibiothérapie est recommandée dans les cas graves.Lutte contre le choléra

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Votre présence au bureau n’est plus obligatoire

Quand les entreprises permettent à leurs employés de faire tout ce qu’ils le veulent, du moment que le travail est fait.

En 2003, alors qu’elles planchaient sur de nouvelles directives de gestion des ressources humaines pour Best Buy, un important distributeur de matériel électronique américain, Cali Ressler et Jody Thompson eurent une idée révolutionnaire. Elles se demandèrent ce qui arriverait si l’on accordait aux employés une autonomie totale en échange d’une responsabilité totale. Qu’adviendrait-il si le personnel était jugé uniquement sur le travail fourni et non plus sur sa manière de l’accomplir?

Cali Ressler et Jody Thompson baptisèrent leur projet ROWE, pour «Results-Only Work Environment» (Environnement de travail axé uniquement sur les résultats). Il comportait plusieurs propositions radicales. Les employés avaient le droit de travailler de chez eux quand bon leur semblait, sans avoir à se justifier ni à s’excuser.

Les congés maladie et les jours de vacances à poser devenaient obsolètes, les employés pouvant prendre autant de journées qu’ils le souhaitaient, aux dates qui les arrangeaient. Une idée peut-être encore plus provocante: toutes les réunions devenaient facultatives. Et ce, même si l’employeur avait convié personnellement le salarié. Si ce dernier considérait que sa présence n’était pas nécessaire, il pouvait ne pas s’y rendre.

En contrepartie de cette liberté totale, les salariés devaient se montrer efficaces. Les employeurs devaient établir des objectifs globaux (par exemple, augmenter les ventes de 10%) puis évaluer les résultats sans faire de microgestion (comme noter les premiers arrivés au bureau le matin et les derniers partis le soir). Tant que les objectifs étaient atteints, votre employeur n’avait aucune réflexion à vous faire sur votre demi-journée d’absence prise pour assister au match de foot de votre petit dernier.

Parallèlement, l’absence de résultats ne pouvait en (…) Lire la suite sur Slate.fr


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Les 6 aliments qui rendent intelligent

Le cerveau ne pèse que 2% de notre poids total, mais il est très gourmand et a besoin d’une alimentation équilibrée et sélectionnée avec soin pour fonctionner et pour être au top. Découvrez les 6 aliments à mettre régulièrement au menu pour être plus intelligent !

Les poissons gras

Le cerveau aime les omégas 3. Plus de la moitié de la masse du cerveau est constituée de lipides, dont 70% sont des acides gras, les omégas 3. Elles sont essentielles dans l’activité des neurones et jouent un rôle important pour la mémoire. Sardine, maquereau, hareng, saumon, mais aussi huile de colza ou de noix vous apportent des omégas 3. A intégrer à vos menus au moins 2 à 3 trois fois par semaine.

Les légumineuses

Le cerveau dépense beaucoup d’énergie pour fonctionner, il est un gros consommateur de sucre.

Mais hors de questions de le nourrir avec des sucres rapides qui font monter les pics de glycémie, mauvaise pour votre prise de poids et désagréable pour le cerveau qui n’aime pas les variations trop rapides! On privilégie les sucres lents des légumineuses (lentilles, pois chiche…), et des céréales complètes.

Le chocolat

La cacao riche en flavonoïdes stimule le flux sanguin vers le cerveau et aide donc à stimuler les performances cognitives.

Les fruits rouges

Fraises, framboises, cassis… On fait le plein de fruits rouges pour faire une cure de vitamine C et de bêtacarotène un antioxydant qui s’attaque aux radicaux libres, ces substances toxiques qui endommagent nos cellules.

Les fruits de mer

Le cerveau combat l’anxiété, la fatigue et la nervosité avec les oligo-éléments (manganèse, cuivre, lithium, zinc et iode). Pour en faire le plein, pensez aux fruits de mer qui apporteront aussi de la vitamine B12 et des protéines, particulièrement la lysine, un puissant neuromédiateur.

Les abats

Notre cerveau est très gourmand en oxygène. Il consomme près de 20% de cette molécule du corps humain. Mais pour apporter au cerveau cette ressource, notre corps a besoin de fer. Cet oligo-élément favorise aussi une bonne mémoire et une bonne concentration. Si on en trouve dans les épinards, il est aussi très concentré dans les abats. Le foie a aussi l’avantage d’être riche en vitamines B qui améliorent la fonction cognitive.

