On adore… Les baumes lèvres translucides de bareMinerals

Dans la gamme Remix printemps-été 2013 de bareMinerals, on demande les baumes transparents pour les lèvres Loud & Clear. Des couleurs translucides pour une bonne dose d’hydratation girly.

Un petit tube pour un maxi effet.

Côté packaging d’abord. Les baumes à lèvres Loud & Clear sont enfermés dans un tube métallisé qui n’est pas sans nous rappeler un ciel ensoleillé d’été. Un joli écrin qui électrise.

Ensuite, côté soin. Ces baumes sont une véritable source d’hydratation. On les glisse dans son sac à mains pour les dégainer à tout moment de la journée. Les lèvres sont douces et nourries immédiatement.

Ce que l’on aime dans ces baumes ? Leur texture gel translucide qui sent bon les agrumes. On applique son baume et les lèvres sont hydratées et toutes brillantes, le côté glossy-collant en moins.

Ces baumes sont déclinés en trois couleurs : Berry Remix, Amped Pink et Tangerine Trance pour des lèvres légèrement orangées, rosées et prune. Des couleurs pleines de pep’s et lumineuses qui vont nous faire patienter jusqu’au retour des beaux jours.

(Baumes transparents pour les lèvres Loud & Clear, bareMinerals. Disponibles en exclusivité chez Sephora et sur www.sephora.fr à partir de mars 2013. Prix indicatif : 18 €)


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Les bébés connaissent la grammaire dès 7 mois

Les enfants qui évoluent dans un environnement bilingue sont capables de distinguer les différences grammaticales de leurs deux langues maternelles dès les premiers mois de la vie.

À l’arrivée de leur premier enfant, beaucoup de couples bilingues se demandent comment lui parler afin de ne pas perturber son apprentissage du langage. Dans un article publié récemment dans la revue Nature Communications Judit Gervain et Janet Werker montrent que les bébés bilingues sont capables de distinguer les spécificités de grammaire et de rythme de chaque langue, et donc d’apprendre les deux en parallèle sans retard.

L’étude menée à l’université canadienne de Vancouver, en collaboration avec l’université Paris Descartes, s’est intéressée à des bébés de 7 mois élevés dans une famille bilingue. Un des parents était anglophone alors que l’autre parlait une langue structurée différemment, telle que le japonais, le coréen, ou encore l’hindi. Dans ces langues, le verbe est toujours placé après le complément, contrairement à l’anglais (ou au français).

En faisant entendre différents enregistrements aux nourrissons, les chercheurs ont montré que l’élément-clé de la reconnaissance des langues est la prosodie, c’est-à-dire la hauteur de ton, le rythme et la durée des syllabes qui sont propres à chaque langage. Les bébés trouvent dans cette prosodie les indices nécessaires pour repérer les éléments de construction des phrases, caractéristiques de chaque langue, et qui leur permettent de les distinguer l’une de l’autre.

Aucun retard d’apprentissage

Les bébés auraient donc conscience de la grammaire? «La question peut surprendre car on a souvent l’idée que les enfants n’acquièrent la grammaire qu’après avoir appris des mots, explique Judit Gervain. Nos résultats indiquent cependant que les bébés très jeunes ont déjà acquis des règles élémentaires abstraites, qui leur permettent de distinguer les langages de leurs parents».

«Quand on parle de grammaire chez les bébés, il ne s’agit (…)

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Les instituts de bien-être trop chers ?

S’offrir une petite pause bien-être et détente c’est bien. Mais encore faut-il pouvoir se l’offrir. Car selon un récent sondage pour le site Balinea.com, les Français estiment que les instituts de bien-être sont encore trop chers.

93 % des Français estiment que les instituts sont trop chers selon l’étude « Les Français et le bien-être » réalisée par le site Balinea.com*. Pourtant, le bien-être semble être une préoccupation importante pour les sondés qui arrive juste après la volonté de faire du sport (60 %) et avant manger sainement (38 %).

Par ailleurs, les sondés estiment ne pas s’occuper suffisamment de leur corps, notamment par manque de temps (64 %) et ensuite pour des raisons financières (61 %). Des prix trop élevés seraient donc prohibitifs, surtout par temps de crise où le bien-être n’est malheureusement pas la priorité.

