Archives de catégorie : ACTUALITES

Fin du programme « M’T’Dents » dans les écoles

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Depuis plusieurs  années déjà tout le monde ou presque vante les mérites du programme de prévention « M’T’Dents » lancé par l’Assurance-maladie.

« M’T’Dents » c’est d’abord un examen bucco-dentaire gratuit pour faire vérifier la santé de ses dents. Il est intégralement pris en charge par l’Assurance Maladie sans avoir à faire l’avance des frais. En clair, et pour faire court, c’est un rendez-vous de prévention chez le dentiste pour vérifier si tout va bien.

Sont concernés les enfants et adolescents âgés de 6, 9, 12, 15 et 18 ans, âges les plus exposés aux caries. Attention il s’agit de rendez-vous complémentaires des visites habituelles chez le dentiste.

Mais « M’T’Dents » c’était aussi un programme de prévention en milieu scolaire destiné à organiser la sensibilisation des plus jeunes.

Oui mais à la stupéfaction générale on vient d’apprendre, via l’Union française pour la santé bucco-dentaire, que cette opération était annulée pour les trois prochaines années et ce dès cette année. Seules certaines classes de ZEP (zones d’éducation prioritaires) seront encore concernées, à peine une dizaine de classes par département.

La quasi-suppression de ce programme choque l’UFSBD qui demande au gouvernement de revenir sur sa position afin de ne pas mettre en danger la santé bucco-dentaire de la prochaine génération.

Car si ce choix a été fait, on l’imagine en tout cas, dans le but de faire des économies, les professionnels mettent en garde contre le coût social qui au final risque d’être bien supérieur aux économies générées par cette mesure d’austérité.

L’occasion de rappeler qu’en matière de santé bucco-dent​aire, les inégalités se font ressentir dès le plus jeune âge. Une situation d’autant plus désolante qu’une identification précoce des problèmes dentaires permet d’éviter des traitements lourds et coûteux ensuite.


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Cancer : les Français favorables aux approches complémentaires

Améliorer la qualité de vie pendant un cancer, identifier les difficultés de l’après-cancer, bien s’informer sur la maladie… le baromètre cancer « Institut Curie – Viavoice » vise depuis 2013 à analyser l’opinion des Français sur le cancer, en particulier concernant la qualité de vie, l’information sur la maladie et les enjeux de l’ « après-cancer ».

L’édition 2014 de ce baromètre montre que les Français accordent une attention constante à la qualité de vie et plébiscitent de plus en plus les approches complémentaires comme le yoga, la sophrologie, l’hypnose ou encore le sport adapté.

Plébiscite des approches complémentaires

2014 signe même un véritable plébiscite pour les approches complémentaires puisque 72 % des Français les considèrent comme importantes en complément des traitements médicaux, soit 9 points de plus qu’en 2013.

Les femmes y sont particulièrement favorables (76 %) tandis que 29 % des hommes estiment que ces approches sont peu voire pas importantes. Les seniors semblent également un peu moins convaincus : 67 % d’entre eux les jugent importantes, soit 5 points de moins que l’ensemble de la population.

Par ailleurs, les catégories socioprofessionnelles supérieures ont d’avantage tendance à juger ces approches importantes (77 %) bien que les classes populaires ne s’y montrent pas réticentes (70 % d’opinions favorables).

Lorsqu’on demande aux Français ce que ces approches complémentaires peuvent apporter aux malades, ils évoquent spontanément en premier lieu un soutien, un réconfort psychologique (43%).

Les répondants parlent ensuite d’une amélioration de la condition psychique et physique (18 %), d’une diminution des effets secondaires et des douleurs (17 %) ainsi que d’une rupture de l’isolement du patient (12 %).

©Institut Curie

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Vivre le mieux possible avec un cancer

Le cancer est une maladie qui se soigne mieux, le nombre de patients en rémission ne cesse de progresser. Dorénavant, il ne s’agit plus uniquement de se focaliser sur la manière de traiter la maladie mais également d’apprendre à vivre le mieux possible avec un cancer.

Les approches complémentaires peuvent en cela apporter un bien- être supplémentaire aux malades traversant cette épreuve physique et psychique, en plus de soulager certains effets secondaires des traitements (douleurs chroniques, nausées, insomnies, angoisse…). Les approches dites psychocorporelles comme l’hypnose, la relaxation, la sophrologie, le yoga ou encore le qi gong peuvent aider par exemple à mieux vivre pendant la maladie en diminuant le stress, en permettant de réinvestir le corps malade.


