Alcoolisme féminin : les signes qui ne trompent pas
Alcoolisme féminin : les signes qui ne trompent pas

Le 13 février 2018.

Comment savoir si notre consommation d’alcool est raisonnable ou excessive ? En testant « Le secret de Laurence », un jeu en ligne lancé par le Fonds Actions Addictions, qui permet de déceler les signes d’addiction les plus préoccupants.

De nombreuses femmes touchées en France

Vous buvez un petit verre de vin de temps en temps et vous ne savez pas si cette consommation met votre santé en danger ? C’est le moment ou jamais d’essayer le test « Le secret de Laurence », lancé par le Fonds Actions Addictions. L’objectif de cette plateforme est de sensibiliser le grand public à la situation des femmes qui ne savent pas toujours qu’elles sont concernées par cette question de l’alcoolisme.   

En France, entre 500.000 et un million de femmes seraient dépendantes à l’alcool. Mais comment savoir ? L’alcoolisme se lit sur le visage d’une femme. Son nez ou ses joues peuvent devenir rouges ou bouffis. L’haleine commence à trahir l’addiction et les cheveux deviennent ternes. Mais d’autres indices peuvent alerter, comme un laisser-aller général : du désordre, des machines à laver en retard, de la nourriture périmée dans le frigo…

Comment savoir si la consommation est excessive ?

Dans « Le secret de Laurence » (qui se base sur l’histoire vraie de Laurence Cottet, une ancienne alcoolique), on aperçoit dans son appartement de nombreux produits de maquillage pour dissimuler les changements sur son visage, mais également des grains de café dans son sac qu’elle avait l’habitude de mâcher pour couvrir son haleine. Des stratagèmes qu’il faut savoir identifier chez les femmes de notre entourage.

Selon le site alcool-info-service, « ce qui peut vous alerter, c’est lorsque la consommation devient de plus en plus régulière et qu’elle aurait tendance à devenir un besoin et non plus seulement un plaisir ». S’il devient de plus en plus difficile pour votre proche de ne pas boire ou de contrôler sa consommation d’alcool, seul comme en groupe, alors c’est le moment de lui venir en aide, dans la confiance et le dialogue. 

Marine Rondot

À lire aussi : Différence entre alcoolisme chronique et ivresse aigue

Les Nouvelles de PasseportSanté.net

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