On évite

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SIDA: Le VIH réapparaît chez une fillette qu’on croyait « guérie »

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Le Virus de l’immunodéficience humaine (VIH-1) est réapparu chez une fillette américaine de quatre ans infectée in utero qui avait été déclarée guérie du Syndrome d’immunodéficience acquise (SIDA), a annoncé le Dr Deborah Persaud, pédiatre au Centre John Hopkins de Baltimore.

Une fillette américaine née avec le Virus de l’immunodéficience humaine dans le Mississipi et immédiatement traitée par trithérapie après sa naissance demeurait sans signe d’infection 18 mois après l’arrêt des antirétroviraux, ce qui a laissé croire aux praticiens qu’elle était guérie.

Les premiers tests avaient permis à Deborah Persaud, pédiatre au Centre John Hopkins de Baltimore, de conclure que l’organisme de « Baby Mississipi », comme la presse avait surnommé la fillette, s’était débarrassé du virus du Sida.

De nouveaux tests sanguins ont révélé la présence du virus du Sida dans le sang de la petite Américaine. « Ce rebondissement est très décevant », a réagi le Docteur Anthony Fauci, directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases/ Institut national de l’allergie et des maladies infectieuses (NIAID).

Les antirétroviraux peuvent inhiber l’activité du Virus de l’immunodéficience humaine dans le milieu intérieur, mais le virus du Sida a des lieux de refuge, appelés « réservoirs » ou « sanctuaires », notamment dans les intestins et la cervelle. Ces réservoirs mettent le virus à l’abri d’une éradication par les traitements antirétroviraux actuels. S’il y a interruption du traitement, le virus du Sida émerge de ces réservoirs pour repartir à l’assaut de l’organisme.

La guérison partielle d'un bébé du sida redonne espoir

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Maladie d’Alzheimer : un diagnostic simplifié, avec les critères les plus fiables

Crédit photo : ©National Institutes of Health

Crédit photo : ©National Institutes of Health

Combien de patients ont un diagnostic erroné de la maladie d’Alzheimer ? La réponse surprend par son importance : plus d’un tiers !

Pour limiter les erreurs, les critères de diagnostic doivent être les plus fiables possibles, en particulier au stade très précoce de la maladie. C’est ce sur quoi planche, depuis une dizaine d’années, une équipe internationale de neurologues, coordonnée par Bruno Dubois (UMRS 975 Inserm/Université Pierre et Marie-Curie/AP-HP). Dans la revue The Lancet Neurology de juin, les chercheurs sont parvenus à un diagnostic simplifié avec les critères les plus spécifiques de la maladie. Un enjeu principalement pour la recherche, mais aussi pour la clinique.

La maladie d’Alzheimer est une maladie neurodégénérative. C’est la plus fréquente (70%) des démences. En France, le nombre de personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer et d’autres démences est estimé entre 750.000 et un million et devrait atteindre 1,29 à 1,40 million de patients en 2030. La maladie d’Alzheimer est due à une perte de neurones. C’est l’accumulation de certaines protéines cérébrales qui est à l’origine des lésions. La pathologie commence par des troubles de la mémoire. Puis viennent des difficultés à s’orienter dans l’espace et le temps, des troubles du comportement et une perte d’autonomie. Mais ces symptômes ne sont pas spécifiques de la maladie d’Alzheimer. Et tout l’enjeu est de savoir distinguer cette pathologie d’autres démences, de poser le diagnostic le plus fiable et le plus précoce possible.

En 2005, un groupe international de neurologues, coordonné par Bruno Dubois à l’Inserm, s’est réuni pour redéfinir les critères diagnostiques établis en 1984. Jusqu’alors, il fallait attendre la mort d’un patient pour pouvoir établir avec certitude le diagnostic de maladie d’Alzheimer, après l’examen des lésions dans son cerveau. Et de son vivant, on ne pouvait évoquer qu’une probabilité de pathologie et seulement à un stade tardif, à partir d’un certain seuil de sévérité de démence.

En 2007, l’équipe internationale a fait voler en éclats ces concepts. Les chercheurs ont introduit de nouveaux critères diagnostiques, en particulier des biomarqueurs. Il s’agit de véritables signatures de la pathologie, présentes dès les premiers symptômes (stade prodromal).