News Santé

Activité libérale à l’hôpital : les abus persistent

©Girod medical

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Il y a deux ans maintenant l’association « 60 Millions de consommateurs » avait tenu à dénoncer l’attitude de certains médecins qui, autorisés à exercer 1 jour par semaine une activité libérale dans un hôpital public, profitaient de la situation pour imposer des tarifs largement supérieurs à ceux pratiqués dans le privé.

« Les dépassements d’honoraires sont indécents à l’hôpital public » clamait alors l’association après plus d’un an d’une enquête menée en partenariat avec la société Santéclair. Deux ans plus tard, rien n’a changé ou presque !

En effet et selon de nouvelles données publiées par le site d’information santé « 66 Millions d’impatients » force est de constater que ces pratiques perdurent.

Il en ressort que si ces dépassements sont en légère baisse avec des montants moins élevés, ils sont facturés plus fréquemment. Au final et si les médecins ne sont pas si nombreux que ça à effectuer des dépassements d’honoraires, ceux qui le font n’y vont généralement pas de main morte ! En 2013, le dépassement moyen par praticien concerné s’est ainsi élevé à 33 000 €, selon les données de l’Institut des données de santé.

« L’activité libérale se concentre surtout sur les disciplines chirurgicales et l’obstétrique, la cardiologie et la radiologie (…) le plus souvent il s’agit souvent de praticiens dont la notoriété est forte et dont l’activité libérale la plus importante se concentre sur la fin de carrière. » , peut-on lire dans le “rapport Laurent” remis en mars 2013 à la ministre de la santé Marisol Touraine.

En guise de conclusion sachez que parmi les médecins autorisés à exercer en libéral à l’hôpital, les chirurgiens, toutes catégories confondues (neurochirurgie, orthopédie, chirurgie vasculaire ou viscérale, etc.), concentrent près de la moitié des dépassements.

Et si les ophtalmologues sont beaucoup moins nombreux, ils sont aussi ceux qui ont la main plus lourde. L’année dernière, ils ont perçu en moyenne près de 55 000 € au-delà du tarif de la Sécu contre « seulement » 15 000 € pour les gastroentérologues…


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Ostéopathie : le gouvernement a entendu les ostéopathes

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Ostéopathie : le gouvernement a entendu les ostéopathes et renforce la réglementation des écoles d’ostéopathie

Le Ministère de la Santé (avec le ministère de l’Education Nationale) vient de publier au Journal Officiel un décret qui renforce notablement la réglementation des écoles d’ostéopathie.

Après 7 ans d’un travail d’explication et de conviction auprès des politiques et des administratifs et 18 mois de négociations avec les professions de santé, l’UFOF première organisation d’ostéopathes se réjouit d’avoir été entendue par le gouvernement.

L’attribution des agréments et le fonctionnement des écoles seront notablement renforcés.

Ce décret marque un tournant décisif pour la profession. La démographie professionnelle qui posait problème depuis des années sera enfin régulée et la durée de la formation nettement augmentée.

Un deuxième décret qui définira avec précision cette formation est attendu dans les prochaines semaines.

L’Union Fédérale Des Ostéopathes de France se félicite de cette avancée pour la profession. A l’origine des négociations gouvernementales, l’UFOF a su une fois de plus marquer son empreinte pour faire évoluer la profession. L?UFOF confirme ainsi sa légitimité à défendre les ostéopathes auprès des pouvoirs publics et sa position d?acteur de référence.

Communiqué de l’Union Fédérale des Ostéopathes de France

Créée en 1987, lʼUnion Fédérale des Ostéopathes de France font partie des quatre associations officiellement reconnues représentatives par le Ministère de la Santé en août 2014. Elle est la principale organisation socioprofessionnelle française dʼostéopathes avec près de 1 100 adhérents.

Association très engagée dans les problématiques liées à la redéfinition de la profession dʼostéopathe, cʼest elle qui a permis, auprès du gouvernement, lʼexonération de la TVA pour les ostéopathes en 2007 et lʼaugmentation des heures de formation (3 520h) dans la loi HPST de 2009.

Les Ostéopathes de France répondent aux critères suivants :
– une formation de 5 ans,
– le respect dʼun code de déontologie et d’une charte éthique
– un exercice exclusif,
– un référentiel dʼactivité.