Autre cause de désaffection mise en lumière par les internautes de Balinea.com : un manque de présence sur le web. Les instituts sont selon eux (64 %) trop difficiles à choisir.

Des tarifs plus bas, une meilleure visibilité et des avis d’internautes pour pouvoir faire son choix semblent être les conditions sine qua non pour inciter les Français à se rendre un peu plus souvent en instituts pour prendre soin de leur corps et donc de leur esprit.

Vous cherchez un centre de beauté ou de bien-être près de chez vous ? Consultez l’annuaire des instituts de Beauté Addict.

* « Les Français et le bien-être », étude réalisée en ligne entre le 13 et le 24 octobre derniers, auprès d’une base de 1152 internautes membres de Balinea.com.


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Minceur : pourquoi il ne faut pas vous fier à la table des calories

Les calories sont un indicateur simplifié de la valeur énergétique d’un aliment. Cette valeur énergétique, utilisée en nutrition et en diététique, est souvent exprimée en Kcal pour 100gr de l’aliment, ce qui permet à toutes les personnes qui suivent un régime hypocalorique, de calculer grosso modo le nombre de calories qu’elles avalent chaque jour.

Or, selon certains scientifiques américains réunis en congrès à Boston à l’initiative de la Société américaine pour l’avancée de la science , il semble que ces tables de calories ne soient plus du tout le reflet de ce que nous mangeons. « Par exemple, les personnes qui suivent un régime riche en fibres ont souvent une sous-estimation d’environ 25% du nombre de calories qu’elles avalent quotidiennement car les tables de calories ne tiennent pas compte de la valeur énergétique des fibres » explique le Pr Richard Wrangham, de l’Université d’Harvard.

« A l’inverse, les calories de certains aliments très protéinés comme un steak de thon sont surestimées de 20% en moyenne car la table de calories ne tient pas compte de l’énergie qui est dépensée par notre corps pour digérer les protéines. Or, quand on est au régime, il est important de savoir qu’on brûle plus d’énergie en mangeant un steak de poisson qu’en avalant deux tranches de pain blanc ! »

>> A lire aussi : Quel est le dessert le moins calorique ?

Au cours de ce congrès , les spécialistes de nutrition ont également pointé du doigt l’absence d’informations justes sur les calories des plats tout préparés. « Les nutritionnistes se basent sur des calculs faits à partir des valeurs énergétiques de chaque aliment cru. Par exemple un gramme de protéines équivaut à 4 calories, 1 g de lipides fournit 9 calories… Ils calculent le poids des aliments préparés et font la multiplication pour obtenir le nombre de calories d’une portion. Or on aboutit à une erreur de 10 à 30% sur les calories réelles car les aliments déjà préparés sont plus facilement et plus (…) Lire la suite sur TopSante.com

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Les vernis semi-permanents Peggy Sage

our une manucure semi-permanente à domicile, on découvre les nouveaux vernis Peggy Sage : I-Lak. La promesse ? Une manucure maison qui dure, réalisée en 30 mn seulement.

La nouvelle gamme I-Lak de Peggy Sage nous permet de réussir à la maison une manucure longue durée (deux semaines) grâce à ses nouveaux vernis semi-permanents. Ils ont été spécialement formulés pour une utilisation à domicile.

Pour réussir sa pose maison, il faudra être équipée un minimum puisqu’une lampe UV est nécessaire pour fixer la laque.

On commence par poser la base UV I-Lak pour une adhérence parfaite du vernis semi-permanent. Ensuite, on applique son vernis que l’on fixe en plaçant les ongles sous la lampe UV. On termine avec un Top Coat I-Lak pour un finish impeccable.

La formule gel du vernis permet une pose facile comme avec un vernis classique.

Ces nouveaux vernis sont disponibles en 30 teintes. De quoi satisfaire toutes les envies !

(Vernis semi-permanent I-Lak, Peggy Sage. Prix indicatif : 24,90 €)

Keira Knightley et Chanel censurés en Angleterre

La publicité pour le parfum Coco Mademoiselle avec Keira Knightley que l’on voit sur les écrans depuis quelques temps vient d’être censurée en Angleterre. La pub ne pourra plus être diffusée lors des tranches horaires réservées aux enfants. La raison ? Le film est jugé « trop sexuellement explicite ».