La publication de ces résultats a constitué une révolution. Des chercheurs se sont alors aperçus qu’avec ces nouveaux critères, « 36% de leurs patients inclus dans un essai thérapeutique sur la base d’anciens critères cliniques n’avaient pas la maladie d’Alzheimer », rapporte Bruno Dubois. Et même si cette analyse n’a porté que sur un sous-groupe de patients, l’enjeu est important. Des patients n’ont pas reçu le bon traitement et/ou la bonne prise en charge. Et la mauvaise sélection des patients a peut-être eu un impact sur l’absence d’efficacité du nouveau traitement qui a été observée.

Depuis 2007, beaucoup d’études ont été publiées. Et le groupe international a décidé d’analyser cette littérature pour rendre plus simple et plus fiable l’algorithme de diagnostic de la maladie d’Alzheimer.

« On est au bout du chemin, on arrive à l’essentiel, à quelque chose d’épuré, émanant d’un consensus international», indique le Pr Dubois. Le diagnostic de la maladie d’Alzheimer repose désormais sur « un seul couple de critère clinico-biologique pour tous les stades de la pathologie » (cf encadré).

Cet algorithme plus simple et plus fiable est important, tout d’abord pour la recherche (essais thérapeutiques, caractérisation de la pathologie, suivi de cohortes de patients…). En dehors de la recherche, l’utilisation des biomarqueurs, qui est onéreuse et/ou invasive, reste pour l’instant limitée aux patients jeunes ou aux cas difficiles ou complexes dans des centres experts.

Le diagnostic de la maladie d’Alzheimer repose la plupart du temps d’abord sur un profil clinique évocateur. Il est ensuite confirmé ou infirmé par un biomarqueur.

Pour le profil clinique, trois situations existent :

– cas typiques (80 à 85% de tous les cas): troubles de la mémoire épisodique à long terme (appelés syndrome amnésique de type hippocampique et correspondant par exemple à la difficulté de se rappeler d’une liste de mots même avec des indices)

– cas atypiques (15 à 20% des cas): atrophie de la partie arrière du cortex cérébral ou aphasie logopénique (trouble de la mémoire verbale où le patient répète un mot en inversant les syllabes par exemple) ou atteinte de la partie avant du cerveau (qui donne des troubles du comportement)

– états précliniques: asymptomatiques à risque (patients sans symptôme mais pour lesquels on découvre fortuitement dans le cadre d’études scientifiques qu’ils ont des biomarqueurs positifs) et présymptomatiques (ayant une mutation génétique)

L’un des deux biomarqueurs suivants est nécessaire :

– dans le liquide céphalorachidien (issu d’une ponction lombaire) : teneurs anormales de protéines cérébrales (en baisse pour la protéine bêta amyloïde et en hausse pour la protéine tau)

– dans le cerveau par neuro-imagerie TEP (tomographie par émission de positons) : rétention élevée du traceur amyloïde

Ceci est un communiqué de presse de l’INSERM (Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale)


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IRM: Des délais d’attente trop longs en France

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En France, les patients atteints d’un cancer avec suspicion de métastase attendent en moyenne 37,7 jours pour passer une IRM (Imagerie par résonance magnétique).

Une enquête de la société de conseil en économie médicale Cemka-Eval montre que les délais d’attente pour obtenir un examen IRM en cas d’urgence oncologique sont en moyenne de 37,7 jours, selon les résultats d’une enquête réalisée par la société Cemka-Eval pour l’association Imagerie Santé Avenir.

La pénurie d’équipements IRM (+5,9 % en 2013, soit 38 machines supplémentaires) et la multiplication des indications de l’IRM par l’Autorité de la Sûreté Nucléaire expliqueraient l’aggravation des délais d’attente pour passer une IRM en France.IRM

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La pilule du futur de Bill Gates

Un implant, contrôlable depuis une télécommande, pourra être utilisé de façon pérenne, pendant 16 ans sans aucune intervention. Une révolution.

Une puce sous-cutanée que l’on peut garder 16 ans en guise de contraception, tel est le produit-miracle qu’est en train de mettre au point une équipe de chercheurs du prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), financée par la Fondation Bill & Melinda Gates. La puce sera utilisable avec une télécommande on/off afin d’activer – ou non – la puce contraceptive.

D’une taille de 20 millimètres, elle délivrera depuis son petit réservoir une dose quotidienne de 30 mg de lévonorgestrel, un progestatif utilisé dans les pilules dites « classiques ».

2018 ?