Ce label européen est reconnu par lʼOffice dʼHarmonisation dans le Marché Intérieur et par la Fédération Européenne des Ostéopathes. Il regroupe 12 000 ostéopathes à travers 16 pays européens


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Dans la foulée : marcher contre l’obésité

Jean-Luc Loiseau pesait 211 kilos en 2011. Il y a quelques mois, il s’est lancé dans un tour de France pour lutter contre l’obésité et les discriminations.

Des bords de la Garonne au littoral méditerranéen, en passant par les volcans d’Auvergne et les falaises bretonnes, ils sont plus d’un millier à avoir accompagné Jean-Luc Loiseau sur les routes de France depuis le mois de mai. Obèse et en danger de mort il y a encore trois ans – il a pesé jusqu’à 211 kilos -, ce cadre commercial de 47 ans a lancé il y a cinq mois une « marche générative », à pied et en cinquante étapes. « L’apparence est la première des discriminations, affirme-t-il. Et le poids est en quelque sorte la première des apparences. Mon objectif est de lutter contre les a priori, en invitant tous ceux qui veulent changer quelque chose dans leur vie à me rejoindre. »

Après dix jours de préparation à l’Insep (Institut national du sport, de l’expertise et de la performance), Jean-Luc s’est élancé de Lille, le 4 mai. Un choix symbolique. « Dans le Nord-Pas-de-Calais, l’obésité touche 21 % des adultes, martèle-t-il. La pauvreté y est pour beaucoup. » Soutenu, entre autres, par le ministère des Sports et celui de la Santé, il attache une importance primordiale au lien social.

Une crise existentielle

Jean-Luc a longtemps compté sur la psychanalyse pour s’en sortir. Elle était son fameux « lien ». Mais, plus jeune, il se réfugiait dans le sport. « Au lycée, je me levais la nuit pour aller courir, assure-t-il. J’ai eu un parcours familial compliqué, et l’exercice physique était une façon de montrer que j’étais vivant. » Excellent nageur et féru de triathlon, il courait encore le 15 kilomètres en 1 h 30 quand il pesait 115 kilos. « Puis un jour, le stress de mon travail trépidant a remplacé l’adrénaline du sport. » Entre 1988 et 2000, Jean-Luc prend entre 3 et 4 kilos par an. Tout s’accélère ensuite (…)

Lire la suite sur LePoint.frEbola : une Française infectée
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La vente de médicaments à l’unité rentre en 1ère phase d’expérimentation

L’expérimentation annoncée par le ministère de la Santé il y a peu de temps concernant la vente de médicament à l’unité va rentrer dans sa première phase. Grâce à la publication d’un décret paru au Journal officiel ce mardi 16 septembre, les premières pharmacies participant à l’étude seront autorisées à vendre 14 antibiotiques à l’unité. Le but de cette mesure vise à éviter non seulement l’apparition de phénomènes de résistance, mais aussi à éviter le gaspillage et la surconsommation de médicaments.

Ce sont les pharmaciens volontaires d’Ile-de-France, de Lorraine, du Limousin et de la Provence-Alpes-Côte d’Azur qui pourront dans un premier temps tester ce dispositif. Pour mener à bien cette expérimentation, ils devront recueillir par écrit le consentement des patients qui participent à l’étude. A l’aide d’un formulaire spécifique, ils seront chargés de recueillir les nom et prénom du patient, le nom du médicament et son numéro de lot, mais aussi sa posologie, ainsi que la date limite d’utilisation.

Cet effort des pharmaciens aura sa contrepartie puisque les officines qui accepteront de vendre seulement le nombre de pilules nécessaires à la durée du traitement pourront percevoir jusqu’à 1500 euros par an. Quant aux « pharmacies » du groupe témoin qui rempliront également des formulaires mais continueront à vendre des boîtes entières, pourront percevoir jusqu’à 300 euros par ans.

Cette expérimentation est prévue sur trois ans, mais dès la première année, un premier bilan d’étape sera dressé par l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm).

La vente de médicament à l'unité rentre dans sa première phase d'expérimentation

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Alzheimer : le vécu de la maladie avant 60 ans révélé par une enquête

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La maladie d’Alzheimer est généralement diagnostiquée après 65 ans mais peut apparaître bien que rarement plus précocement. Pour les personnes chez qui elle survient avant 60 ans, cette pathologie qui entraîne une perte progressive des fonctions mentales et de la mémoire signifie un arrêt précoce de l’activité professionnelle. Voici ce que vient de mettre en évidence une étude de la Fondation Médéric Alzheimer.