Tout a commencé avec une diffusion de la publicité pendant la pause du film L’Âge de Glace 2. Parents et enfants devant leur écran (re)découvrent le film Coco Mademoiselle où l’on y voit une Keira Knightley jouant et minaudant, allongée sur lit aux prises avec un photographe.

Peu ou pas de nudité, seuls des bras et épaules nus sont dévoilés. Mais pourtant l’Advertising Standards Authority, saisie par une mère, a décidé de censurer la pub aux heures d’écoute des enfants, jugeant que  » l’aspect sexuel suggéré n’était pas adapté aux plus jeunes « . L’autorité a conclu que la  » pub ne devait plus être diffusée dans sa forme actuelle avant, pendant ou après des programmes destinés aux enfants « .

Voici la vidéo pour vous faire une idée de son contenu suggestif :

De son côté, Chanel s’est défendu en expliquant qu’à part une courte séquence où l’on voit l’épaule de l’actrice, il n’y a pas de nudité dans cette publicité. La marque a par ailleurs rappelé qu’un certain degré de sexualité était toujours présent dans les publicités pour parfums et que les deux acteurs flirtaient certes, mais qu’il n’y avait pas de réel baiser, ni autre chose de sexuel dans cette pub.

A l’heure de L’Âge de Glace 2, Keira Knightley n’a pas laissé tout le monde de glace…

Source : Advertising Standards Authority


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« Croisade anticholestérol » : cinquante ans de mensonges ?

Et s’il n’était pas dangereux ? Plusieurs spécialistes continuent de soutenir qu’il n’existe pas de liens entre cholestérol et mortalité.


Couverture du Nouvel Obs du 14 février 2013 (DR)

En découvrant la couverture du Nouvel Observateur cette semaine, vous avez pu avoir une impression de déjà vu (à condition tout de même de ne pas être trop jeune et d’avoir une bonne mémoire).

Il y a plus de vingt ans, l’hebdomadaire L’Express titrait en effet : « Cholestérol : on vous ment », et publiait les bonnes feuilles du livre « Vivre avec du cholestérol », du Pr. Marian Apfelbaum, un grand ponte de la nutrition. Celui-ci y expliquait que la « croisade anticholestérol » était née aux Etats-Unis dans les années 60 sur un malentendu.

Au départ de la lutte contre le cholestérol, explique l’article de l’Express, cette « observation révolutionnaire » :


Couverture de L’Express du 3 décembre 1992

« Les pompiers de […] Minneapolis mangeaient plus gras que les Zoulous d’Afrique du Sud. Leur taux de cholestérol sanguin s’en trouvait augmenté. La fréquence des maladies des artères coronaires et du cœur, aussi. Que faire ? Chasser l’intrus de l’assiette. Bannir les graisses, particulièrement les acides gras saturés. »

Une conclusion déjà dénoncée à l’époque par le Pr. Apfelbaum :

« Les études épidémiologiques ne fournissent que des éléments d’hypothèse. En tirer des règles ressemble fort à ce syllogisme : le fait d’être riche entraînera, à la fois, une nourriture grasse et la possession d’un téléviseur couleur. Regarder celle-ci pourrait faire mal aux yeux. On pourrait conclure, à tort, qu’être riche fait mal aux yeux parce que les riches mangent gras. »

Pourquoi un tel écho maintenant ?

Celui qui me rappelle l’existence de ce précédent livre choc est l’un des plus grands spécialistes des lipides, le Pr. Philippe Legrand, directeur du laboratoire de nutrition humaine à Agrocampus-Ouest. C’est lui qui a présidé les recommandations sur les lipides à l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Il s’attendait à ce qu’explose ce qu’il sait depuis longtemps :

« Quand on mange trop de tout, on a un taux de cholestérol élevé. Mais pour autant, le cholestérol n’est qu’un facteur de risque et, de plus, pas le seul, ni même la cause établie et unique des maladies cardio-vasculaires. Il a été choisi comme marqueur parce qu’il est simple à mesurer et à réduire. Le réduire par une alimentation équilibrée est sans doute une bonne chose. Mais réduire un marqueur ne réduit pas forcément la mortalité. »

Si le nouveau livre du Pr. Philippe Even, qui sort le 21 février, trouve son public aujourd’hui, il faut y voir une conséquence de l’affaire Mediator et de la défiance grandissante des Français vis-à-vis des médicaments et du lobby des laboratoires.