C’est pour quand ? Pour bientôt. La méthode de l’implant, fabriqué par la start-up Micro Chips, a d’ores et déjà été testée pendant un mois avec un médicament contre l’ostéoporose chez les femmes ménopausées, avec succès, indique la MIT Technology Review, qui a bon espoir de mettre très bientôt – en 2018 si tout se passe bien -, à disposition des femmes la toute première pilule au monde que celles-ci seront contentes d’oublier.

La Fondation Bill Gates n’en est pas à sa première affaire de contraception. En mars 2013, elle avait ouvert un concours, avec 100 000 dollars à la clé pour qui inventerait le préservatif du futur. C’est l’université de Wollongong (Australie) qui avait décroché le pactole, grâce à un préservatif à base d’hydrogel, pour plus de plaisir pendant les rapports sexuels. Une condition qui figurait d’ailleurs dans le cahier des charges du concours.

Retrouvez cet article sur LePoint.fr

Oui, le café est bon pour la santé !
Paris va tester l’interdiction de la cigarette dans un jardin public
La méditation améliore le cerveau
Prescrire plus de génériques permettrait d’économiser 500 millions d’euros
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Paris: La cigarette bientôt interdite dans un jardin public

TABAC – Il s’agit d’une expérimentation selon la maire Anne Hidalgo…

La ville de Paris va expérimenter l’interdiction de la cigarette dans un jardin public, a annoncé dimanche le maire (PS) Anne Hidalgo au Grand jury RTL/LCI/Le Figaro. La mairie va-t-elle interdire totalement la cigarette dans les jardins? « Non, mais faire une expérimentation dans un jardin où on ferait de la pédagogie sur les addictions », a répondu le maire. Mme Hidalgo n’a pas précisé dans quel jardin public cette expérimentation serait menée.

« C’est un débat dans notre majorité » mais ce n’est pas « l’interdit que l’on porte », a précisé Mme Hidalgo, élue maire de Paris en mars. « Je rassure les fumeurs, dont je ne suis pas », a-t-elle dit. Elle a rappelé au passage que les services de propreté de Paris devaient gérer « 350 tonnes de mégots par an, avec des problèmes de non-recyclage, ça pèse sur les finances de la ville ». La Ville a d’ailleurs lancé une campagne dont le slogan est « Ecrase ton mégot, sois un héros ». Les nouvelles poubelles installées à Paris disposent ainsi d’un petit rebord sur lequel doivent être écrasées les cigarettes avant que le mégot soit jeté.

Retrouvez cet article sur 20minutes.fr

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SALMONELLES : 100 tonnes de reblochons retirés

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La Société laitière des Hauts de Savoie et le groupe Fromageries POCHAT et Fils, qui fabriquent et commercialisent des reblochons laitiers, ont rappelé plus de 100 tonnes de reblochons laitiers suite à la suspicion de la présence de salmonelles.

Fromageries POCHAT et Fils, entreprise spécialisée dans le secteur d’activité de la fabrication de fromage, et la Société laitière des Hauts de Savoie spécialisée dans le secteur d’activité du commerce de gros de produits laitiers, œufs, huiles et matières grasses comestibles, ont procédé par mesure de précaution à un retrait de la vente et à un rappel de 100 tonnes de reblochons laitiers suite à la suspicion de la présence de salmonelles.

Les salmonelles constituent une famille de bactéries, dont certaines sont susceptibles de provoquer des une infections bactériennes appelées salmonelloses. Les personnes infectées peuvent développer de la fièvre, de la diarrhée et des crampes abdominales dans un délai de 12 à 48 heures après l’infection.

Les produits concernés par ce rappel sont des ½ reblochons, des gros reblochons et des petits reblochons de marque sanitaire FR 74-116-050 CE imprimée dans un ovale sur l’emballage avec une DLUO antérieure au 20/08/2014. Ces mesures concernent aussi des demi reblochons de marque sanitaire FR 74-011-060 CE imprimée dans un ovale sur l’emballage avec une DLUO antérieure au 4/07/2014.

Ces reblochons vendus au rayon libre-service entre le 15 mars 2014 et le 7 juin 2014 dans les magasins de vente au détail ou dans des supermarchés ont été retirés de la commercialisation.

Pour tout renseignement complémentaire, vous pouvez appelez le 0800 120 120 « ouvert de 9h00 à 20h00 » pour contacter les société Fromageries POCHAT et Fils et Société laitière des Hauts de Savoie.Salmonelles

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