Afin de réaliser cette enquête dans le cadre de la Journée Mondiale de la maladie d’Alzheimer qui se tiendra le 21 septembre, les chercheurs ont interrogé 42 personnes dont les symptômes de la maladie étaient apparus avant 60 ans. Parmi les participants, 62 % avaient été diagnostiqués Alzheimer, 5 % souffraient de démence mixte et 38 % souffraient de différentes sortes de démences.

Les résultats de cette enquête ont permis de montrer que l’apparition des symptômes est suivie, dans 9 cas sur 10, d’un arrêt rapide de toute activité professionnelle. En moyenne, les premiers troubles sont apparus vers 52 ans, avec un arrêt de l’activité vers 55 ans. Le diagnostic a été, en général, posé en moyenne un an après cet arrêt, qui fait place rapidement à une désocialisation rapide : en raison de la gêne vécue dans la vie quotidienne comme pour se lever, faire la cuisine ou gérer leur emploi du temps, les malades s’impliquent moins dans le bénévolat ou la vie associative.

Ils sont pourtant près de 50 % à avoir déclaré vouloir poursuivre leur activité professionnelle moyennant certains aménagements comme un emploi du temps adapté, un travail en équipe.

Si l’annonce de la maladie affecte le patient, 2 participants sur 3 évoquent aussi le fait qu’elle a bouleversé leur vie familiale. 60 % des proches jouent en effet le rôle d’aidant tout en devant poursuivre leur activité professionnelle.

Un conjoint sur trois a même dû aménager son rythme de travail en fonction des difficultés vécues par le malade, ce qui se traduit par des congés plus fréquents, la demande d’un temps partiel, voire même l’arrêt de l’activité.

Atteint de la maladie d'Alzheimer avant 60 ans, les personnes arrêtent de travailler

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Cancer : les Français et internet

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Le baromètre cancer 2014 de « Institut Curie-Viavoice » s’est arrêté sur l’utilisation très controversée d’internet.

Il faut dire que l’accès d’un simple clic à l’immense source d’informations qu’est internet n’a pas manqué d’impacter l’univers de la santé et, par ricochet, les relations avec les professionnels de santé. Si les Français reconnaissent une fonction pédagogique à l’utilisation d’internet, ils n’en restent pas moins sceptiques sur sa capacité à renforcer
la relation patient – médecin.

Internet, trait d’union ambivalent entre patient et médecin

Internet peut avoir une véritable fonction pédagogique pour les patients atteints d’une pathologie lourde comme le cancer. Près de 6 Français sur 10 (58 %) estiment en effet qu’il permet de poser des questions que l’on n’oserait pas aborder avec son médecin.

Cette tendance est encore plus manifeste auprès des moins de 34 ans (72 %) et des catégories socioprofessionnelles populaires (66 %). A l’inverse, 44 % des plus de 65 ans considèrent que l’outil informatique ne permet pas de poser des questions que l’on n’oserait aborder avec son médecin. Cette dernière donnée reflète l’approche traditionnelle des seniors avec le corps médical, ayant tendance à privilégier leur médecin comme source principale d’information pour ce qui touche à leur santé. La dimension pédagogique d’internet ne semble pas enrichir ou favoriser les échanges entre patient et corps médical.

En effet,une majorité de Français (54 %) estime que la consultation d’internet, dans le cadre d’une pathologie lourde comme le cancer, ne permet pas de mieux préparer une consultation chez le médecin(versus 43 % d’accord). Sur ce point, ce sont les femmes qui se montrent les plus sceptiques (58 %). De même, elles sont 55 % à penser que cet outil ne renforce pas la qualité du dialogue lors de la consultation médicale.

Par ailleurs,plus d’1 Français sur 2 (53%) estime qu’internet complique la relation patient – médecin (versus 44 % pas d’accord). Cette affirmation est d’autant plus vraie pour les catégories socioprofessionnelles supérieures.

Internet, entre expertises, expériences et inexactitudes

Ces résultats traduisent le manque de confiance que les internautes peuvent éprouver face à des informations dont la source, et donc la crédibilité, est difficile à évaluer. Face à ce constat, il semble nécessaire de guider les usagers dans leur recherche, en commençant par les aider à dissocier l’expertise de l’expérience sur le web, afin de leur apporter des contenus validés par des professionnels ou autorités de santé.