Dans « La vérité sur le cholestérol », l’ancien doyen de Necker, pneumologue et auteur d’un très remarqué « Guide des 4 000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux », soutient qu’il n’y a pas de lien entre cholestérol et mortalité, et que la prescription de statines (médicaments faisant baisser le taux de cholesterol) à 5 millions de Français n’aurait d’autre explication que « la confiance quasi religieuse dans le dogme établi » et les manœuvres du lobby pharmaceutique.

Les médicaments plus faciles que le régime

Devant le tollé provoqué dans la communauté médicale, la Haute autorité de santé (HAS) s’est sentie obligée de réagir le jour-même de la sortie de l’hebdomadaire, en rappelant que « l’intérêt des statines est indiscutable après un accident cardio-vasculaire, infarctus, AVC ». Et de justifier ainsi les 2 milliards d’euros annuels que ce médicament coûte à la Sécu :

« Les statines ont une place dans la prise en charge de certains patients car elles sont associées à une baisse de la mortalité totale d’environ 10% et du risque de survenue d’un accident cardio-vasculaire (infarctus du myocarde notamment). »

Or, ce lien statistique ne signifie pas une relation de cause à effet. Les adeptes du régime méditerranéen le savent. Commentaire de Pierre Weill, agronome et auteur de « Tous gros demain ? » :

« La théorie de la “robinetterie”, celle qui consiste à dire que le mauvais cholestérol boucherait les artères et provoquerait l’infarctus, n’est plus défendue par grand-monde chez les scientifiques, mais c’était tellement génial pour vendre des médicaments brevetés… Et puis c’est tellement plus facile que le régime. »

Des essais cliniques douteux

Thierry Souccar, éditeur et animateur du site LaNutrition.fr, est un virulent défenseur du régime méditerranéen. Il a publié notamment « Dites à votre médecin que le cholestérol est innocent, il vous soignera sans médicament » et « Cholestérol, mensonges et propagande », du cardiologue Michel de Lorgeril. Las, ce dernier a « été traîné dans la boue, traité de criminel » lors de la parution de ce livre en 2007, raconte l’éditeur.

Nous l’avons interviewé et constaté qu’il tient depuis des années le même discours que le Pr. Philippe Even, mais avec plus d’excès et moins de notoriété. Michel de Lorgeril, chercheur au CNRS de Grenoble, nous explique que jusqu’en 2008 :

« Les essais cliniques sont faits entre copains de l’industrie : s’ils ne donnaient pas les résultats espérés, on arrêtait et on ne gardait que ce qui fonctionnait. »

Lui-même dit avoir participé à des essais cliniques aux Etats-Unis, « qui n’ont jamais été publiés car leurs résultats étaient négatifs ». L’affaire Enhance est emblématique de cette industrie pharmaceutique capable de dissimuler les résultats scientifiques qui ne l’arrangent pas.

Depuis, la réglementation a évolué et tous les essais doivent être déclarés aux autorités. Et là, que constate-t-on ? Selon Michel de Lorgeril :

« Toutes les statines sont inefficaces sur la mortalité cardio-vasculaire, même le Crestor, la plus puissante des statines. »

Le Crestor est pourtant remboursé à 65% par la Sécu, et la HAS a estimé qu’il rendait un service médical important. Une chose est sûre : mieux vaut consulter avant d’arrêter son traitement sous le coup de la panique.

Gisèle Bündchen, nouveau visage Chanel

Alors que la sortie de la nouvelle collection Les Beiges de Chanel n’est prévue que pour mi-mars, on apprend que c’est le top brésilien Gisèle Bündchen qui incarnera cette nouvelle ligne de maquillage pour le teint.

Même si pour le moment Chanel ne communique pas sur cette info, le Vogue allemand a publié les photos de la campagne et la vidéo de la publicité a déjà « fuité » sur le net. On vous laisse la découvrir.

Les boissons énergisantes : «Un bain de bouche à l’acide»

Les boissons énergisantes abîmeraient l’émail des dents dès cinq jours de consommation d’affilée, selon une étude américaine.