« Les sites parlant de santé et de médecine sont extrêmement nombreux, les patients peuvent accéder à toutes sortes d’informations très complètes sur les cancers. Ils arrivent souvent en consultation avec des pages imprimées qui évoquent des innovations, des essais ou encore des équipements et nous les réclament en consultation. Or la plupart des sites tombent dans le même écueil : ils donnent une information très généraliste sur tel ou tel type de cancer, qui ne correspond pas aux besoins spécifiques de chaque patient »souligne le Dr Alain Livartowski, oncologue, responsable du projet e-santé à l’Institut Curie.


News Santé

5 raisons d’aimer les bananes

Facile à manger, la banane peut vous accompagner toute la journée pour vous donner la pêche, protéger votre intestin, réguler votre pression artérielle et même vous aider à dormir.

La banane est extrêmement énergétique

D’après une étude scientifique publiée dans la revue PLoS ONE, la banane fournirait autant d’énergie que des boissons énergétiques, avec le bénéfice d’apporter des nutriments excellents pour la santé. Elle trouve sa place dans l’alimentation des sportifs car elle protège des crampes musculaires. Sa richesse en potassium aide en plus à récupérer, surtout quand il fait chaud et qu’on élimine une grande partie de ce minéral via la transpiration.

La banane protège votre intestin

La banane est une excellente source de pré-biotiques. Les pré-biotiques permettent de nourrir et de garder en bonne santé les probiotiques, les bactéries intestinales qui nous protègent des infections. Consommer des pré-biotiques permet donc de réguler la flore et de mieux digérer.

La banane régule le taux de cholestérol et aide à maigrir

La banane est riche en amidon résistant. Cet amidon est considéré, d’un point de vue diététique, comme une forme de fibre alimentaire, dont il présente certains des avantages.

Il agit comme les fibres pendant la digestion et aurait des effets bénéfiques sur les lipides sanguins, permettrait une augmentation de la fermentation intestinale, une amélioration de l’absorption de certains minéraux et de la glycémie et une diminution du cholestérol-LDL (« mauvais cholestérol »). Votre corps digère l’amidon résistant tellement lentement que vous vous sentez rassasié plus longtemps. La banane comble donc l’appétit et procure une sentiment de satiété. Prise en collation, elle vous permet de ne pas grignoter et de limiter l’apport en calories au cours de la journée.

Les bananes aident à dormir

Les bananes peuvent être considérées comme un somnifère naturel. Elles contiennent du tryptophane. Acide aminé essentiel, le tryptophane associé à la vitamine B6, permettent la synthèse de la sérotonine et de la mélatonine. Ils jouent donc un rôle essentiel dans l’endormissement. Certains médecins (…) Lire la suite sur Topsanté

Alimentation : les jokers anti-âge
Une alimentation plus équilibrée pourrait sauver la planète
Un peu de vin est plutôt bon pour vous, si vous êtes sportif
Hygiène dans les restaurants : un smiley pour l’évaluer
Minceur: le retour du régime banane


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L’alirocumab, le nouveau traitement anticholestérol présenté par Sanofi

L’alirocumab, un traitement contre le cholestérol développé par Sanofi et Regeneron Pharmaceuticals et testé actuellement dans le cadre d’un essai clinique aurait des effets bénéfiques, puisqu’il a permis de diviser par deux le nombre de crises cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux. Telle est l’annonce faite ce dimanche par des scientifiques qui ont participé à ces tests.

Même si l’analyse a été faite de manière rétrospective et limite les conclusions de cette étude, les résultats sont encourageants car ils ont permis de montrer comment l’alirocumab (une molécule qui inhibe en la ciblant la protéine PCSK9) permettait en agissant sur la dégradation par l’organisme du « mauvais » cholestérol dans le sang de réduire le risque cardiovasculaire. Plusieurs études de grande ampleur, selon Sanofi et Regeneron ont pu montrer que ce traitement avait permis la diminution significative de la concentration sanguine du « mauvais » cholestérol.

Plusieurs équipes, comme Sanofi ou Regeneron Pharmaceuticals, Amgen ou encore Pfizer travaillent ces derniers mois sur les inhibiteurs de PCSK9, cette nouvelles catégories de molécules, et les essais cliniques sont positifs, ce qui devrait permettre d’ici l’année prochaine, que ces nouveaux traitements puissent être commercialisés. En attendant, les résultats de 4 études concernant l’efficacité de l’alirocumab contre le mauvais cholestérol viennent d’être présentés à la réunion annuelle de la Société européenne de cardiologie.

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