Si on connaissait déjà les effets néfastes du sucre sur les dents, une nouvelle étude publiée dans la revue dentaire General Dentistry vient de montrer que l’acide contenu dans les boissons énergétiques pouvait également causer des dégâts irréversibles sur l’émail. Selon des chercheurs de l’université de l’Illinois aux États-Unis, ces produits destinés à donner un regain d’énergie et appréciés des jeunes consommateurs commencent à ronger les dents après seulement cinq jours de consommation continue, favorisent le développement de caries et rendent les dents hypersensibles aux changements de température.

Pour établir ce constat, le Dr Jain et ses collègues ont analysé l’acidité et le fluor de treize boissons énergétiques pour sportifs et neuf boissons énergisantes, type Red Bull. En sachant que leur pH est acide et se situe entre trois et quatre (la neutralité est à sept), les dentistes ont immergé des prélèvements d’émail de dents dans chaque boisson pendant 15 minutes. Ils ont ensuite plongé ces échantillons pendant deux heures dans de la salive artificielle, dont la fonction naturelle est de réduire le taux d’acidité dans la bouche. Cette opération a été répétée quatre fois par jour pendant cinq jours. Si les conditions de cette expérience ne reflètent pas exactement la consommation réelle de ces boissons, les scientifiques ont toutefois observé une dégradation progressive et croissante de l’émail et ont aussi remarqué que les boissons énergisantes causaient deux fois plus de dégâts que celles destinées aux sportifs.

Sodas et boissons énergisantes, même combat

«Les bactéries transforment le sucre en acide et c’est cet acide qui endommage l’émail, pas le sucre directement, explique le Dr David Katz, directeur du Centre de recherche et de prévention à l’université de Yale. Donc, en ingérant une quantité élevée d’acide, le consommateur accélère l’apparition des caries», ajoute-t-il.

Environ 30 à 50% des adolescents américains utilisent des boissons énergisantes et jusqu’à 62% d’entre eux en boivent au moins une fois par jour. «Persuadés que ces boissons sont “meilleures pour la santé” que les sodas, les jeunes adultes pensent qu’ils vont pouvoir améliorer leur performance sportive», déclare le Dr Poonam Jain, principal auteur de l’étude et directeur du programme de prévention dentaire à l’université de l’Illinois. «Finalement, la plupart des patients sont choqués d’apprendre que consommer ce genre de boissons revient à se faire un bain de bouche à l’acide», commente le dentiste.

«Se rincer la bouche et mâcher des chewing-gums sans sucre»

Cette étude ne surprend pas le Dr Philippe Rocher, président de la Commission des dispositifs médicaux de l’Association dentaire française. «On a les mêmes problèmes avec les sodas qui sont aussi très acides», signale le dentiste. Il recommande de limiter la consommation de ces boissons, de mâcher des chewing-gums sans sucre et de se rincer la bouche à l’eau claire après. En effet, «ces deux techniques combinées permettent d’augmenter le flux de salive et font baisser le niveau d’acidité de la bouche», explique-t-il. Enfin, il conseille de ne pas se brosser les dents dans l’heure qui suit la consommation de ces boissons, «sinon l’acidité va se répandre à la surface des dents et augmenter l’érosion de l’émail».

L’huile de figue de Barbarie : un anti-âge idéal pour les peaux sensibles

La figue de Barbarie, récoltée au Maroc, est un fruit précieux : il faut près d’une tonne de figues pour obtenir 1 litre d’huile de ce cactus. Obtenue par pression à froid des graines, elle est 100 % biologique. La richesse de ses composants explique son succès : elle regorge de vitamine E antioxydante et d’acides gras essentiels qui nourrissent en profondeur et tonifient notre peau.
L’huile de cactus est également une formidable réparatrice : elle atténue les cicatrices, les boutons d’acnée et diminue les vergetures.

Côté parfum, son odeur particulière qui fait penser à l’huile d’argan, pourrait en rebuter certaines. D’où l’intérêt d’en appliquer plutôt le soir au coucher que le matin, à condition de ne pas avoir peur d’importuner votre compagnon !
Au toucher, l’huile de cactus est moins grasse que d’autres huiles comme l’huile d’amande et elle pénètre rapidement dans l’épiderme. Surtout, elle convient à tous types de peaux, grasse, sèche ou mixte, et même se rendre utile à tout âge, ce qui en fait un produit familial.


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